Arbre à drabbles (12 au 22 novembre) PROLONGÉ
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 1er décembre)
L'arbre est prolongé jusqu'au 30 !
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 1er décembre)
L'arbre est prolongé jusqu'au 30 !
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Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
Selina est tombée, Catwoman s’est éveillée.
En hurlant ?
Vent, silence, puis des ronronnements.
Les félins l’ont aidée ?
Doux, câlins, aimants lorsqu’ils ont tenté de la dévorer.
Chat, chaleur, se réveiller quand elle meurt, la proie qui devient le prédateur, troquer les cheveux frisés pour des griffes en acier, danser dans les airs, mordre et taillader depuis que Shreck l’a tuée et qu’elle est née - elle, pas Selina-la-bien-rangée, pas Catwoman-qui-peut-et-fait, elle qui tremble et crie en se débattant dans son rêve.
Elle bouge et vit - alors pourquoi son rire ressemble à des pleurs ?
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Pas une égratignure, pas un grain de poussière, pas un accroc dans ses vêtements, pas une tache de sang sur ses mains, et pourtant Yue - Xing - Yue peut lire le meurtre sur son visage, dans ses yeux.
- Qu'est-ce que tu as fait de notre frère ? murmure-t-il, la voix blanche.
Le sourire de Li est éloquent - féroce, jubilatoire.
- Tu veux que je te montre ? susurre-t-il.
Yue déglutit.
- Je n'ai pas peur de toi, grand frère.
Li éclate de rire, et Yue le comprend sans peine.
Lui-même, il n'y croit pas.
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Reiko était moins généreuse avec ceux qu’elle appelait ses “amis” pour voler leurs noms. Natsume et elle avaient un passé semblable, mais ils avaient une vision très différente de leur don : le garçon qui avait haï les yokai s’ouvrait à eux, là où Reiko leur jouait des tours.
Madara bailla.
L'important, c'était que Natsume n’oublie pas qui était le maître.
...Tiens ? Une odeur de thon ? Enfin l'heure du repas !
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- Tu sais, ça me fait plaisir d'avoir de la compagnie à table mais...
- Oh t'en fais pas, c'est pas un sacrifice pour moi de rester, tu cuisines super bien !
- Oui, mais non. Justement. Tu voudrais pas retourner bouffer dans ton époque de temps en temps ? »
Aussitôt formulée, Raph regrette sa demande en voyant les yeux de chien battu du squatteur du futur.
« Heu, je voulais pas dire que tu gènes...
- Tant mieux mon pote, parce que tu sais, la viande de zombie, ça peut paraître exotique au début, mais on s'en lasse super vite en fait. »
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Les regards convergent à l'unisson vers Christopher qui, bien loin de s'en formaliser, affiche un sourire victorieux.
" Franchement, le Boss n'a plus qu'à s'acheter un fouet, histoire qu'on se sente plus esclaves encore !"
Le silence est complet, presque admiratif, quelques instants durant.
Puis, sans que Chris s'en aperçoive, il devient pesant, gênant. Les regards se font distants, fuyants, il ne le détaillent plus lui, et semblent le traverser.
Alors, il comprend enfin, tandis qu'une forme bien trop familière se dessine à ses côtés.
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« Détends-toi, enfin. On dirait que c’est toi qui vas lui passer la bague au doigt.
- C’est plutôt elle qui va te passer la corde au cou ! » lui rétorque Draco à mi-voix.
Il secoue la tête et dévisage sa future épouse, souriant au regard triomphant qu’elle jette à Draco.
« Je ne me plains pas. »
Elle s'approche avec la grâce d'une vipère qui danse avant l’attaque. Elle est magnifique.
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Il s'approche avec la grâce d'une vipère qui danse avant l’attaque.
- Il est magnifique, roucoulent quelques jeunes filles derrière leur verre de champagne.
- Prenez garde à lui, avertit l'une d'elles en gloussant, il parait que son venin est mortel...
Certaines femmes sont insensibles à sa beauté androgyne, ses traits fatigués de poète romantique, ses grands yeux noirs et son charme insolent. Elton sait lesquelles, et c'est toujours vers celles qui l'adulent qu'il se dirige d'instinct - pas parce qu'elles sont pour lui des proies ; parce qu'il a besoin de cet amour naïf et inconditionnel dans leurs yeux...
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La jeune Lady Vessarius est une oie blanche qui rougit quand elle le voit, balbutie quand il la regarde, murmure son nom avec adoration quand il la touche, qui boit ses mots avec tant d'enthousiasme qu'il n'arrive même pas à tirer d'amusement à la séduire, tant elle le répugne.
Elle représente tout ce qu'il hait ; tout ce qu'il n'est pas, tout ce qu'il n'a pas - elle respire l'amour, le bonheur, l'innocence.
