[new fic] FMA - Winry/Scieszka - G | Courrier du coeur (2/2)
Titre : La fin de quelque chose (7b) / Courrier du coeur (côté Winry)
Auteur : ylg
Base : FullMetal Alchemist, premier anime
Personnages/Couple : Winry Rockbell/Scieszka
Genre : confiant
Gradation : G / K
Disclaimer : propriété d'Arakawa Hiromu, Square Enix, Studio Bones ; je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Thème #02, "nouvelle ; lettre" pour 30_baisers
Nombre de mots : près de 500
chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
chapitre 5
chapitre 6
chapitre 7a
**
Le soleil brillait fort sur cette journée nouvelle ; dans le courrier qu'avait ramassé Winry, une enveloppe lui était spécialement adressée, venant de Central City, et en reconnaître l’écriture fit bondir son cœur. Une lettre de Scieszka ! Scieszka lui avait écrit !
Fébrilement, elle l’ouvrit, la déplia. La lettre commençait sur un ton enjoué. Scieszka semblait heureuse. Elle lui racontait tout et rien, la rattachait à sa vie.
C’était comme si elle était à nouveau à ses côtés. Elle lui parlait de telle manière qu’au lieu de se laisser gagner par la nostalgie et s’attrister de leur éloignement, Winry se sentait proche d’elle.
La conclusion, optimiste, la remplit de joie.
Winry se releva d’un bond du canapé où elle s’était jetée pour lire sa lettre. Serrant la missive contre sa poitrine, elle se précipita vers sa chambre, voulant lui répondre le plus vite possible.
En sortant du salon, elle manqua heurter Pinako qui y entrait.
« Oh, bonjour Grand-Mère ! comment ça va ?
- Bien, bien… inutile de te demander à toi si tu vas bien, dirait-on. »
Winry était certaine d’avoir les joues rouges et les yeux brillants et aurait voulu s’en cacher. Sa grand-mère était un brin trop perspicace :
« Toi, tu as reçu une lettre de Miss Scieszka, » devina-t-elle, souriant d’un air entendu.
(Comment pouvait-elle deviner ça ? Winry était une jeune fille charmante qui se liait facilement et recevait facilement du courrier de ses nombreuses connaissances. Ça aurait pu être d'Al à Dublith, ou de Paninya à Rush Valley, ou de la petite Elysia qui à défaut décrire, dessinait déjà, ou d'encore plein de personne différentes possibles !
Mais oui, cette lettre-là venait bien de Scieszka et sa réaction était visible comme le nez au milieu de la figure. Ou peut-être une vague de rouge au milieu de la figure, si ça se trouve...)
Inutile de nier ; elle hocha la tête, les yeux timidement baissés, et poursuivit plus lentement sur quelques pas.
« Bonnes nouvelles, je suppose ? fit Pinako dans son dos.
- Hm ! »
Pinako tira sur sa pipe et ses lèvres claquèrent avec un bruit de baiser. Cette fois convaincue d’avoir vraiment viré à l’écarlate, Winry s’enfuit presque, clamant qu’elle avait des tonnes de trucs à faire aujourd’hui et qu’il fallait qu’elle file à l’atelier.
(Comme si c'était quelque chose de répréhensible que d'avoir une amie chère qui vous écrit de longues, longues lettres depuis des centaines de kilomètres... Allons, ça se faisait encore couramment il n'y a pas si longtemps, avant qu'on invente le téléphone, non ?
N'importe, même si elle n'avait rien à se reprocher, même si leur amitié n'était un secret pour personne, he bien, elle voulait pouvoir en profiter dans son coin à elle, sans partager avec personne non plus. Na.)
Là, elle pourrait relire et relire et relire encore sa lettre et rêvait à ce qu'elle lui répondrait.
***
à conclure
[ épilogue]
Auteur : ylg
Base : FullMetal Alchemist, premier anime
Personnages/Couple : Winry Rockbell/Scieszka
Genre : confiant
Gradation : G / K
Disclaimer : propriété d'Arakawa Hiromu, Square Enix, Studio Bones ; je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Thème #02, "nouvelle ; lettre" pour 30_baisers
Nombre de mots : près de 500
chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
chapitre 5
chapitre 6
chapitre 7a
**
Le soleil brillait fort sur cette journée nouvelle ; dans le courrier qu'avait ramassé Winry, une enveloppe lui était spécialement adressée, venant de Central City, et en reconnaître l’écriture fit bondir son cœur. Une lettre de Scieszka ! Scieszka lui avait écrit !
Fébrilement, elle l’ouvrit, la déplia. La lettre commençait sur un ton enjoué. Scieszka semblait heureuse. Elle lui racontait tout et rien, la rattachait à sa vie.
C’était comme si elle était à nouveau à ses côtés. Elle lui parlait de telle manière qu’au lieu de se laisser gagner par la nostalgie et s’attrister de leur éloignement, Winry se sentait proche d’elle.
La conclusion, optimiste, la remplit de joie.
Winry se releva d’un bond du canapé où elle s’était jetée pour lire sa lettre. Serrant la missive contre sa poitrine, elle se précipita vers sa chambre, voulant lui répondre le plus vite possible.
En sortant du salon, elle manqua heurter Pinako qui y entrait.
« Oh, bonjour Grand-Mère ! comment ça va ?
- Bien, bien… inutile de te demander à toi si tu vas bien, dirait-on. »
Winry était certaine d’avoir les joues rouges et les yeux brillants et aurait voulu s’en cacher. Sa grand-mère était un brin trop perspicace :
« Toi, tu as reçu une lettre de Miss Scieszka, » devina-t-elle, souriant d’un air entendu.
(Comment pouvait-elle deviner ça ? Winry était une jeune fille charmante qui se liait facilement et recevait facilement du courrier de ses nombreuses connaissances. Ça aurait pu être d'Al à Dublith, ou de Paninya à Rush Valley, ou de la petite Elysia qui à défaut décrire, dessinait déjà, ou d'encore plein de personne différentes possibles !
Mais oui, cette lettre-là venait bien de Scieszka et sa réaction était visible comme le nez au milieu de la figure. Ou peut-être une vague de rouge au milieu de la figure, si ça se trouve...)
Inutile de nier ; elle hocha la tête, les yeux timidement baissés, et poursuivit plus lentement sur quelques pas.
« Bonnes nouvelles, je suppose ? fit Pinako dans son dos.
- Hm ! »
Pinako tira sur sa pipe et ses lèvres claquèrent avec un bruit de baiser. Cette fois convaincue d’avoir vraiment viré à l’écarlate, Winry s’enfuit presque, clamant qu’elle avait des tonnes de trucs à faire aujourd’hui et qu’il fallait qu’elle file à l’atelier.
(Comme si c'était quelque chose de répréhensible que d'avoir une amie chère qui vous écrit de longues, longues lettres depuis des centaines de kilomètres... Allons, ça se faisait encore couramment il n'y a pas si longtemps, avant qu'on invente le téléphone, non ?
N'importe, même si elle n'avait rien à se reprocher, même si leur amitié n'était un secret pour personne, he bien, elle voulait pouvoir en profiter dans son coin à elle, sans partager avec personne non plus. Na.)
Là, elle pourrait relire et relire et relire encore sa lettre et rêvait à ce qu'elle lui répondrait.
***
à conclure
[ épilogue]