Arbre à drabbles (22 juillet au 1er août) PROLONGÉ JUSQU'AU 8
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 août)
Avec un bout du 21 en bonus, whee ! \o/
Il fait 42 = j'ai chaud = mon cerveau est tout mou = un drabble racine un peu pourri.
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 août)
Avec un bout du 21 en bonus, whee ! \o/
Il fait 42 = j'ai chaud = mon cerveau est tout mou = un drabble racine un peu pourri.
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ( Read more... )
Elle sait depuis longtemps, depuis le début, que ce n’est pas de Kris dont Ash est jaloux. Elle n’est pas sûre que Kristofferson se soit encore rendu compte qu’il partage les sentiments de son cousin, mais elle n’a pas l’ombre d’un doute à ce sujet. Dès lors, la décision est simple.
- Il faut qu’on parle, Kris.
(Elle ne peut pas lui dire qu’au fond, elle rompt avec lui parce qu’elle est une incurable romantique.)
Reply
- Je romps avec toi, parce que je suis une incurable romantique ! assène Tôko.
Tsukasa remonte ses lunettes machinalement, l'air pas plus ébranlé que ça.
- On s'était remis ensemble, dernièrement ? demande-t-il, presque curieux.
- Compte pas que ça arrive encore une fois avec une attitude pareille.
- Je croyais que c'était mon attitude qui te plaisait ? La moitié du temps.
- Or donc ! l'interrompt-elle d'une voix forte. Je crois en l'amour, le vrai !
- Nouveau, ça...
- Et je ne me donnerai qu'à celui qui m'aimera assez pour me supplier à genoux !
- ... Je dois te demander en mariage ?!
- Je veux au moins une bague en toc.
Reply
- Monsieur Suda, rendez-moi ma main, s'il vous plaît.
- Bien sûr, bien sûr, mais la question reste posée.
- Je crois bien que ça ne vous regarde absolument pas. En fait, j'en suis absolument sûre !
- Vous me blessez, moi qui porte à vos amours un intérêt tout avunculaire !
- Ne racontez pas n'importe quoi, Monsieur Suda. Vous avez simplement peur que Tenkawa retombe dans ses anciens travers si je ne suis plus là pour superviser son travail. Soyez rassuré, je ne vais nulle part.
Reply
Je ne vais nulle part, qu'elle avait dit, avec son grand sourire écervelé et rayonnant, et elle avait essayé de lui ébouriffer les cheveux en demandant s'il s'inquiétait et il s'était barré en râlant avant de lui mettre un gnon.
Elle est allée nulle part, ça c'est sûr. Il a mis un moment à réaliser que c'était ici qu'il la retrouverait, mais c'est logique, quelque part, sa logique à elle. Pas qu'il aime ça.
Red a disparu, avait dit Green, l'oeil hagard. Juste... parti, il n'y a plus personne là-haut.
Pas exactement. Un Maître disparaît, un autre prend sa place.
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Ivan fixe son image dans le miroir, incapable de soutenir son propre regard.
Il ne mérite pas d'être un héros.
Tout ce qu'il peut faire, c'est emprunter l'apparence des autres... Dans le miroir, son reflet copie cette fois-ci les traits de Sky High et pendant quelques secondes, il peut prétendre être un vrai héros.
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Il était un exemple pour les jeunes. Comment pourrait-il se montrer dans une telle position, allongé, nu, les jambes écartées de manière indécente, pendant que l’autre le pénétrait avec vigueur ? Que penserait les gens s’ils savaient ? S’ils le voyaient ainsi ?
Honteux, Wild Tiger se cacha le visage dans les mains. Mais Barnaby les lui retira, la voix un brin autoritaire, un léger sourire sardonique au coin des lèvres.
- Je veux voir ton visage lorsque tu jouis.
Prenait-il un plaisir pervers à sa déchéance ?
Reply
Prend-elle un plaisir pervers à sa déchéance ?
Non, attendez, ça ne méritait même pas d'être une question.
- Je vois déjà l'article : "Trois Maîtres de Kanto arrêtés pour atteinte à la pudeur publique - Ce pervers de Green Chen est responsable de tout ! témoigne en larmes l'un deux, une jeune fille traumatisée par l'agression envers sa pureté dont, par respect, nous tairons le nom."
- Tu exagères, le rabroue Leaf sans plus d'inquiétude. On est des has-beens en visite non-officielle et personne ne nous connaît ici.
- A part le Maître local, le Maître précédent (si, une demi-heure, ça compte), et oh, tout l'hôtel.
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Il a peur de rentrer et décevoir.
- Tu n'as qu'à pas faire semblant, dit Leaf, comme si c'était une évidence ; peut-être que ça l'est.
