Sapin à drabbles (23 décembre 2011 au 9 janvier 2012)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
- Il n'en est pas question votre seigneurie, répondit avec insolence Merlin acculé contre le mur.
- Tu es mon serviteur ! Obéis.
- Non, Arhur... Je ne serai pas ton goûteur. Je tiens à la vie, et je suis attristé..."
Arthur se rapprocha dangereusement pour le fixer droit dans les yeux.
"...Et je suis l'un de tes plus précieux serviteurs.
- Tu vas me goûter cette gelée de framboise illico."
Avec un sourire amusé devant l'expression farouche de son prince, Merlin prit un malin plaisir à lécher les doigts gluants de son seigneur. Ils en éprouvèrent des frissons délicieux.
Une petite envie gloutonne au milieu de la nuit les avait enfin réunis.
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La nuit les a enfin réunis. Des mois, des années peut-être, se sont écoulés depuis que Vicky et Aznar ont chacun de leur côté rejoint la nuit. Ils ne mesurent plus le temps qui s’écoule, seulement le sang qui s’échappe de leurs cibles, des abcès crevés.
Ils ont perdu de vue le soleil de puis longtemps, mais que leur importe ? Leurs nuits sont toujours plus… intenses.
Le sang n’a jamais fini de sécher à leurs bottes. Ils échangent un regard mais pas de parole.
Une croix contre une épée.
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Même pour un simple entraînement, Shen se sent obligé de se donner en spectacle.
« Si tu avais été mon ennemi, tu serais mort », annonce-t-il fièrement, en même temps presque comme une mise en garde.
Cela pourrait vouloir dire : Si tu me trahissais, voilà ce qui t'attendrait.
Souhait : quelqu'un se sent d'écrire sur Le Visiteur du futur? :D
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- Mais je n'irais PAS voir Twillight !
- J'espère. Il est très mauvais.
- Parce que vous l'avez vu ?
Le regard fuyant du Visiteur confirma les doutes de Raph.
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Merci pour l'éclat de rire ! ^^
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Les goûts de merde du porteur de seau sont légendaires.
Amen. ^^
Vraiment très drôle !! ça donne envie d'une suite !
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- Ne fais pas ça ! Si tu le fais…VOILA CE QUI VA S’PASSER !!!
Tu vas lire le tome un, créant une fascination malsaine pour Twilight. Tu vas être tenté de lire le deux…et tu vas craquer ! Puis tu hésiteras avant de lire le trois, et quand tu en seras au quatre : Déprimante révélation ! Cette série ne vaut rien ! Et un 2 avril, tu auras une pulsion suicidaire, tu te jetteras par la fenêtre, et tu tomberas sur une Volvo, qui aurait dû permettre à un type de sauver une femme, qui…
- Oh la ferme, grommela Raph en ouvrant le bouquin.
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- Vous avez vraiment des gouts de merde !
Allez une suite !
- Mais je n'avais trouvé que ce DVD en fouillant à la recherche de bouffe, et j'avais rien d'autre pour m'occuper ! Pas ma faute si y a que les ordures qui survivent aux hordes de zombies et cataclysmes !
- Vous devriez leur faire regarder aux zombies. Sûr qu'ils fuieraient.
- Ils sont déjà lobotomisés Raph...
- Et un album complet des plus grandes bides musicaux français ?
- La plupart ont plus d'oreilles. Puis je tiens à ma santé mentale...
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L'interrogatoire musclé a viré au jeu de massacre, et le suspect ne sera pas en état de répondre à la moindre question avant de longues minutes.
Gene prend conscience qu'une main lui arrête le bras. C'est Ray qui lui demande si ça va.
Gene grogne, lui laissant le soin d'interpréter cette réponse comme ça lui chante.
Détournant de lui un regard dégoûté, au bord de l'écœurement, Sam sort le premier de la pièce.
Gene serre de nouveau les poings, fixant la porte restée ouverte. Si tu me laissais, qu'est-ce qui me resterait?
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- Oooh! firent en chœur les lapereaux.
- Et après?
- Il était rapide mais je l'étais plus encore. J'esquivai, puis le repoussai d'un bon coup de marteau!
- Et après?! »
Maître Rhino sourit à son jeune auditoire. C'est toujours un plaisir de partager ses histoires ; les enfants apprécient particulièrement celle de sa rencontre avec Maître Croc, alors brigand.
(Quand il la racontait au petit héritier de Gongmen, autrefois, celui-ci écoutait son récit avec la même fascination.
Peut-être parce qu'il neige, aujourd'hui la pensée de Shen ne le remplit pas d'amertume.)
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Pas seulement parce qu’à cause de lui, il est obligé de courber l’échine devant un granivore, mais parce qu’inconsciemment, il craint que son maître ne retourne ses armes contre lui. Et même s’il ne l’admettrait pas sous la torture, le Chef Loup est effrayé par les armes à feu. Raison pour laquelle il s’est très rapidement rangé du côté du paon, au lieu de celui du canon.
Force est de reconnaître que ces explosions sont impressionnantes. Mais pas autant que la joie qu’il aurait de serrer enfin ce cou mince entre ses crocs.
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Néanmoins, il n’a pas peur, car il sait que sa mort est encore loin. La Divinatrice n’a-t-elle pas prédit qu’il serait tué par un panda ?
Non pas par un vulgaire carnivore à l’orgueil légèrement éraflé.
Il le punit donc. Pour lui apprendre sa place : celle du serviteur.
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Le chef des loups a en horreur la façon dont Shen s’adresse à lui. Comme si…
Comme s’il n’était qu’un chien !
Domestiqué, voilà ce que l’on murmure dans son dos, et cela le met hors de lui.
Mais en même temps, que peut-il faire ? Après tout, ce n’est pas lui qui a demandé à Shen de le rejoindre dans sa chambre, la nuit, pour y dénoncer toute la corruption de leurs deux âmes éprises des passions les plus noires.
Non, il n’est pas domestiqué. Simplement fasciné par la noirceur de son seigneur immaculé.
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