[Hawaii Five-0] 52 semaines avant la fin - Steve/Danny - G
Titre : 52 semaines avant la fin
Chapitre : 2/52
Auteur : camille_miko
Rating : G
Disclaimer : Hormis l'histoire, patamoi.
Fandom : Hawaii Five-0
Pairing : Steve/Danny
Résumé : La semaine suivant la Saint-Valentin, Danny a commencé à recevoir des présents. Sauf qu’il n’a aucune idée de qui les lui offre.
Bêta : Azh’
AO3 // FF.net //
Malgré ses recherches, Danny n’avait pas pu découvert la personne à l’origine de la rose sur son bureau. Le garde de faction à l’accueil n’avait rien vu de particulier et mes empreintes qu’il avait relevées sur la porte de son bureau ne s’étaient révélée appartenir qu’à Steve, Chin, Kono, Max ou lui-même.
D’un côté, il avait craint que ce genre de chose ne commence à se multiplier et il avait été soulagé de ne rien voir arriver tout au long de la semaine. En quelque sorte, il semblait avoir échappé au pire.
D’un autre côté, il devait reconnaître que l’attention était certainement agréable, mais il n’avait aucune idée de son expéditeur et cela le mettait profondément mal à l’aise. Il avait même vérifié au près de Grace que ce n’était pas un cadeau de sa part. Même si le message qui accompagnait la fleur rendait cette proposition étrange.
Ce qui l’inquiétait réellement, c’était que ces choses étranges pouvaient parfaitement être le premier pas d’un harcèlement. Quand il était dans le New Jersey, il en avait vu plus d’un et ce n’était pas beau.
Le pire était que la victime ne savait généralement plus quoi faire tout en restant dans la légalité pour se débarrasser de son harceleur. Quant à ce dernier, il ne voyait pas où était le problème la large majorité du temps.
La police avait peu de marge de manœuvre pour gérer ce type de problème. Ils étaient coincés entre la loi et les droits civiques du harceleur. Plus d’une fois, Danny aurait bien secoué le sale type à l’origine de cela, mais… Il ne pouvait pas.
Les plus enragés était certainement quand ils étaient d’ex petits-amis largués qui refusaient de l’entendre. La jeune femme était généralement terrorisée et tout ce qu’il pouvait leur dire était un stupide « tant qu’il ne profère aucune menace ou qu’il ne porte pas la main sur vous, on ne peut rien faire ». Autant dire qu’ils étaient inutiles.
Il était vrai qu’il n’était pas sans défense comme ces pauvres femmes. Il avait une arme et il savait parfaitement s’en servir. Il était formé à se battre, se défendre et plus encore à identifier les preuves valables aux yeux de la loi. Si quelqu’un pouvait arriver à coincer son propre harceleur, c’était bien un policier.
Néanmoins, il n’y avait pas que lui. Il y avait aussi Grace. Sa fille était bien trop jeune pour être confrontée à ce genre de problème. De plus, elle n’était pas en capacité de se défendre pour le moment, du haut de ses dix ans.
Il y avait aussi Steve… Il avait été poursuivi par des meurtriers, torturés par des trafiquants d’êtres humains et assassins, sans compter son absence totale d’aptitude aux relations humaines. Autant dire que si son petit ami découvrait qu’il était la cible d’un harceleur, il craignait pour la vie de ce dernier et pour l’équilibre intellectuel de son amant.
Enfin… Même si Hawaii n’était pas son choix premier pour vivre, il devait reconnaître que l’endroit était plutôt agréable et qu’entre son couple, sa fille et son travail de rêve, rien ne lui donnait envie de partir pour se débarrasser d’un cinglé.
Alors, une semaine après le dépôt de la rose, Danny avait relâché la pression. Toute l’équipe avait passé la soirée chez Steve, autour d’un barbecue, avec le reste de leur ohana. Ils étaient partis tard dans la nuit et lui était resté dormir avec son amant.
Quand il sortit de chez Steve, ce matin-là, pour aller chercher son courrier, il découvrit, posé sur le siège conducteur, un carton de pâtisserie rempli de malasadas. Sa voiture était fermée, comme il l’avait laissée la vieille.
En ouvrant la porte, il se rendit compte qu’ils venaient de sa boutique préférée et qu’un mot avait été agrafé.
« Quoi que j’en dise, je ne les oublie jamais. Je t’aime. »
Non, réellement, non. Ça n’allait pas pouvoir continuer…
A suivre…
N'hésitez pas à reviewer, cela fait toujours plaisir !
