Arbre à drabbles (12 au 22 novembre) PROLONGÉ
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 1er décembre)
L'arbre est prolongé jusqu'au 30 !
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 1er décembre)
L'arbre est prolongé jusqu'au 30 !
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Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
Selina est tombée, Catwoman s’est éveillée.
En hurlant ?
Vent, silence, puis des ronronnements.
Les félins l’ont aidée ?
Doux, câlins, aimants lorsqu’ils ont tenté de la dévorer.
Chat, chaleur, se réveiller quand elle meurt, la proie qui devient le prédateur, troquer les cheveux frisés pour des griffes en acier, danser dans les airs, mordre et taillader depuis que Shreck l’a tuée et qu’elle est née - elle, pas Selina-la-bien-rangée, pas Catwoman-qui-peut-et-fait, elle qui tremble et crie en se débattant dans son rêve.
Elle bouge et vit - alors pourquoi son rire ressemble à des pleurs ?
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Si Celty avait une langue, elle se nouerait dans sa gorge ; à défaut, ses doigts se figent sur son clavier comme Shinra se penche sur le néant au-dessus de son cou.
- Tu as une petite mine, aujourd'hui, remarque-t-il avec inquiétude.
Celty a du mal à expliquer ses sentiments, encore plus à leur donner une raison, parce que Shinra est un imbécile parfois, un pervers souvent, un enfant encore ; mais il entend sa voix et voit son visage, et l'aime non malgré, mais pour cela. Et ça suffit amplement comme raison pour aimer cet idiot.
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Pour aimer cet idiot masochiste il devait vraiment être lui même encore plus idiot et masochiste. Cassian avait beau se le répéter et rire amèrement, cela n'y changeait rien. Le docteur Disraeli continuait à l'émouvoir comme il n'avait pas été ému depuis longtemps.
La dernière fois qu'il avait aimé, ça s'était très mal fini. Il pensait en avoir tiré des leçons : ne faire confiance à personne, ne plus jamais s'imaginer qu'une femme normale puisse éprouver des sentiments pour un freak. Ne plus tomber amoureux d'une femme normale.
Mais merde, ça ne voulait pas dire tomber amoureux d'un homme complètement cinglé !
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- Draco n’est pas cinglé.
Dean désespérait de faire de Ron quelqu’un de sortable, un jour. Cela avait beau faire sept ans qu’ils étaient ensemble, Ron ne faisait toujours pas confiance à son petit ami. Il le soupçonnait de… En fait, il ne savait pas trop. Tout ce qu’il savait, c’est que Draco plutôt que le torturer, il lui avait parlé, lui avait apporté un peu de nourriture et l’avait soigné.
Il savait avec quel homme il vivait : celui qui comprenait toutes ses peurs irrationnelles.
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Mais ce n'est que la théorie. Parce que parfois Spock s'éveille la nuit, rigide comme une planche, et tout son contrôle ne peut dissimuler son souffle trop rapide, le battement emballé de son coeur.
Ces nuits-là Jim ne promet pas que tout ira bien, parce que ce serait un mensonge, mais il se colle contre Spock malgré la chaleur inconfortable de son corps et le tient serré, jusqu’à ce que le réveille arrache l’un d’entre eux à l’îlot de la couchette.
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C'est assez effrayant, d'une certaine façon, tout ce qu'on peut découvrir rien que par le regard qu'une personne pose sur le monde ; par les objets qu'elle observe, les endroits où ses yeux s'attardent ou qu'ils évitent.
Quand Aoki regarde de quelle façon Suzuki voyait Maki-san, il a honte quelque part. Il n'y a rien d'obscène, pourtant ; simplement, la manière dont Maki-san était toujours au centre du monde de Suzuki et semblait presque rayonner en dit plus que de longs discours.
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Pourtant, ce n’est pas pour son désir pour elle qu’elle aime Théodore, mais parce qu’il lui suffit d’effleurer sa main, un sourire aux lèvres, pour qu’elle se rappelle qu’il l’a choisie et qu’il ne partira pas.
