13 février 1900.
Claudel déjeune. Il parle du mal que l’affaire Dreyfus nous a fait à l’étranger. Cet homme intelligent, ce poëte, sent le prêtre rageur et de sang âcre.
-Mais la tolérance ? lui dis-je.
-Il y a des maisons pour ça, répond-il.
Ils éprouvent je ne sais quelle joie malsaine à s’abêtir, et ils en veulent aux autres
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