Aie..... Je ne comprends pas une petite phrase. Toute simple, mais qui ne tient pas debout. Le texte de « Louis » est facile, mais parfois, il arrive des trucs. :(
Alors, je vais les accumuler ici, mes questions, dans ce fil... Les
1) Il doit parler, avant le chancelier et le président, afin d'exiger des parlementaires qu'ils se soumettent, acceptent de nouveaux impôts en échange de l'abandon d'une taxe dite de la toise que Mazarin a décrétée et qui a provoqué émeutes, révoltes et résistances, et le Parlement a lui aussi donné de la voix.
Il n’existe pas de taxe de la toise, probablement. Sur google, je ne l’ai pas trouvée ! Mais par quoi puis-je la remplacer, alors... ? Quelle taxe l’auteur avait-il en vue ? C'est un impôt sur quoi au juste - sinon, qu'est-ce qu'on peut mesurer par la toise dans ce cas. Ou bien, un équivalent plus moderne, avez-vous une idée ?
2) - Je défends le cardinal, c'est un ministre qu'on m'ôte de force, dit-elle*. Il a de très bonnes intentions pour le ser¬vice du roi et le mien. Il a glorieusement conduit les affaires qu'on lui a laissé faire. Mais il a été trahi par ceux qu'il a obligés.
*C’est un discours d’Anne d’Autriche, elle parle de Mazarin à son amie. C’est un ministre qu’on m’ôte de force....
Au secours ! Je ne comprends pas de qui il s’agit, ce « on », qu’est-ce que ça remplace ? Le « ministre » est qui ? Un ecclésiastique, c’est-à dire, le cardinal ou s’agit-il d’une troisième personne (qui n’est pas mentionné pour autant)...
A suivre... je crains.