I wanted to do it from the very beginning, but I remember not reading a single book during January last year... and I forgot. So here's what I've read during the end of 2008.
(Je voulais le faire depuis le début, mais il se trouve que je n'ai pas ouvert un seul bouquin en janvier de l'année dernière, et puis, j'ai oublié après. Donc... ce que j'ai lu en 2008, mais depuis septembre seulement.)
♦ Lu et commenté en français.
♦ Read and commented in English
/*Commentaire en français*/
Must read/Un livre à ne pas manquer
#xxxx# A book I had already read before/ Un livre que j'avais déjà lu.
2008 |
2009 (1) |
2009 (2) |
2009 (3) |
2010 (1) |
2010 (2) ...September 08
♦ Storm Front (Book One of the Dresden Files), Jim Butcher. Enjoyed it, will be happy to read more, but not to the point of dropping everything to lay my hands on the next tome.
♦ The Escapement, K.J Parker (Book 3 of the Engineer Trilogy). At last, I know everything. Will have to read it again to see how the motivations of the characters were apparent in the earlier volumes. You can expect fics in this universe.
♦ La femme de trente ans, Balzac. J'ai le droit de zapper Balzac pour les 2 ans à venir, j'ai fait mon quota? Il n'y a pas moyen de le dire autrement, il est mal fichu ce roman. Si ça avait été une fic, je n'aurais jamais été au bout. Enfin, heureusement qu'il y a un corsaire au milieu.
October 08
♦ En mémoire d'un prince, Ann Dukthas. Et une théorie sur ce qu'il est advenu de Louis XVII, une! Traitée sous l'angle du roman policier, l'histoire n'est pas si indigeste que ça. Et le 'détective' de service est suffisamment intriguant pour me donner envie de mettre la main sur le premier volume de la série. Jugez vous-même: Je suis Segalla, celui qui n'a jamais goûté à la saveur de la mort, non pas en récompense de quelque bel acte, mais parce que j'ai manqué à ma parole. Tel est mon châtiment.
♦ #Pride and Prejudice#, Jane Austen.
♦ Un chapeau de ciel, Terry Pratchett. C'est moi, ou les Nac Mac Feegle ont un accent chti?
♦ #Pride and Prejudice#, Jane Austen - again, because once you take a good book out of the shelves...
November 08
♦ The Rocky Road to Romance, Janet Evanovitch. No redeeming quality whatsoever, but it made me smile and I read it in two hours, so...
♦ The Age of Innocence, Edith Wharton. Poor, poor characters, the author hasn't been very kind to any of them, has she?
♦ Quel jeu jouez-vous Monsieur Scott?, Colin Robertson. Un policier sans intérêt.
♦ [Bleach tomes 1à 3]
♦ Extremely Loud & Incredibly Close, Jonathan Safran Foer. Very good. Read it! if only for the sentence I'd lost the only person I could have spent my only life with. And because Oskar is the most endearing 9 year old I've read about in ages. And where else would you read about the sixth borough of New York City?
♦ Le Magasin des Suicides, Jean Teulé. Une autre déception. Je voulais que ce soit formidable, et c'est juste... plaisant. J'en avais pourtant entendu tant de bien... Une bonne idée étirée sur trop de pages, peut-être? Je ne sais pas exactement mettre le doigt dessus, mais... j'ai été déçue.
♦ Minuit Sonne pour Charlie Bone, Jenny Nimmo. Le début du bouquin m'a emballée - c'est l'histoire d'un jeune garçon qui découvre qu'il a des pouvoirs magiques, il peut entendre ce que pensent les gens dans les photos. Il se retrouve en possession d'un coffre que des sorciers cherchent à récupérer, et il doit changer d'école pour se retrouver pensionnaire dans une école qui accueille les enfants doués de pouvoirs magiques - et les artistes. Mais dans la seconde moitié du livre, j'ai eu un peu trop l'impression de jouer au jeu des 7 erreurs avec Harry Potter. Et puis il y a un truc qui est au mieux mal expliqué, et au pire une erreur de la part de l'auteur. Et puis j'ai vu passer des fautes d'orthographe, et ça me distrait toujours de ma lecture. Et... il y a plein de trucs que je pardonnerais probablement à un auteur débutant, mais pour lesquels j'ai moins d'indulgence chez une auteur qui a plus d'expérience. Enfin bref. L'univers est marrant, j'ai emprunté le volume 2 en même temps, je le lirai. On verra ce que ça donne...