Alors, elle a juste à l'embrasser ou à le toucher pour qu'il se rappelle qu'il lui appartient. Et qu'elle non plus ne partira pas. Jamais.
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Quand il arrive à Lance, son sourire s'élargit. Les sbires peuvent s'y laisser prendre, Amos sait bien que les pupilles de Lance sont dilatées d'excitation.
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Réfugiée sur sa couchette, Ekaterine le regarde faire avec un mélange d'amusement et d'inquiétude. Une enseigne audacieuse passe la tête par la porte de la cabine.
"Monseigneur Auditeur-
- Silence !" rugit Miles, une lueur fiévreuse et potentiellement homicide dans le regard. "Je réfléchis !"
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- On avait dit une partie rapide !
- On s'est mis d'accord pour deux minutes par coup !
Hikaru émet un reniflement narquois et terriblement grossier.
- Quoi, le Grrrand Tôya a besoin de deux minutes entières de réflexion ?
- C'est la différence entre toi et moi, siffle Akira, les joues rouges.
- Que moi j'ai pas besoin de réfléchir pour te battre ?
- Tu n'y arrives toujours pas ! Et tu ne penses jamais !
- Ca s'appelle de l'instinct ! Ou du génie, si tu préfères !
Mademoiselle Ichikawa pose le menton dans sa main et soupire lourdement. Professionnels ou pas, ce sont de vrais gamins.
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De vrais gamins, songe paisiblement Takeshi en écoutant Satoshi et Hikari jouer à qui-trempera-le-plus-l’autre sous les encouragements de Pikachu et de Pochama, alors qu’ils sont enfoncés jusqu’à la taille dans la rivière.
Takeshi, au sec, fait danser l’aiguille de chaque côté d’un tissu : des années à s’occuper de ses frères et sœurs lui ont appris à raccommoder les vêtements déchirés après un élan de témérité. Hikozaru l’observant avec une lueur de culpabilité depuis que Satoshi a gesticulé au contact du désinfectant, quelques minutes auparavant, Takeshi s’arrête pour lui caresser la tête.
« Bienvenue parmi nous. »
Tout simplement !
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Il est toujours si silencieux, son Théodore, que le moindre soupir est comme une victoire.
Ses caresses commencent toujours avec la douceur d’une plume, jusqu’à ce qu’elle le rende fou et qu’il prenne vraiment possession d'elle, ses mains impérieuses sur ses hanches pour accompagner ses coups de rein.
Elle lui mord les lèvres et il lui sourit, les yeux noirs de désir. Elle adore qu'il la regarde ainsi.
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Il avait évidemment fallu que tout le monde - stupide mage le premier - prenne ses mauvaises dispositions comme une façon de dissimuler l'affection qu'il ressent en réalité, ou autre bêtise du genre.
- Kuro-tsun, montre-moi ton côté dere ! susurre le crétin dans son oreille.
Et le pire, c'est qu'il n'a pas complètement tort.
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Bien entendu personne n'écoute jamais son avis sur la question et il se retrouve malgré lui à sauver la situation, ce qui est il faut bien le dire assez plaisant voir plutôt agréable. Mais aussi agréable que ce soit, ça ne vaut certainement pas le tombereau d'emmerdes que ça lui amène, parce que maintenant que la rumeur court qu'il peut être compétent, les ennuis ne lui viennent plus seulement par hasard ou via Miles.
Non, maintenant ils le cherchent !
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L’adolescent se laisse tomber sur le bord de la route, les yeux dans le vague. Peut-être aurait-il dû se contenir, pour une fois. Nyanko-sensei est encore plus susceptible qu’il n’y parait et ce coup de poing vengeur avait certainement été celui de trop, pense-t-il en regardant sa main, avant de la passer dans ses cheveux, coupable.
Le vent dans les arbres accompagne son mouvement et soudain son regard croise celui immense et fautif de Madara.
Un silence puis ils se sourient, simplement.
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