L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 1er mars)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme les autres, quoi
(
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Ils ont été jeté comme de vulgaires kleenex. Une fois utilisés, usés jusqu’à la corde dans des combats vains, on les poursuit sans relâche pour qu’ils gardent les secrets du gouvernement jusque dans leur tombe.
Aucun d’eux n’est d’accord pour subir ce destin. Ils ont décidé de se battre contre cette mort annoncée, et de s’enfuir.
Lucci à leur tête, ils s’embarquent sur un navire et s’éloignent dans le soleil couchant. Peut-être reviendront-ils dans l’histoire. Ou peut-être pas.
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Il ne savait pas ce qu'il attendait exactement de ce combat.
Il pourrait mourir des mains de Naruto, et il aurait ainsi l'intense satisfaction de l'avoir entraîné dans des regrets incommensurables.
La mort de son rival serait une délivrance. Il n'aurait ainsi plus aucun lien qui le rattachait à ce monde injuste. Il n'y aurait plus personne pour le stopper dans sa folie meurtrière.
Sasuke doutait que Naruto ait trouvé la solution pour le ramener à la raison. Il n'y en avait pas. Ce serait inespéré.
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Le Captain America de sa jeunesse, ce type ultime qui mettait à mal les méchants et triomphait toujours, pour le peuple et pour l’Amérique, n’était rien d’autre qu’un fils de pute aux yeux bleus cherchant à lui faire un enfant dans le dos. Rien à voir avec l’image qu’il en avait.
Rien à voir avec ce qu’il aurait aimé devenir, la personne qu’il admirait de loin.
La rage qu’il ressentait était à son maximum, et il n’avait plus qu’une envie : celle de frapper ce visage parfait jusqu’à lui faire cracher toutes ses dents. Quitte à se retrouver à nouveau seul. Comme toujours.
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Se retrouver à nouveau seul.
Comme toujours quand il s'agissait de ses faiblesses, Agamemnon ne l'avouerait pas, pas même à lui-même, mais c'était son plus grand cauchemar. Parce que quand il était seul, il n'y avait plus aucun rempart entre lui et son monstrueux dégout de lui-même, au delà de la haine parce que la haine, au moins, peu donner de la force...
Rester seul, c'était ouvrir les vannes, laisser se déverser dans son esprit des flots terrifiants de merdes et de whisky, se retrouver à genoux, à se vomir jusqu'à la dernière goutte.
La solitude le rendait malade. Physiquement.
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