Il veut la briser, la salir. Ses doigts le démangent soudain d'attraper une paire de ciseaux.
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Mes doigts me démangent soudain d'attraper cette paire de ciseaux.
Un désir impérieux, une certitude.
La certitude que tout peut recommencer. Que ça recommencera - tant que cette chienne de Nature gardera ses droits.
J'aurais pu tout régler quand j'avais cette paire de ciseaux dans les mains, j'aurais pu frapper, j'aurais du, je savais où...
Impossible de chasser ces pensées de mon esprit
Impossible de mettre un point final et de tourner la page. Tant que je sais que tout peut recommencer, impossible.
Ce n'est pas à l'héroïne d'un de mes romans que c'est arrivé, mais à moi.
A moi.
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- Reste tranquille que je t'attrape et t'étripe, putain de -
- Kyaa, en plus d'être violent Papa est grossier ! Pas devant les enfants, enfin ! Quel exemple tu leur donnes !
- J'vais t'en foutre des exemples --
- Ooh ! Des promesses, des promesses~ ♥
Il y a un faux pas, une chute dans un ralenti dramatique, un grand bruit, et puis il est à quatre pattes par-dessus Fye avec la bouche de l'idiot en question contre son cou - et Kurogane n'a qu'une certitude : s'ils se retrouvent à chaque fois dans une position aussi suggestive, c'est parce que le crétin le fait exprès.
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En quoi était-t-il bien responsable de la maladresse de ce foutu imbécile ?
Evidemment, se retrouver les mains sur ses hanches parce qu'on a voulu le rattraper dans un élan de générosité, le bassin collé à ses fesses parce qu'on s'était fait entrainé et le nez dans son cou qu'on a failit se péter sous le choc n'était pas très glorieux.
Putain d'érection !
Et il a fallut que le crétin en rajoute, avec sa bouille d'ange, devant tout le monde:
"Oh, vas-y, fais-moi mal !"
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- Hein ?
- Ne laisse pas de traces à des endroits visibles, mais fais-moi aussi mal que tu peux, répète-t-il, voix basse mais ton autoritaire.
- Oh, pas de problème. Je m'attendais juste pas à tout ça de ta part.
Il entend le prostitué rire à son oreille. Il respire l'odeur de sueur, déjà, sent la douceur du bandeau de velours, et tout cela n'est qu'à lui.
Même si quelqu'un, un jour, après sa mort, regarde dans son cerveau, tant qu'il a les yeux fermés personne ne saura jamais ce qui s'est passé, ce qu'il a demandé qu'on lui fasse.
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Il n'avait pas remarqué.
Il n'a pas vu Shindô jouer, n'arrive pas à deviner où, logiquement -- il n'a strictement aucun souvenir de la configuration des pierres jusqu'à présent, ni même de la zone où se déroulait le combat de ces quelques derniers coups.
Parce que Shindô s'est arrêté pour réfléchir, s'est penché en avant pour étudier les formes et ses cheveux sont tombés devant ses yeux, le col large de son tee-shirt a glissé, sa bouche s'est entrouverte --
et Akira a complètement oublié la partie en cours.
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Kushina était là devant Naruto avec un sourire immense et fier, elle rayonnait de douceur maternelle. Gênée par ce moment intime trop sérieux, elle eut un rire communicatif qui leur fit énormément de bien.
Naruto la prit dans ses bras pour en resentir pleinement leur chaleur.
Elle l'embrassa sur le front avec amour. Naruto toucha ses longs cheveux rouge avec vénération se gorgeant du visage de celle qui l'avait enfanté sachant très bien que cet instant magique était unique.
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Chiba, le play-boy, l'Apollon, osait avouer sa nervosité !
"Oh, Shun-chan," gémit Abe, les yeux brillants de larmes d'émotion, les joues teintées d'une roseur virginale, "peu importe ce que tu fais, ce sera automatiquement parfait..."
- Il est trop uke, tu crois ? s'inquiète Matsui, s'interrompant en pleine ligne.
- Voui, peut-être, mais si ça se trouve, dans cette situation, c'est le côté deredere qui domine... argue Asai, songeuse.
Abe a peur de demander ce qu'elles font.
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- Et avec ton caractère, t’étonne pas si ton arène est toujours vide !
- Cette façon de froncer les sourcils, tu crois que ça te donne un air plus adulte ?!
- Ces cheveux détachés sont censés te rendre mignonne, mademoiselle-Léviathor ?!
- Ha ! « Mademoiselle », dit monsieur-j’aime-m’habiller-en-serveuse !
Satoshi s’étrangle.
- T’étais trop occupé à faire de l’œil aux clients pour remarquer l’appareil photo de Takeshi ?
Une autre chose n’a pas changé : tout finit toujours par retomber sur quelqu’un d’autre.
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