Sapin à drabbles (23 décembre 2011 au 9 janvier 2012)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
- Sakurakoji est exceptionnelle, avoua Toki en s'allongeant sur le canapé.
- Ce n'est qu'un spécimen rare que j'étudie.
- Et ses idées de bonté sont contagieuses. Nos ennemis ne font pas un pli, et nous non plus d'ailleurs."
Un silence lourd envahit la pièce entre les deux code breaker jusqu'à ce qu'Ogami dévoile autant qu'il le pouvait son inquiétude.
"Et donc, je devrais la laisser affronter le danger seule. Il n'en est pas question.
- Où est donc passé ton insensibilité. Tu changes chaque jour que tu la côtoie. Ce petit côté protecteur te va à merveille."
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Junpei hocha la tête, se mordant les lèvres. Il hésitait entre rire ou pleurer, ses nerfs jouant au yo-yo. Chidori avait été tué sous ses yeux - elle avait souri pour la première fois, l'unique et la dernière. Minato allait devoir se sacrifier pour sauver le monde et Ryoji allait disparaitre. Comment aller bien après tout cela ?
L'adolescent sentit Akihiko s'asseoir à ses côtés sur le divan, et poser une main sur son dos. Ce fut le geste qui fit sombrer le masque souriant qu'il portait. Les larmes furent cachés par les bras d'Akihiko.
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Alors Misaki lui faisait ses repas dans la joie et la bonne humeur.
Et même s’il était très intelligent, ayant fait ses études dans l’une des plus prestigieuses universités du pays, Usami ignorait tout du repassage.
Mais ce n’était pas grave, Misaki s’en occupait pour lui avec entrain, sans jamais se plaindre.
Bien qu’il soit un homme tout à fait séduisant, Usami n’avait pas d’épouse.
Après tout, il avait déjà Misaki à la maison, c’était suffisant, non ?
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- Veille bien sur ma poupée, surtout, demande Rosée à Poky avant de suivre Yoko dans la navette de retour vers la Terre.
Poky promet gravement et embrasse son amie une dernière fois.
- Es-tu bien sûre de vouloir t’en séparer, Rosée ? s’inquiète quand même Yoko.
- Oui ! Poky dit qu’elle s’ennuie pendant tout ce très, très long temps où on est pas sur sa planète. Alors je lui prête Madame Chu. Elle sera une bonne maman pour elle, hein ?
- Certainement.
- Et comme ça elle ne m’oubliera pas !
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Ryoji voudrait le croire lui aussi, mais ce serait mentir. Et ça il n'y est jamais arrivé,. Il regarde sans pouvoir agir Ken fondre en larmes, lui qui est pourtant si adulte. Les autres ont le regard terne, cherchent à rassembler les morceaux épars d'un espoir brisé.
- On ne l'oubliera pas, reprend Ken. Jamais ! C'est impossible !
- C'est pourtant ce qui arrivera. Du moins vous oublierez les Shadows, Nyx, tout ce qui avait un lien avec la Dark Hour.
- Je le ferais.
D'un hochement de tête, Ryoji salue la décision de la jeune file.
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- File dans ta chambre !
Calvin obtempère sans discuter. Au contraire… Les mots magiques que prononce Papa ! une après-midi pluvieuse : le jardin n’est pas si amusant (Maman a suffisamment hurlé quand il est rentré tout boueux), il n’y a rien de bien à la télévision, et ses parents avaient l’idée saugrenue d’un jeu de société en famille pour passer du temps agréable ensemble.
Mais dans sa chambre il y a tous ses jouets, et Hobbes le félicite de la façon dont il a gagné le jeu précédent.
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- Jeune fille, vous allez me faire le plaisir de retourner vous changer immédiatement.
La réaction paternelle n’est pas du tout celle qu’attendait Emilia.
- Mais, Papa, tente-t-elle de protester ; en vain :
- Ne me réponds pas. Quel âge as-tu, rappelle-moi ?
- Presque quinze ans.
- Tu ne les auras que le mois prochain et tu ne sortiras pas en public habillée comme ça. Quoique, « habillée »…
- Mais c’est la dernière mode !!
- Et moi pour mes fiançailles je veux du classique.
Emilia finit par céder, non sans ronchonner.
