L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible
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Je sais ce qui s'est passé, moi. Je me rappelle. L'horreur. C'est mieux pour eux qu'ils ne sachent pas. Ça les protège, eux au moins n'ont pas peur. Mais il faut aussi que quelqu'un sache... l'étendue, pour les protéger... du reste.
Moi je sais.
Et moi je peux. Je suis assez fort pour faire face. Je peux tout organiser.
C'est pour ça peut-être que j'ai été choisi. C'est pour ça sûrement que j'ai été choisi.
Alors.
À moi de les aider à se rendre compte de qui d'autre sera choisi, qui sera sauvé. Il faut que je reste fort.
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John a continué de sourire à un jeune soldat dont il tenait les entrailles à pleines mains, l'a calmé, l'a assuré que tout allait bien se passer, alors même qu'il était en train de mourir ; il a tué de sang foid ; il a enduré les humeurs erratiques de Sherlock et ses expériences et les doigts humains (!) rangés de manière totalement non-hygiénique à côté de ses yaourts.
Et à présent il console madame Hudson, la rassure à mi-voix et garde sa rage pour lui.
Il tressaille à peine quand Slerlock défenestre l'Américain, une première fois.
Puis une deuxième.
Puis une troisième...
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« Pauvre imbécile… »
Qu’il inspire.
« Incapable ! »
Il faut qu’il ignore tout ceci. Il n’était pas dupe, après tout ; ils se sont toujours manipulés, ont toujours utilisé l’autre pour réaliser leurs propres objectifs ; N avait conscience du duel silencieux et sous-jacent qui les liait, il savait qu’à la fin, leur mascarade volerait en éclat. Il pensait seulement pouvoir faire face quand Ghetsis, Sage ou père de N (cela n’a aucune pertinence), chercherait à l’écarter ou cracherait sa rage, vaincu.
Les mots de Ghetsis ne veulent rien dire, ne représentent pas N.
(Irrationnellement, N n’arrive plus à parler.)
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N n’arrive plus à parler pendant un long moment après avoir acquis la certitude de la mort de M. Il s’y attendait, pourtant. Il savait bien que Mello, trop tête brûlée, courait à sa perte. Et lui, censé être plus froid et plus raisonnable, ne devrait pas se laisser affecter ainsi.
Il peut toujours raisonner. Son esprit est clair. Trop clair peut-être.
Il se trouve juste qu’il n’a plus aucune envie de répondre à Gevanni qui cherche à le questionner.
Il doit se concentrer sur ce qu’a laissé M. Sans plus se laisser distraire.
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