[Le mathématicien et le tireur d'élite] Chapitre 01
Titre: Le mathématicien et le Tireur d'élite (M&T)
Auteur: Uld_Ases
Chapitre: 01/??
Pairing: Charlie/Ian
Rating: G
Disclaimer: Je ne possède pas Numb3rs
Warnings/Squicks:
Résumé: La rencontre entre le mathématicien et le tireur d’élite.
Sommaire : 02 03 04
Notes:
Beta(s): aucun
Graphics (size, and artist): xxx
Ian Edgerton avait trouvé Charlie Eppes fascinant depuis le moment où il avait posé les yeux sur le jeune professeur. Ian savait que les maths, la physique entraient en considération dans le métier de tireur d’élite. Mais il était un instinctif. Les calculs nécessaires (angle de tir, distance…), il les faisait naturellement, sans réfléchir. Il avait fallu peu de temps au mathématicien pour trouver le lieu où le tireur avait été embusqué, à quelques mètres près. Ian en avait été fasciné, sans qu’il sache pourquoi. Plus il parlait à Charlie, plus il pouvait voir la réelle passion pour ses chères mathématiques. Autant qu’il en avait pour les armes et le tir. Bien. Ian pouvait s’en sortir face à un autre passionné. Et puis il aimait les débats.
Charlie Eppes avait trouvé Ian Edgerton d’un abord horripilant. Puis il avait compris, plus tard, qu’Ian était aussi perfectionniste dans son métier que Charlie l’était dans le sien. Et Charlie fit passer Ian de « agent horripilant qui sait tout et qui ne se prive pas de me le faire savoir » à « agent perfectionniste qui pourrait devenir un bon ami. » Au fil des discussions avec le tireur d’élite, Charlie avait senti une sorte de connexion, qui ne se faisait qu’entre gens extrêmement passionnés. Charlie aimait ces discussions. Et il fut surpris que le départ de l’agent s’accompagne d’une sensation de vide difficile à combler. Ian reviendrait tôt ou tard. Et il espérait que ce fût tôt.
Au fil des missions communes, Ian s’était rendu compte d’une chose : le professeur était maladroit avec la vie en société. Il avait remarqué aussi qu’Amita Ramanujan avait le béguin pour le professeur et Ian s’était aperçu de quelque chose qu’il n’aimait pas. Elle n’aimait pas Charlie, elle aimait le Professeur Eppes. Et c’était intolérable. Charlie avait d’étonnantes qualités qui le faisait aimer de tout le monde ou presque. Même Marshall Penfield, son rival, adorait (secrètement) Charlie. Quand il voulut savoir comment la relation avançait entre Charlie et la jeune Indienne, Don lui avait dit que cela n’était pas bon du tout. Apparemment, Amita ne se privait pas de critiquer Charlie, pour des choses apparemment futiles. Penfield avait même demandé à Don de garder un œil sur Amita. La première fois qu’ils s’étaient rencontrés, elle s’était pratiquement jetée sur lui. Elle lui aurait dit que « puisque Charlie ne peut rien faire tant que je suis son étudiante, je ne vais pas me priver d’amusement. » Tout espoir de voir son frère heureux avec quelqu’un qui pouvait le comprendre et le ramener sur la terre du commun des mortels s’était envolé à ce moment-là. Alan n’avait pas apprécié non plus. Et Amita n’était plus bienvenue dans la maison des Eppes.
Quand Ian entra dans le bureau de Charlie et que celui-ci l’aperçut, le visage du professeur s’illumina. Et Ian en fut tout troublé. Même s’il ne le montrait pas (ou du moins il l’espérait). Il ne comprenait pas bien d’où cette fascination pour le plus jeune venait. Il aimait bien Charlie. Correction. Il aimait beaucoup Charlie. Et il soupira mentalement. Tomber amoureux du jeune professeur ne faisait pas partie de ces plans, pas du tout. Mais voir le visage illuminé du jeune homme (sachant surtout qu’il en était la cause) rendit Ian tout chose. Et il en fut certain. Il était amoureux. Truly, madly, deeply. Ah ! Zut.
