L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 1er mars)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme les autres, quoi
(
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Elle savait qu’il en serait ainsi dès lors qu’elle avait accepté de devenir vampire. Mais jamais elle n’aurait pu se préparer à cette sensation de désir mêlée au dégoût qui lui transperçait l’âme - si elle en avait toujours une.
En regardant son maître, elle se demandait si elle aussi, elle finirait par perdre toute humanité et sombrer dans une folie destructrice, égoïste et cruelle.
Pourtant, elle percevait en lui un certain humour - noir - et une forme d’abnégation qui lui faisait garder espoir. Peut-être était-il psychopathe, mais encore pouvait-il éprouver quelques sentiments. Tout n’était donc pas perdu pour elle.
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Et donc je suis dans la ruelle tu vois, j'en mène pas large parce qu'il y a une bande de cracktons, et ils sont en train de devenir agressifs - évite les raccourcis par là, mec, vaut mieux perdre un quart d'heure et faire le tour du block - et soudain, BHAM ! Il tombe du ciel. Devant moi. Et tu crois ce que tu veux, mais je te jure mec, il était pas humain."
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Le tenancier du Teahouse s’arrêta net devant le ton sec avec lequel cette phrase avait été prononcée, pour ne pas dire crachée.
-Tu m’as clairement fait comprendre ma place dans cette maison, alors ne viens pas te plaindre lorsque je fais mon travail correctement, reprit Linneus.
- Et il me semble que ton travail justement doit être effectué dans le cadre de ta chambre, pas en bas des escaliers. »
Le visage du courtisan exprimait à quel point ces paroles le blessaient.
« Commence par cesser de batifoler avec Lilith dans le jardin et nous en reparlerons », lâcha-t-il avant de tourner les talons, énervé.
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- En matière de sexe, j'en connais un rayon, mon gars ! affirma Axis, tapotant virilement son entrejambe. Alors c'est pas un puceau comme Rory...
Mercutio l'interrompit en pouffant.
- Savoir faire rentrer son pénis dans une dame, ce n'est pas s'y connaître. Moi, j'y connais un rayon. Mêmes plusieurs rayons. (il faisait référence aux rayonnages de sex-toy qui couvraient les murs de sa chambre) Par exemple, saurais-tu te servir de ceci ? ajouta-t-il en exhibant un objet qui ressemblait à un instrument de torture recouvert de paillettes et de fourrure rose.
Non, Axis ne savait pas et il n'avait pas envie de l'apprendre...
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- Puis-je vous conseiller, monsieur ?
L'homme rougit et se pencha à l'oreille du gérant pour marmonner sa demande.
Artos cilla légèrement mais ne laissa rien paraitre de sa répulsion en faisant signe à Mercutio d'approcher.
Il avait pour principe de ne porter aucun jugement sur les fantasmes de ses clients tant que ceux-ci payaient assez cher pour les réaliser.
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Pour devenir Hokage, il fallait en avoir dans la caboche. Malheureusement pour lui, tout ce qui était un peu trop théorique lui passait à travers ou le survolait de très loin. Par contre, dès qu'il fallait mettre en pratique, il était véritablement partant bien qu'il n'ait rien pigé auparavant.
Il lui fallait plus de temps mais il y arrivait quand même au bout du compte. Tout était question de volonté.
Il apprenait en s'entraînant, en observant les autres puis en cherchant l'astuce à une technique par lui-même, et c'est ainsi qu'il progressait.
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C'était avec bonheur, fierté et peut-être parfois un léger pincement au cœur qu'il voyait ainsi Nuño devenir peu à peu un homme et un bon guerrier.
S'il n'avait jamais eu l'occasion d'être un bon père, au moins il pouvait avoir la sensation d'être un bon professeur.
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S'il n'a jamais eu l'occasion d'être un bon père, au moins il peut avoir la sensation d'être un bon professeur. Lloyd a du talent, mais aucune technique ; il a besoin d'apprendre à canaliser son enthousiasme brouillon, de le contrôler. Kratos est surpris de s'entendre proposer de lui enseigner cette maîtrise, mais sincèrement heureux quand Lloyd accepte.
A coups d'épée, entre les chocs de leurs lames, la rigueur et la sueur de l'entraînement, Kratos lui apprend à devenir réellement bon. Lloyd le paye inconsciemment, avec des échanges, des secrets, des souvenirs d'enfance, des sourires, un unique et suffisant mot de remerciement.
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Ils progressent en courant, trébuchent parfois sur les marches, rient sans discontinuer. Le festival ? Terminé, gagné ensemble, et Satoshi ignore toujours quoi souhaiter au sommet de la tour : ils trouveront en sonnant.
Mais arrivés sur le toit, quelqu’un est déjà devant la cloche.
« T’étais pas au festival, non ? »
L’inconnu se retourne, silhouette assombrie par le contre-jour.
« Moi, c’est Satoshi ! Tu es ? »
Le soleil se reflète sur la cloche et Satoshi ferme les paupières, assailli par l’éclat ; il n’entend qu’un murmure.
Quand il rouvre les yeux, la lumière derrière N (c’était ça ?) ressemble un instant à une couronne sur ses cheveux.
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- Aaah, ouais, j'pourrais payer pour ça...
Venant d'un homme qui passait ses journées à tripoter toutes les femmes de la ville assez riches pour se le permettre, elle trouvait que c'était le plus beau des compliments.
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C'était justement dans ces moments-là, quand sa langue se déliait toute seule pour jeter négligement au détour d'une conversation un louange discret, qu'Arthur appréciait véritablement Francis. Il pouvait parfois faire preuve de subtilité tout en n'oubliant pas de glisser un sous-entendu par derrière. Et généralement, une envie licencieuse omnibulait l'esprit du français pour de telles allusions en public.
Arthur ne pouvait s'empêcher de rougir alors que son homologue français souriait de son trouble.
Une petite pique agréable dans le coeur, ils avaient un regard complice.
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« Tu ne le touches pas, tu ne lui parles pas, et je t’interdis même de le regarder ! »
- Abel ne mérite pas le sort que tu lui prépares. C’est un garçon honnête…et tu n’es qu’un chien fou et enragé.
Soudain Cain recula en éclatant d’un rire qui ressemblait à un aboiement.
- Un garçon honnête ? Un dissimulateur de première, oui ! Il est bien plus chienne que je ne le serais jamais.
Il esquissa un sourire sarcastique, ajoutant :
- Cet Abel si pur que les autres voit, je l’ai baisé. Et il en a redemandé.
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Entièrement soumis, baisé comme la dernière des putains - il aurait voulu pouvoir dire "violé", ça lui aurait donné une excuse, mais non, rien de ça : il n'avait pas lutté une seconde, il s'était laissé prendre, avec un plaisir délirant, monstrueux. Parce qu'il le voulait.
L'absence la plus totale d'honneur, le point zéro de l'amour propre.
Règles, prudence, dignité, jusqu'à sa propre raison, tout, absolument tout s'écroulait, disparaissait en poussières devant le plaisir sans limite que ce salaud lui faisait découvrir...
Alors, oui, il en avait redemandé - et il avait vu le sourire de victoire de Cain.
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Mais Abel était si mignon, si naïf, et il réclamait tant l’attention que Cain n’avait pu résister à l’envie de le dominer. Il l’avait fait japper de plaisir, il avait dépucelé sa petite chatte en chaleur sous ses coups de butoir puissants. Il avait jouit de son corps à satiété, jusqu’à déposer sa semence à l’intérieur.
Pourtant, jamais il n’avait eu réellement l’impression qu’il lui appartenait.
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