C'est amusant comme tu dis que certains de tes proches ne te reconnaissaient pas à travers ta passion trouvée pour la course, je trouve au contraire que c'est une évolution logique de tes goûts, de ton besoin de simplicité et de communion avec la nature. Gravir une montagne, en courant en plus, doit apporter non seulement une joie mais un rapport plus intime avec sa puissance. Je remarque surtout ceci avec tes photos ; j’ai toujours beaucoup apprécié ton œil de photographe, et je trouve que les images que tu montres avec cet article dégagent quelque chose de rayonnant, de profondément vivant et joyeux. Les poster en parallèle de ton témoignage lui donne encore plus d’impact ! En tout cas je suis ravie que tu aies trouvé une si belle source d’épanouissement
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C'est la culture de la télé, les gens sont dans un rapport de consommation. Faut que ça ai l'air entrainant, que ça aille vite, et fort et que tout ait l'air beau. Voir des hommes s'écrouler d'épuisement dans la nuit, comme c'était le cas à ce poste de secours, ça ne les intéresse pas: ce n'est pas ce coté-là du sport que les gens veulent voir. Moi, ça m'a bouleversée de recueillir ces gens qui avaient à peine la force de parler, de leur donner une soupe chaude et de parler 10 minutes: pour certains, qui venaient de courir plus de 7h, seuls, dans la nuit, c'était un vrai soulagement, une vraie pause, je pense. *commentaires derrière: "ouh, il parle beaucoup celui-là, mais on l'a pas vu beaucoup courir!" "- tu crois qu'il va repartir? - ça m'étonnerait, il a l'air cramé
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Première fois que ça m'arrive: trop de caractères dans un seul commentaire, j'ai du spliter celui-ci en deux! Je suis d'un bavard aujourd'hui... Il faut que je me taise! A bientôt.
Exactement. Le végétarisme est à peu près passer mais le veganisme, je n'ose en parler. La nourriture est un sujet qui peut fâcher, à la maison
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