Sapin à drabbles (23 décembre 2011 au 9 janvier 2012)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
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Arthur eut un petit sourire en coin devant l'hésitation de son homologue français.
"Je saurais te corrompre.
- Il y a du vent, et il fait froid, râla le pays de l'amour.
- Je vais te réchauffer, tu vas voir.
- Ah, des promesses..."
Francis se retrouva au sol en prise avec un baiser farouche et brûlant auquel il répondit malgré lui. Effectivement, la température montait d'un cran.
"On est déjà un peu plus à l'abri, et aucun de nos amis du G8 ne penserait à nous chercher par ici.
- Il neige, Arthur. Personne ne mettrait le nez dehors, et encore moins pour...
- Ce sera passionné. Entre le feu et la glace, que de sensations."
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Entre le feu et la glace, que de sensations opposées. Et quand elles se rejoignent, quelles étincelles elles créent !
St-John n’est capable que de manipuler du feu déjà existant, pas de le créer ex-nihilo et pas de faire n’importe quoi avec la température de n’importe quel objet, mais c’est déjà beaucoup. Et Bobby jurerait que ses lèvres, ses mains sont plus chaudes que celles de n’importe qui d’autre.
Ils ont exploré à fond le coup du glaçon. Maintenant, ils se proposent de tordre la flamme d’une bougie et de jouer avec la cire.
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La cire coule sur sa poitrine tandis qu’il halète de douleur. Il ferme les yeux et tire sur les liens qui retiennent ses poignets au montant du lit, sans résultat.
Au dessus de lui, son amant esquisse un sourire en coin et lui écarte les jambes.
« Tu devrais être honnête et admettre que tu aimes ça. »
Takaba se tend et fusille Asami du regard.
- Je ne suis pas ton jouet !
Le mafieux lui prend le menton et s’enfonce sèchement en lui, le faisant se cambrer contre le matelas dans une extatique souffrance. Il ricane :
- Si.
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Il ricane si méchamment, cet homme... De toutes les tortures qu'a subies Kanan, c'est bien ce petit rire froid la pire.
Elle a résisté de son mieux aux soudards qui se sont emparés d'elle. Elle a supporté les servantes au sourire figé qui l'habillaient comme une poupée. Elle essaie d'effacer de son souvenir l'étreinte du monstre. Tout ça ne touche que son corps, pas son âme. Ils la réduisent à un morceau de chair. Elle sait qu'elle vaut plus.
Et lui, qui vient offrir sa fausse pitié et se moquer d'elle...
Ah. Quand elle sortira de là, elle le tuera.
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« Peu importe ce que je fais, tu refuses de laisser échapper un son, pas vrai ? » déclara Mukuro avec un sourire fin.
Les yeux d’Hibari lancèrent des éclairs.
- Mais j’arriverais bien à te faire crier, susurra le gardien de la brume en se penchant pour mordiller un téton, laissant son partenaire non-consentant se tortiller, essayant de défaire les liens qui l’empêchent de le mordre à mort.
A moins que ce ne soit de plaisir.
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