Chaque samedi, à Nice, sur la promenade des Anglais, d'interminables cortèges de limousines décapotées foncent plein gaz en faisant hurler leurs avertisseurs. La plupart de ces véhicules sont enrubannés comme des oeufs de Pâques et bourrés de gens qui, par leur façon de rire ou de sourire, tiennent à manifester à ceux qui les voient passer un ( Read more... )

They, the people. -- Le fait que les intellectuels aient le plus souvent affaire avec des intellectuels ne devrait pas les entraîner à croire leurs pareils pires encore que le reste de l'humanité. En règle générale, ils apprennent en effet à se connaître dans les circonstances qui sont les plus humiliantes et les plus indignes, c'est-à-dire en ( Read more... )

Ce matin, il n'y a rien à faire. Tout ne fait qu'ajouter à mon accablement. Il y a des matins comme ça ( Read more... )

J'écrivais hier que je ne me sentais pas en mesure d'affronter Adorno. Ça ne signifiait pas pour autant que je n'avais pas envie qu'on me l'impose un peu malgré moi. Disons que je n'avais pas le coeur d'aller jusque lui mais que j'avais très envie, que j'avais vraiment besoin qu'il vienne jusqu'à moi. Grève oblige, la chose n'a pas eu lieu. Nous ( Read more... )

Lorsque nous avons adopté notre petit Ferdin', n'ayant jamais vécu avec un chaton jusque-là, nous ne nous doutions pas que ce choix affecterait notre sommeil pendant des mois. Depuis, Ferdinand a pris de l'âge, il est devenu un matou d'une taille impressionnante, long et haut sur pattes. Il dort beaucoup plus longtemps qu'avant en plein jour et ( Read more... )