Arbre à drabbles (22 juillet au 1er août) PROLONGÉ JUSQU'AU 8
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 août)
Avec un bout du 21 en bonus, whee ! \o/
Il fait 42 = j'ai chaud = mon cerveau est tout mou = un drabble racine un peu pourri.
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 août)
Avec un bout du 21 en bonus, whee ! \o/
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Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
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Comments 321
_ Non.
_ Monopoly alors ? Quoique, c'est trop long, et je vois que vous êtes pressés... oh, je sais ! Une bataille !
_ J'ai dit non.
_ Alleeeez... en plus faut en profiter, le professeur n'est pas là ! Je suis sûr qu'il triche tout le temps aux jeux de société.
_ En quelle langue il faut le lui dire ? Demanda Cyclops à McCoy.
_ Il m'est avis que partir serait la bonne solution. Après tout, il peut se régénérer..."
Scott jeta un regard à Deadpool, qui bloquait l'accès au blackbird, bien décidé à jouer son adhésion aux X-Men, et hocha la tête.
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- Dragon Puant.
- Pff ! Gamine.
- Tu l’es aussi, palmier ambulant.
- Eh, Zorua ! »
Trois bonds, un saut sur elle-même, et Zorua, transformée en Langley, se colle à Iris.
« Si tu assumes être une gamine… »
Zorua sourit et frotte sa tête contre la sienne.
« … pourquoi portes-tu déjà des jupes aussi courtes ? »
Iris glisse lascivement sa main entre les cuisses de Zorua, qui ricane de sa participation.
« ‘Haaan~ Iris-sama, Maîtreeeeeessssssse Dragon, punissez mon indécence~’
- JE VAIS TE TUER ! »
Satoshi demanderait bien à Dent ce qu’elles fabriquent, exactement, mais celui-ci a les mains collées sur ses oreilles et les yeux obstinément fermés.
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La forme définitive de Téa s’est fixée il y a deux semaines, et bien avant ça Dick savait qu’il faudrait en passer par là, s’ils voulaient continuer à suivre Batman en patrouille.
Ça a du sens, une fois fixé un daemon est difficilement compatible avec une identité secrète, et le risque d’une séparation accidentelle en mission est énorme, sans compter les avantages tactiques et psychologiques qu’apportent un daemon qui peut s’éloigner de son humain... Bruce et Narimon ont subi le rituel de Séparation chez les Sorcières il y a des années et aujourd’hui c’était le tour de Dick.
Il ne s’attendait pas à ce que ce soit si terriblement douloureux.
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Il ne s'attendait pas à ce que ce soit si terriblement douloureux.
Gellert partait. Il avait toujours su qu'il partirait un jour, mais un jour, c'était loin, c'était le futur, ça n'arriverait peut-être jamais. Qui peut savoir ce que demain lui réserve ?
Demain, c'était maintenant, et les mots de Gellert se mélangeaient tous pour Ali. Merci. Désolé. Au revoir. Lequel faisait le plus mal ? Il ne savait pas. Il essayait de faire le tri quand il sentit les bras de Gellert desserrer leur étreinte. Gellert partait. Les mots, Ali le découvrit, n'étaient rien comparés à la réalité physique.
Gellert partit.
Il ne se retourna pas. Pas une seule fois.
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- Enma.
...sauf que visiblement, elle y est si habituée que cette activité ne demande plus toute son attention. Enma se raidit ; Tsuna étouffe un sanglot.
- Vous êtes des boss de famiglia ou des loques ? constate Reborn.
Ils soupirent et font face à leur destin... et l'éventail de métal d'Adelheid.
- Vous avez une justification pour ce retard inexcusable ?
- ... Crois-moi sur parole, tu n'aimeras pas l'entendre ? tente Enma tandis que Tsuna rajuste désespérément son col pour cacher un suçon.
reborn ne pose pas de questions, il ne fait que constater.
