Sapin à drabbles (23 décembre 2011 au 9 janvier 2012)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
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Comments 247
- Laissez faire les professionnels, beuglait Fantasio en jouant des coudes, espérant se faufiler à travers la foule des curieux qui se pressaient en masse contre les barrières de sécurité.
- Un professionnel qui n’a pas su obtenir de coupe-file officiel pour l’événement qu’il prétend couvrir, soupire Spirou. Évidemment, si on n’est pas aidé…
Risquant la sécurité de son précieux appareil-photo, Fantasio avançait à grand’ peine.
- Si je n’avais pas peur qu’il se fasse piétiner, j’enverrais bien Spip nous dégager le passage en leur mordant les chevilles…
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Le chien ne se fait pas prier et se jette comme un fou au milieu des passants qui détalent aussitôt. Caquetant, Hiruma traverse tranquillement le centre commercial. Un vigile, tremblant, se cache derrière un poteau, l'observant jouer avec LE cahier.
Bon, maintenant qu'il n'y a plus personne, il peut enfin acheter le nouveau matos pour les entraînements. Il sourit méchamment, il ne faudra surtout pas oublier d’envoyer la facture au proviseur.
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Avec un enthousiasme débordant, Pol prêtait main forte à l’équipe de forage. Lorsque Khany faisait revenir ses amis terriens sur Vinéa c’était plutôt pour élucider un mystère planétaire ou intergalactique. Mais leur dernière mission résolue en un temps record, avec de longues semaines à meubler avant le départ de la navette de retour, autant donner un coup de main pour l’ordinaire aussi.
Présentement, la construction d’une nouvelle cité pour accueillir la population rapatriée grandissante réclamait de creuser de profondes fondations.
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Il soupira en regardant l’école de ninja de son père. Il ne comprenait pas pourquoi il n’avait pas le droit de s’entraîner, pourquoi il avait toujours été privé du droit d’être un ninja. Mais puisqu’il ne pouvait prouver sa valeur par le combat, il s’assurerait d’être le meilleur pour le reste, et sincèrement, il était temps de moderniser la grotte des Power Rangers.
Oui, de bonnes fondations pour supporter le poids des zords et une vraie salle de technologie, puis ne pas oublier d’installer, au cas où, un bunker avec salle de bain, wc et cuisine.
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La laisser faire, il en était hors de question pour Hunt. D'ailleurs, que voulait-elle faire au juste ?
Elle le regarde par en dessous, sous cette masse de boucles vénitiennes qui semble avoir emprisonné une mystique luminosité automnale... Un sourire disymétrique illumine ses joues et son front rebondis, ses yeux bleus brillent d'un rire silencieux et pervers.
Pervers ?
Elle le regarde par en dessous. Elle sourie de ces dents qu'elle a étonnamment parfaites pour un fille de la rue, et le rose sur ses joues ressemble à une tâche de sang sur l'émail.
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Ses yeux joueurs le tétanisent complètement. Est-ce sa langue coquine qui vient de bouger entre ses lèvres ? Elle respire lentement alors que lui ne respire plus. Sa poitrine, faite pour porter l'enfant Jésus, semble sur le point de faire exploser le corset sous sa robe, comme un pain rustique et authentique gonflant dans le four, et soulevant le linge qui le recouvre.
Le linge ?
...Hunt n'eut pas le temps de confirmer sa résolution : le jeune modèle s'était agenouillé et l'avait déboutonné à la ceinture.
Pour le sauver et lui apprendre la vie.
Souhait :) La maison de la sorcière (Lovecraft) - Walter Gilman/Frank Elwood
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Son épouse fixe la Divinatrice, l'implorant silencieusement. La vieille chèvre secoue la tête.
« C'est telle quelle que ma vision vous a été délivrée, je ne puis faire davantage la lumière dessus.
- Ne vois-tu vraiment rien de plus? Divinatrice! C'est de Shen qu'il est question! Quel donc sera son sort?
- Une prédiction possède plus d'une interprétation, dont aucune n'est définitive : il est toujours possible d'influer sur un avenir entraperçu. »
Les deux paons échangent un regard.