- Kanto n'a plus besoin de toi, explicite Green, crûment, maladroitement, mais Red espère entendre : Nous, oui.
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La place devant lui est vide et ça fait plusieurs minutes maintenant que Nanamine fixe cette chaise; depuis que Kosugi est parti sans un mot. Et lui qui pensait que son éditeur avait le sang chaud! Il se sentirait presque déçu de son absence de réaction!
Après quelques autres minutes en tête-à-tête avec la chaise, Nanamine réalise qu'il est effectivement déçu. Il se souvient de la première scène que lui a fait son éditeur (Tu as du talent, Nanamine-kun!), il la compare au silence étouffant de tout à l'heure.
Il se rend compte que Kosugi ne croit plus en lui.
(Et à quel point il avait besoin qu'il lui crie d'avancer.)
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Ils se sont réconciliés, depuis, et Satoshi revient cette fois avec un titre de leur région. Il a changé : il se méfie de l’orgueil qui l’a si souvent piégé, il sait qu’il n’a pas fait suffisamment pour s’en contenter.
Il a grandi.
Mais Shigeru gronde l’enfant qu’il a été, ne commente même pas leur combat, semble simplement déçu (envers lui-même, pour avoir attendu quelque chose), et son dos tourné apprend à Satoshi que, malgré les années, son indifférence l’effraie toujours autant.
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Green se réveille avec la trouille incontrôlable que Red se dérobe sans prévenir sous ses doigts tendus, que soudain même appeler son nom jusqu'à s'en arracher les cordes vocales ne puisse plus attirer son regard.
- Green ? marmonne Red, ensommeillé, et Green agrippe sa mâchoire et l'embrasse jusqu'à lui couper le souffle.
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Il a cru, si longtemps, que c'était parce qu'il avait atteint son rêve qu'il avait l'impression que tout était fini, qu'il n'avait ni envie de suivre Leaf, ni de rester avec Green. Il réalise maintenant, lentement, enfin, qu'il n'avait jamais eu besoin de ce rêve, simplement de la réalité d'eux deux.
Ce qui lui a toujours permis d'avancer, c'est d'avoir Green-et-Leaf, Leaf-et-Green, pour le tirer, le pousser (l'accompagner) tout le long du chemin ; tant qu'ils sont ensemble (Green-et-Leaf-et-Red) il se fout de la destination.
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Lorsqu’il doit s’absenter, Judge Love devient maître du jeu. C’est lui qui s’occupe des revendeurs de crédit, des trafiquants d’objets cheatés, des hackeurs malveillants, des attaques Ddos sur le serveur…
Le style de son collègue est assez flamboyant, certes. Toutefois, il s’avère efficace, tant et si bien que le MJ décide de lui allouer ce poste à plein temps. Reconnaissait, le nouveau promet d’être le meilleur.
Punition rime avec soumission.
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- Punition rime avec soumission !
C'était bien sa veine à OmegaZell : tomber sur une guilde de SM. Tenues en cuir, armes équivoques et cri de guerre tout aussi intriguant. Si encore ils étaient de l'Empire, ça n'aurait pas été un problème. Mais non c'était des joueurs de la Coalition. Et ils l'avaient pris en chasse !
- Mais lâchez-moi ! Cinq contre un, c'est pas du jeu !
Et des big level en plus. OmegaZell ne donnait pas cher de sa peau. Surtout que leur chef lui fichait la trouille. Un certain Sadoman à ce qu'il avait compris.
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Elle s'accroche à lui pourtant, surtout au début, refusant de le laisser partir. C'est nouveau, pour elle, d'avoir quelqu'un sur qui compter, qui l'accepte. Plus que de l'accepter, il lui semble que Charles est intéressé par elle, fasciné, tout comme elle l'est par lui.
Lorsqu'il s'éloigne, elle panique. Elle n'aime pas redevenir seule. Puis elle apprend. Heureusement, il n'est jamais loin.
* * *
Bizarrement, bien plus tard, ça la reprend. Mais plus avec Charles. Erik est celui de la Confrérie qu'elle connaît le mieux, elle n'aime pas le laisser s'éloigner... heureusement, il n'est jamais loin.
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- Je suis sûr que tu vas te cacher dans les fourrés et te faire la malle à la première occasion", cria Naruto.
Sasuke soupira d'exaspération. Depuis qu'il était revenu à Konoha, tiré par la peau du cou par ses anciens coéquipiers, la confiance leur faisait défaut. Surtout, en mission. C'était un peu lourd.
"Sasuke, je t'ai dit de ne pas quitter le périmètre, grogna Sakura.
- J'ai des besoins naturels, et je ne veux pas choquer."
Petit silence...
Sai, n'ayant pas les mêmes scrupules, proposa une alternative.
" Je peux le rejoindre dans les fourrés ?"
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