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Dent rajuste désespérément son col pour cacher un suçon (sans succès), tente de redonner forme à son nœud papillon (devenu un cocon), à ses manchettes (le bouton du poignet droit a disparu) ainsi qu’à son veston (… celui du haut également), lisse ses cheveux sans conviction (son front reste couvert).
Le miroir lui renvoie ses rougissements et la catastrophe.
Dent capitule, enlève nœud ex-papillon, veston, retrousse ses manches, déboutonne finalement le haut de sa chemise, et part retrouver Iris.
Aller au cinéma était une idée audacieuse.
« C’est mieux », commente-t-elle, sa saveur toujours aussi étourdissante, lorsqu’elle recommence à massacrer son cou.
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C’était comme s’il l’avait attendu depuis ce jour, aussi sûrement qu’il avait attendu Célès. Comme l’espoir, la peur revînt, aussi forte qu’avant.
Il n’y avait rien qu’il puisse faire contre cette terreur qui lui rongeait le ventre. Autant s’y abandonner.
Vaincu, Rutile entoura la silhouette encapuchonnée de ses bras.
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"Lâche-moi, Bel! lance-t-il quand même pour la forme.
- Certainement pas~! C'est dan~ge~reux de laisser un bébé sans surveillance~.
- Je vais te tuer.
- Ushishishi!"
Il chasse de sa tête le rêve bizarre qu'il a fait la nuit dernière, celui dans lequel Mammon avait été remplacé par un insupportable mouflet. Ce n'était qu'un rêve : dans son futur à lui, les sujets du prince ne sont pas autorisés à mourir.
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Sherlock ne joue pas, mais communiquer avec lui tient parfois de la devinette : il dit une chose, s’attent à ce qu’on en comprenne une autre... Ou pire parfois, il ne dit rien du tout, et c’est à John d’essayer de décrypter pourquoi diable son colocataire est irracible alors qu’ils sont sur une affaire, l’ignore encore plus qu’a accoutumée, et le scrute pourtant d’un air vexé quand il pense que John ne le regarde pas.
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C'est évident qu'il est encore blessé, mais il ne dit rien.
Barnaby a envie de le gifler.
Il est le premier à être surpris quand sa main bouge d'elle-même. Qu'elle glisse derrière la nuque de l'autre homme. Pour l'attirer vers lui. Pour l'embrasser.
"J'étais certain que tu allais me taper", sourit Kotetsu.
"Moi aussi."
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- Eh bien, je suppose que si tu veux le devenir, il n'y a pas de raison pour que ça ne se réalise pas, répondit Wild Tiger, se grattant la nuque avec un sourire mal à l'aise.
- Je voudrais être comme vous, chuchota l'adolescent en rougissant, le regard rivé au sol.
- Hm, merci.
- Parce que je vous aime, marmonna le blondinet, visiblement gêné.
Kotetsu sursauta et écarquilla les yeux.
- HEIIIIIIN ??
- Vous êtes si cool !, s’exclama le polymorphe, lumineux.
Kaburagi soupira de soulagement.
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Il avait été un père minable. Incapable de protéger sa progéniture, la prunelle de ses yeux.
- Merci, murmura-t-il à son collègue sans le regarder dans les yeux, avec néanmoins, une gratitude sincère.
C’était peut-être la première fois qu’il éprouvait autre chose que de l’agacement pour son partenaire…
- Je ne comprend pas pourquoi tu me remercies.
- Pas grave, grogna Kotetsu en esquissant un léger sourire, énigmatique.
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- Et, pourquoi pas ? J'en ai de très bonnes."
Gai réfléchit trente secondes avant de s'enthousiasmer de l'esprit aiguisé et aventureux de son rival.
"Tu es bien mon adversaire de légende ! Montrons notre fougue en jouant avec les mots ! Ce sera un sensationnel défi pour prouver nos capacités apanouies de réflexion subliminale, nous démontrerons ainsi au monde entier notre suprématie en la matière ! O joie de la jeunesse fambloyante du tigre rugissant dans notre poitrine d'homme sensible, montre-nous le chemin !"
