L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible
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La laisser faire, il en était hors de question pour Hunt. D'ailleurs, que voulait-elle faire au juste ?
Elle le regarde par en dessous, sous cette masse de boucles vénitiennes qui semble avoir emprisonné une mystique luminosité automnale... Un sourire disymétrique illumine ses joues et son front rebondis, ses yeux bleus brillent d'un rire silencieux et pervers.
Pervers ?
Elle le regarde par en dessous. Elle sourie de ces dents qu'elle a étonnamment parfaites pour un fille de la rue, et le rose sur ses joues ressemble à une tâche de sang sur l'émail.
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- Blake ? Pourquoi il y a du sang sur le lavabo ?
Aucune réponse.
- Petit frère ?
Silence. Pourtant Blake est là, il l’a entendu plus tôt dans l’appartement. Enfin, il remarque son rasoir déplacé ET humide.
- BLAKE ! Tu as encore essayé de te raser ?! Avec mon rasoir ?!! Combien de fois il faudra te le dire, tu es imberbe ! Imberbe, frérot !
Blake passe la tête par la porte, l’air contrit, un pansement sur sa joue gauche.
- Mais j’ai rendez-vous avec Tori, je dois être parfait.
Hunter roule des yeux. Son frère est incorrigible.
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Il n'est qu'un prisonnier. Il n'est plus rien sans les tambours.
Une vague de rage amère l'envahit, foudroyante, et son poing vient briser le miroir face à lui, fractionne son reflet en un milliard de faces hâves et tirées, en un milliard d'yeux gris qu'il ne reconnaît pas.
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Un milliard d’yeux gris qu’il ne reconnaît pas fixent Aang. Parce qu’il n’a jamais connu autant de Nomades de l’Air de son vivant, ni même de leur vivant, il espère qu’il est juste en train de rêver.
Il n’est pas si sûr.
Il pourrait être passé dans le Monde des Esprits.
Il est peut-être mort à son tour.
Réclament-ils justice ? ou vengeance ?
Et si nombreux… Sont-ce tous les membres de son peuple qui ont vécu depuis que le monde est monde qui sont mort avant lui ?
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Une tache de sang sur l’émail de sa cuvette. Holly reste tout interdite. Comment est-elle arrivée là ? Elle a toussé un peu, comme chaque matin. Chaque matin. Quel jour est-on ? Qui a-t-elle vu la veille ?
Ça ne peut pas venir d’elle !
Aucun client ne l’a frappée au visage. Jamais elle ne s’est mordu la langue ou la joue.
Ce sang, d’où vient-il ?
De nouveau elle tousse et crache. Une deuxième tache s’étale.
Son monde s’écroule. Pas ça ! Des années à éviter la syphilis et c’est pour se retrouver tubarde ?
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*fait la danse de la joie pour Assurancetourix*
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Et +1 pour la danse de la joie pour Assurancetourix, le pauvre est mal aimé.
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Il sait à quelle heure aller prendre son café, quand passer acheter le journal, à quel moment précis faire ses courses.
"On se croise incroyablement souvent, Dubois, non?" finit par lui faire remarquer Pansy.
"Ne va pas croire que c'est du hasard," reconnaît-il avec un aplomb superbe.
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"Timing, Sherlock, on en a déjà discuté.
- C'est pas bon ?
- Non Sherlock, ce n'est pas très bon. La prochaine fois, attends que la veuve éplorée de la victime soit partie avant de t'extasier sur la manière dont son mari a été répandu aux quatre coins de la pièce.
- Oh. D'accord."
L'empathie (ou la déscence, ou la retenue, ou la modestie) ne sont pas les points forts de Sherlock, mais heureusement John en a a revendre pour deux.
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