« Allons trouver notre fils ; parlons-lui. »
Malheureusement lorsqu'ils s'y rendent, son laboratoire est déjà vide.
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Le capitaine tente de se lever de sa couchette; sans succès. Le tangage du bateau et l'alcool dans ses veines le font rouler à l'instar de la bouteille vide qu'il vient de lâcher. Percutant le mur, Jack n'arrive qu'à grogner en levant le poing au plafond.
- Doucement là-haut ! Faut pas brutaliser le capitaine...
Se relevant sur les coudes, Jack la voit. La divine bouteille encore pleine de rhum. Rampant sur le sol, Jack tendit la main vers son bien. La bouteille vacilla de la table, se brisa devant le nez de Jack.
- Fichue journée.
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La laisser faire ? Madame Kumoi ne sait plus quoi penser. Pour une fois, elle doit reconnaître qu’elle ne voit pas où la souris (bon, d’accord, le directeur Nezumi) veut en venir.
Monsieur Muranishi ne comprend pas non plus, mais cela ne le dérange apparemment pas. Il regarde madame Kumoi, les yeux brillants.
Cette dernière s’apprête à rappeler les agents de sécurité. Soudain, elle se fige.
Sur le petit écran de télévision, elle vient de voir l’adolescente tomber sur la scène depuis les cintres.
(Reste calme, Kasumi. Reste calme).
Elle ne peut s’empêcher de lâcher :
- Et maintenant, on fait quoi ?
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Monroe ne peut s'empêcher d'écarquiller les yeux.
« Tu me demandes ça, à moi ? C'est toi le Grimm ! »
Non mais franchement ! Et tant qu'il y est, il veut pas que Monroe fasse son boulot à sa place, aussi ?
« C'est toi l'expert, répond Nick sans se départir de son calme.
- L'expert ? L'expert ?? Je te l'ai déjà dit : Blutbadden et Jägerbars ne font pas bon ménage ! »
Un grognement retentit de l'autre côté de la porte contre laquelle ils s'appuient tous les deux, porte qui ne tarde pas à trembler.
Il va falloir trouver quelque chose, et vite.
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Il va falloir trouver quelque chose, et vite, pour régler le problème des derniers Zorkons qui pullulent encore à Champignac. Ces petites horreurs ont trouvé moyen de contourner la sénescence accélérée censée mener leur espèce à l’extinction sans possibilité de renouvellement de génération. Seraient-ils immortels ?
Le Comte, étonné puis vite fasciné par leurs capacités, résiste encore à l’envie d’appeler ses collègues pour les étudier. Moins le monde en saura, moins il y aura de risque que quelqu’un fasse tout empirer en les lâchant en pleine nature.
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Les Kelzacs s’en donnent à cœur joie et furètent partout, effrayant au passage commerçants et clients. Ils entrent dans un magasin, le vandalisent, le mettent sens-dessus-dessous et repartent vers une autre boutique. Marah s’en ronge les ongles. Ça va encore être de sa faute. Tout ce qu’elle voulait c’est faire du shopping un peu seule pour une fois, sans sa peste de sœur. Les Kelzacs, c’était juste pour porter les sacs. Et maintenant, elle ne peut même pas s’acheter de petites robes parce qu’évidemment, il n’y a plus de boutiques.
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- Sakurakoji est exceptionnelle, avoua Toki en s'allongeant sur le canapé.
- Ce n'est qu'un spécimen rare que j'étudie.
- Et ses idées de bonté sont contagieuses. Nos ennemis ne font pas un pli, et nous non plus d'ailleurs."
Un silence lourd envahit la pièce entre les deux code breaker jusqu'à ce qu'Ogami dévoile autant qu'il le pouvait son inquiétude.
"Et donc, je devrais la laisser affronter le danger seule. Il n'en est pas question.
- Où est donc passé ton insensibilité. Tu changes chaque jour que tu la côtoie. Ce petit côté protecteur te va à merveille."
