L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible
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- C'est "agir", pas "rougir" Mushu.
- C'est pas ma faute si tu n'es pas douée pour la calligraphie, rétorqua le dragon en donnant une pichenette au pinceau. T'es plus à l'aise avec une épée, tu le sais.
- Mais je dois apprendre les bons termes pour mon mariage et ma future vie d'épouse.
- Mouais. Moi je dis que t'es pas faite pour être casanière... T'as besoin d'espace, de liberté, de vivre hors des lois !
- Mais je dois le faire... pour Shang.
- S'il t'aimait, il te laisserait en liberté.
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« Théoriquement, ça marche sans problème.
- Et dans la pratique?
- Je l'ignore encore, imbécile, c'est un premier essai!
- ... et si ça explose?
- Mais ça n'explosera pas, enfin! J'ai effectué les corrections nécessaires, c'est sans danger!
- Comme les deux canons précédents...
- Qu'as-tu dit?
- Pourquoi on n'essayerait pas avec une, euh, longue mèche? Histoire d'avoir le temps de se mettre à l'abri, 'voyez?
- Non.
- Mais-
- Je t'ai donné un ordre, contente-toi d'y obéir! Occupe-toi de la mise à feu! Maintenant! Maintenant! »
Chef Loup ne s'est pas sitôt approché du canon que Shen le rappelle :
« Attends!... Laisse plutôt un de tes hommes s'en charger, finalement. »
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Ils firent une grande fête pour lui souhaiter un bon retour parmi eux. Fukuro roula très rapidement sous la table en marmonnant quelques secrets; Kumadori avait enfourché Blueno, l’appelant son fidèle destrier. Ce dernier n’en avait pas franchement l’air ravi, mais cela faisait rire Kalifa, alors il ne disait rien.
Blottis l’un contre l’autre dans un coin sombre, dans le couloir, Kaku embrassait Lucci, heureux de le revoir.
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mais non, je ne connaissais pas; je ne lis pas de fics en anglais...
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- Si tu m'aimais, tu me laisserais en liberté ! laisse échapper Rapunzel, sans réfléchir, dans le feu de ce qui est en train de tourner en une atroce dispute.
Le visage de Maman se décompose, ses cheveux blanchissent brusquement, elle tombe dans le fauteuil, pâle, faible, silencieuse, choquée au-delà des mots. C'est la première fois que Rapunzel la voit dans cet état, et c'est sa faute, cruelle, abjecte, horrible fille -
- Pardon, pardon, gémit-elle, horrifiée, en se blottissant dans l'étreinte familière. Maman, je...
- Shh, souffle Gothel, les yeux fermés, en lui caressant les cheveux. Maman t'aime, même si tu lui fais mal.
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Ces mots…
« Il ne possède pas de cœur ! Croyez-vous vraiment que vos mots puissent atteindre cette triste abomination ?! »
… se bloquent dans sa trachée, se dilatent, demi-mensonge et constat objectif étouffant, irréfutable, morceau de vrai dans l’équation formant N…
N a la bouche fermée ; ce feulement et ces pas déchaînés ne sont pas les siens.
C’est Satoshi qui se jette sur Ghetsis pour frapper, mordre, crier, tuer les phrases à coups de dents, de poings, de larmes, enragé, dégoûté, et ses hurlements brûlants vibrent dans le corps de N ; dissolvent les syllabes qui s’y étaient coincées ; lui réapprennent à respirer.
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