Je l'ai souvent dit, je déteste, j'exècre la nostalgie. Je suis dégoûtée en particulier par la glorification de l'adolescence comme un moment béni, idyllique, où l'on vivait pleinement, où l'on ne redoutait pas de s'abandonner à ses passions, où l'on était en quête d'infini. Inutile de préciser que je suis encore plus dégoûtée par la représentation
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Comments 3
si tu as aimé blankets, pour l'ensemble de son œuvre tu aimeras sans aucun doute Lost at sea du scott pilgrimmeux Bryan O Maley
parce que je le recommande à tout le monde,
- vague à l'âme, gregory mardon
- petite éclipse - fane et jim
- le combat ordinaire - Larcenet (désormais un classique)
- une demi-douzaine d'elles, Anne Baraou et Fanny Dalle-Rive
- epileptic, david b.
- I never like you, Chester brown
Je n'ose même pas nommer les maus, persepolis, playboy et ghost world et l'ensemble de l'œuvre de Marc Antoine Mathieu tant je me dis que c'est le minimum requis pour avoir droit de parole en littérature !graphique
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Et cette idée de vie amoureuse? Cette assymétrie de l'esprit. Elle ne peut que se développer plus tard. Elle ne peut que se construire plus tard. Les choses nous les construisons. Nous ne les trouvons pas tout simplement ou elles viennent à nous. C'est faux. Se résigner c'est nier la vérité, c'est arrêter la quête, l'écriture.
-h.
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