_________
Pour le début :
AO3 // FF.net // LJ
Chapitre : 2/52
Auteur : camille_miko
Rating : G
Disclaimer : Hormis l'histoire, patamoi.
Fandom : Hawaii Five-0
Pairing : Steve/Danny
Résumé : La semaine suivant la Saint-Valentin, Danny a commencé à recevoir des présents. Sauf qu’il n’a aucune idée de qui les lui offre.
Bêta : Azh’
AO3 // FF.net //
Malgré ses recherches, Danny n’avait pas pu découvert la personne à l’origine de la rose sur son bureau. Le garde de faction à l’accueil n’avait rien vu de particulier et mes empreintes qu’il avait relevées sur la porte de son bureau ne s’étaient révélée appartenir qu’à Steve, Chin, Kono, Max ou lui-même.
D’un côté, il avait craint que ce genre de chose ne commence à se multiplier et il avait été soulagé de ne rien voir arriver tout au long de la semaine. En quelque sorte, il semblait avoir échappé au pire.
D’un autre côté, il devait reconnaître que l’attention était certainement agréable, mais il n’avait aucune idée de son expéditeur et cela le mettait profondément mal à l’aise. Il avait même vérifié au près de Grace que ce n’était pas un cadeau de sa part. Même si le message qui accompagnait la fleur rendait cette proposition étrange.
Ce qui l’inquiétait réellement, c’était que ces choses étranges pouvaient parfaitement être le premier pas d’un harcèlement. Quand il était dans le New Jersey, il en avait vu plus d’un et ce n’était pas beau.
Le pire était que la victime ne savait généralement plus quoi faire tout en restant dans la légalité pour se débarrasser de son harceleur. Quant à ce dernier, il ne voyait pas où était le problème la large majorité du temps.
La police avait peu de marge de manœuvre pour gérer ce type de problème. Ils étaient coincés entre la loi et les droits civiques du harceleur. Plus d’une fois, Danny aurait bien secoué le sale type à l’origine de cela, mais… Il ne pouvait pas.
Les plus enragés était certainement quand ils étaient d’ex petits-amis largués qui refusaient de l’entendre. La jeune femme était généralement terrorisée et tout ce qu’il pouvait leur dire était un stupide « tant qu’il ne profère aucune menace ou qu’il ne porte pas la main sur vous, on ne peut rien faire ». Autant dire qu’ils étaient inutiles.
Il était vrai qu’il n’était pas sans défense comme ces pauvres femmes. Il avait une arme et il savait parfaitement s’en servir. Il était formé à se battre, se défendre et plus encore à identifier les preuves valables aux yeux de la loi. Si quelqu’un pouvait arriver à coincer son propre harceleur, c’était bien un policier.
Néanmoins, il n’y avait pas que lui. Il y avait aussi Grace. Sa fille était bien trop jeune pour être confrontée à ce genre de problème. De plus, elle n’était pas en capacité de se défendre pour le moment, du haut de ses dix ans.
Il y avait aussi Steve… Il avait été poursuivi par des meurtriers, torturés par des trafiquants d’êtres humains et assassins, sans compter son absence totale d’aptitude aux relations humaines. Autant dire que si son petit ami découvrait qu’il était la cible d’un harceleur, il craignait pour la vie de ce dernier et pour l’équilibre intellectuel de son amant.
Enfin… Même si Hawaii n’était pas son choix premier pour vivre, il devait reconnaître que l’endroit était plutôt agréable et qu’entre son couple, sa fille et son travail de rêve, rien ne lui donnait envie de partir pour se débarrasser d’un cinglé.
Alors, une semaine après le dépôt de la rose, Danny avait relâché la pression. Toute l’équipe avait passé la soirée chez Steve, autour d’un barbecue, avec le reste de leur ohana. Ils étaient partis tard dans la nuit et lui était resté dormir avec son amant.
Quand il sortit de chez Steve, ce matin-là, pour aller chercher son courrier, il découvrit, posé sur le siège conducteur, un carton de pâtisserie rempli de malasadas. Sa voiture était fermée, comme il l’avait laissée la vieille.
En ouvrant la porte, il se rendit compte qu’ils venaient de sa boutique préférée et qu’un mot avait été agrafé.
« Quoi que j’en dise, je ne les oublie jamais. Je t’aime. »
Non, réellement, non. Ça n’allait pas pouvoir continuer…
A suivre…
N'hésitez pas à reviewer, cela fait toujours plaisir !
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Pour le début :
AO3 // FF.net // LJ