Une petite goutte apparut sur le front de Kakashi.
"Gai, je n'ai pas lancé le défi."
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Empli d’une vive détermination, Shaolan s’approcha de Kurogané, qui était en train d’aiguiser le fil de son épée au beau milieu du salon, assis en tailleur sur un grand pouf rond.
Bien sûr, le ninja avait remarqué sa présence, sans se retourner.
- Qu’est-ce que tu veux ?, demanda-t-il.
L’adolescent rougit. Il ne savait pas comment formuler sa demande.
Le guerrier resta silencieux, et reprit son activité; il demeurait néanmoins à l’écoute, si Shaolan trouvait ce qu’il voulait lui dire.
Après quelques minutes de réflexion, le jeune homme ouvrit la bouche, les poings crispés.
- Je…je voudrais que dorénavant, nous prenions nos bains séparément !
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Le plus âgé eut un petit sourire moqueur plutôt sincère.
"C'est parce que je parle de...
- Non, et je ne te permets pas...
- Et que t'es plutôt...
- Mais tais-toi, s'exclama le bond, attirant les regards sur eux.
- ...Petit, de ce côté-là, clama le brun avec un regard éloquent sur l'entrejambe de l'autre.
- La ferme, Sai !"
Le dessinateur avait les yeux qui brillaient d'amusement alors que Naruto rougissait de gêne.
"Oh, si on ne peux plus parler de trucs intimes entre mecs...
- Pas dans les bains publics et, pour les oreilles de tout le monde !"
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On célébra sa mort dans toute la zone 11. Les réjouissances donnèrent lieu à un rapprochement entre les deux populations, car chacun avait souffert du régime sévère du dictateur, qu’il soit japonais ou pas.
Il n’y avait bien qu’une seule personne pour pleurer Lelouch, mais il fallait qu’elle fasse bonne figure devant les caméras.
Sans savoir que le Zéro à ses côtés le pleurait aussi, mais sous son masque, elle ne pouvait guère voir ses larmes couler.
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Pas radin, efficace, rétorque la voix du sylphe au fond de son crâne. Je refuse d'engraisser les marchands d'Eversun si on peut se débrouiller tous seuls.
"Mais c'est trop compliqué pour moi," insiste Gwez. "Faut collectionner..."
Collecter.
"Et même avec les bons trucs ça rate une fois sur deux !"
Seulement une fois sur deux ? Réjouis-toi, ça veut dire que tu es plus doué pour l'alchimie que pour te battre, ô roi des tanks incompétents. Maintenant prends cette hache et va couper du bois.
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A chaque fois que sa mère lui dit ça, Gretel a envie de lui planter la hache dans la figure. De fendre ce visage comme une vulgaire bûche. Gretel n'a jamais aimé ses parents. Et c'est réciproque. Ils n'ont jamais caché le fait qu'elle a été conçue seulement pour leur aider à nourrir la famille. Puis on a si froid dans la cabane...
Gretel sent avant de les voir les bras de son frère contre elle. Pour une fois elle sourit, d'un sourire véritable. Chaleureux.
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_ Je ne te quitterais plus jamais Mikan, fit Azumi Yuka en serrant sa fille dans ses bras.
_ Je t’aime maman, pleurait sa fille dans ses bras.
_ Quelles charmantes retrouvailles, fit une voix sarcastique derrière eux.
_ Luna ! s’écria la mère.
_ Tu vas payer pour ta trahison ! Et pour ce que tu nous a fait !
Et elle se jeta sur l’enfant, une lueur de folie dans les yeux. Mais elle avait oublié une chose : Yuka pouvait encore se téléporter. Elle disparut. Koizumi Luna regarda d’un air amer les quelques cheveux qu’elle avait agrippés. Elle les piétina de rage.
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