♦ Charlie Bone et le Tourne-Temps, Jenny Nimmo. J'ai beau raler et ronchonner (Allons bon! Les Time-turners maintenant!), je suis bien obligée d'avouer qu'encore une fois, j'ai ouvert le livre pour lire le premier chapitre et voir ce que ça donnait, et je n'ai relevé les yeux les yeux qu'à la page 100 et des brouettes. Mais quand même ...une tarentule se promenait sur un chapeau de paille. [...] De temps en temps, [la dame qui portait le chapeau] donnait des mésanges à la tarentule. Quelqu'un a relu ce bouquin avant publication? Je peux me tromper, mais une mésange = 10 à 15 cm, et une tarentule... 3 cm maximum. A moins qu'il ne s'agisse d'une mygale (= tarentula), dont une espèce pourrait apparemment avoir ce genre d'appétit. (Sauf qu'elle vit en Amérique du Sud, et n'est active que la nuit) (Merci wikipedia) (Ce qui répond à la question: mais qu'est-ce qu'on apprend en lisant un livre pour enfants.)
♦ Charlie Bone et le Boa Bleu, Jenny Nimmo. (Oui, bon, d'accord, mais je mourais d'envie de savoir ce qui se passait ensuite.) Parce que Coco la Praline est un chien balourd et attachant. Parce que je voulais savoir si l'oncle Paton arriverait à ses fins dans la cour qu'il fait à la jolie libraire. Parce que l'histoire a suffisamment d'intérêt pour que je pardonne les défauts. Un détail cependant - faire disparaître deux persos (secondaires, d'accord) sur un laconique 'X et Y ont quitté l'école'... si ça fait partie d'un plan plus vaste que je ne peux pas comprendre parce que je ne suis même pas au milieu de la série, d'accord. Autrement... c'est un peu facile, quand même. (Arrête ton char, tu es dégoûtée que les tomes suivants ne soient pas disponibles à la bibliothèque...)
♦ [Bleach tomes 4 et 5] Tite Kubo.
♦ Jane Eyre, Charlotte Brontee. Il y a du pour - des scènes d'anthologie, notamment celle de la bohémienne que j'ai beaucoup aimée^^ Et puis le fait que jamais, jamais, jamais les héros ne deviennent miraculeusement beaux. Mais finalement, Monsieur Rochester me fait beaucoup moins rêver que disons... un certain Darcy? Je n'aime pas son humeur imprévisible. Jane en petit oisillon déterminé est très bien mais quelque part, j'ai l'impression qu'on m'a plus "dit" que ces deux-là s'aimaient, que de l'avoir vraiment senti dans les pages. Note to self: quand je le relirai (parce qu'il est quand même sur la pile de ceux que je relirai un jour), m'épargner les 9 premiers chapitres sur l'enfance malheureuse de la petite orpheline. D'accord, ça donne des explications sur son caractère, mais pas au point de re-lire...