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Junpei hocha la tête, se mordant les lèvres. Il hésitait entre rire ou pleurer, ses nerfs jouant au yo-yo. Chidori avait été tué sous ses yeux - elle avait souri pour la première fois, l'unique et la dernière. Minato allait devoir se sacrifier pour sauver le monde et Ryoji allait disparaitre. Comment aller bien après tout cela ?
L'adolescent sentit Akihiko s'asseoir à ses côtés sur le divan, et poser une main sur son dos. Ce fut le geste qui fit sombrer le masque souriant qu'il portait. Les larmes furent cachés par les bras d'Akihiko.
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Alors Misaki lui faisait ses repas dans la joie et la bonne humeur.
Et même s’il était très intelligent, ayant fait ses études dans l’une des plus prestigieuses universités du pays, Usami ignorait tout du repassage.
Mais ce n’était pas grave, Misaki s’en occupait pour lui avec entrain, sans jamais se plaindre.
Bien qu’il soit un homme tout à fait séduisant, Usami n’avait pas d’épouse.
Après tout, il avait déjà Misaki à la maison, c’était suffisant, non ?
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- Veille bien sur ma poupée, surtout, demande Rosée à Poky avant de suivre Yoko dans la navette de retour vers la Terre.
Poky promet gravement et embrasse son amie une dernière fois.
- Es-tu bien sûre de vouloir t’en séparer, Rosée ? s’inquiète quand même Yoko.
- Oui ! Poky dit qu’elle s’ennuie pendant tout ce très, très long temps où on est pas sur sa planète. Alors je lui prête Madame Chu. Elle sera une bonne maman pour elle, hein ?
- Certainement.
- Et comme ça elle ne m’oubliera pas !
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- Zip' elle a nous aider pour trouver l'amoureux secret de Marius. Prudence est de confiance !
Ziprian ne dit rien, se frotta là où avait siégé Constant sa moustache - elle lui manquait parfois, surtout le matin quand il était armé de son rasoir.
- Et elle serait capable de trouver l'identité du Handsome Man ? Je suis sceptique. Puis tiens, tu l'appelles par son prénom maintenant ?
- Ah et bien c'est que... c'est plus simple.
- Oh bouchon, tu es devenu un homme ! On va fêter ça au Starbucks !
(Souhait : du Cockroach Inc. ♥)
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- Fukuda...
- Quoi? Tu préfères qu'on fasse ça chez Niizuma-shisho? Hey! J'ai dit ça pour te faire plaisir!... Et parce que j'en retiens aucun, des noms de tes foutus salons de thé!
- Je n'ai pas dit que je voulais aller dans un salon de thé!
- Alors on va au Starbucks! On trinque vite fait avec un café, ou un thé ou j'sais pas quoi et on retourne bosser après!
- Pourquoi "vite fait"?! Je vais épouser Yuri-tan! Ça mérite plus que des félicitations express!
- Hahaha! Z'êtes pas encore mariés qu'elle te sert déjà d'excuse pour pas travailler? Tu vas avoir du boulot, princesse! »
(Souhait : du Bakuman. :D)
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C'était sans compter sur l'ingénuité de Raiponce. Usant toujours d'un prétexte différent, la princesse abandonne parents et invité du jour pour les rues de la ville. Tout cela en compagnie de son jeune époux qui la rejoignait dans ses escapades.
- Un jour père et mère me puniront, affirma Raiponce alors qu'elle croquait dans un pain tout juste acheté à un stand.
- On peut pas punir d'aussi belle princesse.
En réponse Flynn reçut un coup de coude.
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- Deux coudées et demi ? c’est qu’elle grandit, cette petite ! s’extasie le Grand Prêtre d’Ammon en voyant la jeune princesse royale Nefer-Neferou-Theti-Cheri côtoyer les fresques de son temple.
- Oh, elle sera bientôt une Danseuse d’Isis accomplie !
- Avez-vous déjà pensé à un prince consort pour elle ? non ? Et son emplacement dans la Vallée des Reines ? non plus ?
(Note intérieure :
- Dépêchons-nous de la faire disparaître, avant qu’elle n’ait l’âge d’avoir des enfants pour compliquer la succession royale. Et puis ça coûtera moins cher de sarcophage.)
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