- Quelle histoire pour une malheureuse épaule nue…
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Matt fait comme si de rien n’était et fume sa cigarette, les joues écarlates.
Mello sourit, de ce petit air taquin qui lui donne encore parfois l’expression de l’enfant qu’il avait été par le passé. Il s’amuse à frotter leurs épaules l’une contre l’autre et à admirer la rougeur gagner le front et les oreilles de son jeune camarade.
Il se penche alors à son oreille et lui chuchote quelque chose qui lui fait piquer un fard.
Le blond se redresse, satisfait. Ses yeux brillent de malice; sa main se pose sur le genou du rouquin, et ce dernier ne dit rien. Il est bien trop occupé à s’étrangler.
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Plutôt mourir que de se mettre en travers de la dispute homérique qui se profile entre Miles et sa fille, Ivan se colle contre un mur et fait de son mieux pour ne faire qu'un avec le papier peint. Avec un peu de chance le ton qui monte attirera Ekaterine, qui se chargera de rappeler à Miles qu’interdire quelque chose à une adolescente en pleine crise n'est pas la stratégie la plus viable. C'est fou comme dès qu'il s'agit d'Olga, son cousin perd parfois tout son génie et sa capacité à manipuler les gens...
"Oncle Ivan, c'est la mode ! Dis lui, toi !"
Le suicide rituel est une option de plus en plus séduisante.
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Le suicide rituel est une option de plus en plus séduisante, se dit César en pianotant sur l’accoudoir de son fauteuil, espérant contenir son exaspération au moins jusqu’à ce que ces fichus Gaulois sortent de sa tente, si possible jusqu’à ce qu’on le laisse entièrement seul.
Ils n’auront donc jamais fini de le ridiculiser !
Il ne va quand même pas se jeter sur son épée à cause d’eux. Mais quand même… si le Sénat lui ordonnait maintenant de boire du poison, il y réfléchirait sérieusement.
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Harry fronça les sourcils en voyant son petit-ami paniquer, peu à peu.
- Bébé ? Ça va ? Demanda-t-il incertain.
- Non. Ça ne va pas. Les Weasley vont me massacrer. S'il te plait, Harry !
Le brun leva les yeux au ciel.
- Je ne changerais pas d'avis, pas même pour eux. Je veux t'épouser. Dis oui.
***
Voeux : du Arthur/Merlin, de Merlin BBC. Si possible qui finisse bien.
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- Il n'en est pas question votre seigneurie, répondit avec insolence Merlin acculé contre le mur.
- Tu es mon serviteur ! Obéis.
- Non, Arhur... Je ne serai pas ton goûteur. Je tiens à la vie, et je suis attristé..."
Arthur se rapprocha dangereusement pour le fixer droit dans les yeux.
"...Et je suis l'un de tes plus précieux serviteurs.
- Tu vas me goûter cette gelée de framboise illico."
Avec un sourire amusé devant l'expression farouche de son prince, Merlin prit un malin plaisir à lécher les doigts gluants de son seigneur. Ils en éprouvèrent des frissons délicieux.
Une petite envie gloutonne au milieu de la nuit les avait enfin réunis.
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La nuit les a enfin réunis. Des mois, des années peut-être, se sont écoulés depuis que Vicky et Aznar ont chacun de leur côté rejoint la nuit. Ils ne mesurent plus le temps qui s’écoule, seulement le sang qui s’échappe de leurs cibles, des abcès crevés.
Ils ont perdu de vue le soleil de puis longtemps, mais que leur importe ? Leurs nuits sont toujours plus… intenses.
Le sang n’a jamais fini de sécher à leurs bottes. Ils échangent un regard mais pas de parole.
Une croix contre une épée.
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Même pour un simple entraînement, Shen se sent obligé de se donner en spectacle.
« Si tu avais été mon ennemi, tu serais mort », annonce-t-il fièrement, en même temps presque comme une mise en garde.
Cela pourrait vouloir dire : Si tu me trahissais, voilà ce qui t'attendrait.
Souhait : quelqu'un se sent d'écrire sur Le Visiteur du futur? :D
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- Mais je n'irais PAS voir Twillight !
- J'espère. Il est très mauvais.
- Parce que vous l'avez vu ?
Le regard fuyant du Visiteur confirma les doutes de Raph.
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