♦ #Ces Dames aux Chapeaux Verts#, Germaine Acremant. *grand sourire à archea* Et oui, j'ai relu finalement. C'est délicieusement désuet. Ulysse Hyacinthe gagne une place de choix au panthéon des amoureux ridicules. (Et j'ai beaucoup de tendresse, au fond, pour la tante Jeanne - celle qui aime les mathématiques, qui voudrait pouvoir conduire une voiture, comme Arlette... non! jouer au tennis comme Arlette!) (Ce qui me rappelle qu'il y a un défi tennis sur
frenchdrabble)
/*Une question qui n'a rien à voir: le mot "chiquenaude", il a toujours été là, et je ne l'ai jamais remarqué, ou...? Parce que dans ces bouquins (Charlie Bone, Jane Eyre et Ces Dames aux Chapeaux Verts), il m'a sauté aux yeux... */
♦ La Ronde de l'Amour, Somerset Maugham. Franchement, je ne sais pas si en d'autres circonstances - comprendre, s'il avait été en concurrence avec la télé et les fics - je l'aurais lu jusqu'au bout. Le premier chapitre m'a donné du mal. Mais finalement, je ne regrette pas. L'histoire n'est pas évidente à résumer - quand un grand écrivain décède, un second écrivain, se met en devoir d'écrire une biographie, une gentille biographie pleine de respect et d'admiration qui montrera au monde combien il (le second écrivain) est un type épatant. Pour ce faire, l'écrivain numéro deux contacte l'écrivain numéro 3 qui a connu le grand homme avant qu'il ne devienne un monument de la littérature, quand il n'avait pas d'argent et vivait avec sa première femme qui (shocking!) avait débuté comme serveuse dans un bar. Le roman nous apprend, finalement, tout ce qui ne figurera jamais dans la biographie officielle...
♦ #Le cheval pâle#, Agatha Christie. Fait rare, en commençant le bouquin, je ne me souvenais plus de comment il allait finir. Quel plaisir de retrouver Mrs Dane Calthrop au fil des pages - mais si, la femme de ce pasteur qui débite les citations grecques au kilomètre dans La plume empoisonnée! (Le pasteur apparaît également, mais on sait bien que ce n'est pas lui qui compte.) Une histoire bien fichue - assassinats sur commande par l'entremise d'une sorcière. Bien sûr que c'est impossible, mais le problème, c'est que ça marche. Il y a quelque chose, pourtant, qui m'empêche de le classer parmi les meilleurs. (Oh, et Ariane Oliver est aux prises avec un cacatoès dans celui-là...)
♦ #Cinq Petits Cochons#, Agatha Christie. Celui-là, pas de soucis, je le connaissais par coeur. Et c'est l'une des rares fois où je vois les persos comme dans l'adaptation télé - il faut dire, Amyas Crale interprêté par le même comédien que Stuart Jones? Je ne m'en suis jamais remise. Quelle idée géniale!
/*Juste une remarque en passant... Ces histoires d'observateur qui modifie le milieu observé? Ca se vérifie ici. Maintenant que je sais que je vais vous montrer ce que j'ai lu, je me surprends à lorgner vers les romans les plus 'sérieux' de ma bibliothèque. En même temps, ils sont là pour autre chose que pour prendre la poussière...*/
December 08
♦ The End of Mr.Y, Scarlett Thomas. Wow. I'm still trying to find words to say how much I've loved this story. First clue: I've read it mostly in a day - three chapters before going to sleep, and then, I've picked it up again the next morning, and haven't been able to put it down before I had read it all. There are so many things in it - a cursed book, a lost recipe for a formula that allows you to travel through other people's mind (you can bet bad people are after this recipe), and and and... It was great. I want to write fanfic in this universe. (Oh, and read this: Real life is regularly running out of money, and then food. Real life is having no proper heating. Real life is physical. Give me books instead: give me the invisibility of the content of books, the thoughts, the ideas, the images. Let me become part of a book; I'd give anything for that.) Also: must read Frankenstein, and I've dowloaded Samuel Butler's Notebooks from project Gutenberg. (Baudrillard, Derrida and Heidegger? - Nah, I wouldn't read them even if I had them.)
♦ The Clan of the Cave Bear, Jean M. Auel. Just as good as everyone reccing it to me over the years had always said. I quickly associated Broud (young spoiled boy and heir apparent to the leader of the Clan) with Draco Malfoy in my mind - I'm not sure Draco would appreciate that^^ (EDIT: more acurately maybe, a mix between Draco Malfoy and Joe Dalton^^) I didn't cry - it was just a bit of water in my eyes while I was reading.
