L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible
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- Si tu m'aimais, tu me laisserais en liberté ! laisse échapper Rapunzel, sans réfléchir, dans le feu de ce qui est en train de tourner en une atroce dispute.
Le visage de Maman se décompose, ses cheveux blanchissent brusquement, elle tombe dans le fauteuil, pâle, faible, silencieuse, choquée au-delà des mots. C'est la première fois que Rapunzel la voit dans cet état, et c'est sa faute, cruelle, abjecte, horrible fille -
- Pardon, pardon, gémit-elle, horrifiée, en se blottissant dans l'étreinte familière. Maman, je...
- Shh, souffle Gothel, les yeux fermés, en lui caressant les cheveux. Maman t'aime, même si tu lui fais mal.
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Ces mots…
« Il ne possède pas de cœur ! Croyez-vous vraiment que vos mots puissent atteindre cette triste abomination ?! »
… se bloquent dans sa trachée, se dilatent, demi-mensonge et constat objectif étouffant, irréfutable, morceau de vrai dans l’équation formant N…
N a la bouche fermée ; ce feulement et ces pas déchaînés ne sont pas les siens.
C’est Satoshi qui se jette sur Ghetsis pour frapper, mordre, crier, tuer les phrases à coups de dents, de poings, de larmes, enragé, dégoûté, et ses hurlements brûlants vibrent dans le corps de N ; dissolvent les syllabes qui s’y étaient coincées ; lui réapprennent à respirer.
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