Auteur: Uld_Ases
Chapitre: 01/??
Pairing: Charlie/Ian
Rating: G
Disclaimer: Je ne possède pas Numb3rs
Warnings/Squicks:
Résumé: La rencontre entre le mathématicien et le tireur d’élite.
Sommaire : 02 03 04
Notes:
Beta(s): aucun
Graphics (size, and artist): xxx
Ian Edgerton avait trouvé Charlie Eppes fascinant depuis le moment où il avait posé les yeux sur le jeune professeur. Ian savait que les maths, la physique entraient en considération dans le métier de tireur d’élite. Mais il était un instinctif. Les calculs nécessaires (angle de tir, distance…), il les faisait naturellement, sans réfléchir. Il avait fallu peu de temps au mathématicien pour trouver le lieu où le tireur avait été embusqué, à quelques mètres près. Ian en avait été fasciné, sans qu’il sache pourquoi. Plus il parlait à Charlie, plus il pouvait voir la réelle passion pour ses chères mathématiques. Autant qu’il en avait pour les armes et le tir. Bien. Ian pouvait s’en sortir face à un autre passionné. Et puis il aimait les débats.
Charlie Eppes avait trouvé Ian Edgerton d’un abord horripilant. Puis il avait compris, plus tard, qu’Ian était aussi perfectionniste dans son métier que Charlie l’était dans le sien. Et Charlie fit passer Ian de « agent horripilant qui sait tout et qui ne se prive pas de me le faire savoir » à « agent perfectionniste qui pourrait devenir un bon ami. » Au fil des discussions avec le tireur d’élite, Charlie avait senti une sorte de connexion, qui ne se faisait qu’entre gens extrêmement passionnés. Charlie aimait ces discussions. Et il fut surpris que le départ de l’agent s’accompagne d’une sensation de vide difficile à combler. Ian reviendrait tôt ou tard. Et il espérait que ce fût tôt.
Au fil des missions communes, Ian s’était rendu compte d’une chose : le professeur était maladroit avec la vie en société. Il avait remarqué aussi qu’Amita Ramanujan avait le béguin pour le professeur et Ian s’était aperçu de quelque chose qu’il n’aimait pas. Elle n’aimait pas Charlie, elle aimait le Professeur Eppes. Et c’était intolérable. Charlie avait d’étonnantes qualités qui le faisait aimer de tout le monde ou presque. Même Marshall Penfield, son rival, adorait (secrètement) Charlie. Quand il voulut savoir comment la relation avançait entre Charlie et la jeune Indienne, Don lui avait dit que cela n’était pas bon du tout. Apparemment, Amita ne se privait pas de critiquer Charlie, pour des choses apparemment futiles. Penfield avait même demandé à Don de garder un œil sur Amita. La première fois qu’ils s’étaient rencontrés, elle s’était pratiquement jetée sur lui. Elle lui aurait dit que « puisque Charlie ne peut rien faire tant que je suis son étudiante, je ne vais pas me priver d’amusement. » Tout espoir de voir son frère heureux avec quelqu’un qui pouvait le comprendre et le ramener sur la terre du commun des mortels s’était envolé à ce moment-là. Alan n’avait pas apprécié non plus. Et Amita n’était plus bienvenue dans la maison des Eppes.
Quand Ian entra dans le bureau de Charlie et que celui-ci l’aperçut, le visage du professeur s’illumina. Et Ian en fut tout troublé. Même s’il ne le montrait pas (ou du moins il l’espérait). Il ne comprenait pas bien d’où cette fascination pour le plus jeune venait. Il aimait bien Charlie. Correction. Il aimait beaucoup Charlie. Et il soupira mentalement. Tomber amoureux du jeune professeur ne faisait pas partie de ces plans, pas du tout. Mais voir le visage illuminé du jeune homme (sachant surtout qu’il en était la cause) rendit Ian tout chose. Et il en fut certain. Il était amoureux. Truly, madly, deeply. Ah ! Zut.