♦ The Valley of Horses, Jean M. Auel. Bloody book kept me awake all night long. Really. Until 5:30 a.m.. I've nicknamed Ayla 'McGyver', so endless her resourcefulness seems. I'm a bit disappointed we don't know what happens to the Clan. Maybe later into the series?
♦ #Haut les mains, Miss Seeton#, Hamilton Crane. (Ben oui, wan, ton mail m'a donné des idées...) Miss Seeton en grande forme comme toujours, mais les Cinglées n'ont pas un grand rôle (c'est pour elles que j'avais choisi une histoire qui se passait dans le village.) Par contre, la rivalité entre Plummergen et Murreystone est à son comble. (Note: il vaut mieux avoir lu "Miss Seeton à la barre" avant, on en retrouve certains persos) Autre note: lire Le troisième homme.
♦ The Mammoth Hunters, Jean M. Auel. Argh. Volume two already killed me with 150 pages of UST, but this one... Argh. 600 pages of miscommunication, and the writer is skilled enough to make it impossible to put the book down. Will probably take a break before reading the next one - I need my beauty sleep^^ (Also, I loved Mamut. And Talut. And I cried again.)
♦ Dix mille, Andrea Kerbaker. Une trouvaille que ce petit livre, 80 pages à peine. L'histoire à la première personne d'un livre qui attend son prochain propriétaire sur les rayons d'une librairie, avec une certaine angoisse: s'il n'est pas vendu avant la fin du mois, c'est le pilon! En attendant, il nous raconte ses précédents propriétaires et ses voisins les livres. Plaisant, je l'ai lu avec un demi-sourire aux lèvres en pensant à ce cher livre de potions du Prince... Un bémol quand même, la ponctuation très inhabituelle m'a un peu distraite. Calquée sur l'original italien peut-être? Quelques phrases pour vous: [J]e suis l'oeuvre d'un auteur de la taille des Hemingway, des Steinbeck. Pas un Nobel, d'accord ; mais l'environnement est celui-là. J'ai essayé de le dire, un jour, à mes voisins d'aujourd'hui ; ils m'ont regardé d'un air supérieur, à gifler ; surtout Hemingway, bien sûr. En proie à l'alcool, vraisemblablement.
♦ Un petit boulot, Iain Levison. Un roman social déguisé en polar. Parce qu'après tout, ce qui importe est moins que le héros devienne tueur à gages - et sacrément bon dans son boulot, soit dit en passant - mais ce que ça lui apporte d'avoir du travail, de savoir qu'il le fait bien, et que ses clients soient satisfaits, dans une région où la fermeture de l'usine a fait oublier aux gens ce que c'était que ce genre de satisfaction.
♦ Le liseur, Bernhard Shlink. Je ne sais pas au juste quoi en penser. Je voulais juste le lire avant la sortie du film. C'est bien fait et tout, hein. Mais toute cette histoire m'a mise terriblement mal à l'aise.
♦ #Le mystère de la chambre jaune#, Gaston Leroux. Je me souvenais de la solution au problème de la chambre jaune, mais pas de l'histoire du couloir.
♦ #Le parfum de la Dame en noir#, Gaston Leroux. Faut-il que j'aime Rouletabille, et que j'aie confiance en l'auteur, pour avoir persévéré dans ma lecture plus loin que la description du château - avec la porte BB' et la tour carrée et la tour ronde... numérotés, labellés, jusqu'à endormissement du lecteur. Le mystère en lui-même n'est pas inintéressant, mais l'emballage m'a semblé plutôt indigeste.
♦ #Le flux et le reflux#, Agatha Christie. Sous prétexte d'écrire des romans policiers, A. Christie nous livre des bluettes sentimentales... Malheureusement, ce n'est jamais une bonne idée de fondre pour le mauvais garçon... Une tendresse particulière pour la tante Frances qui apprend à son mari - après vingt ans - que si elle l'a épousé, c'est par amour, mais oui mais oui.
♦ #Le bouddha de banlieue#, Hanif Kureishi. Il faudrait que je lise d'autres romans de Kureishi, plutôt que toujours le même. En attendant, j'ai retrouvé dans celui-là exactement ce que je pensais y trouver.