Sapin à drabbles (23 décembre 2011 au 9 janvier 2012)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
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Maka soupira, mal à l'aise, en arrivant devant le restaurant.
Son père la traitait encore comme une enfant alors qu'elle était une meister à présent.
Evidemment, son arme étant un garçon, son père le regardait de travers en l'affublant de toutes sortes de remontrances.
Heureusement, personne ne prêtait attention aux ragôts de son père sur la perversité de Soul.
"Oh, on s'est bien habillée pour une fois. Le papa ne doit pas être content, fit remarquer celui-ci.
- Notre sorcière bien aîmée prends soin de lui... A cause de ses allusions, il s'est pris un bon coup de poêle."
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Un bon coup de poêle à frire, il n’y a que ça de vrai. Raiponce ne sera jamais, plus jamais, une demoiselle en détresse. Mère Gothel l’a peut-être séquestrée pendant des années et gardée ignorante du vrai monde extérieur : quand le besoin est apparu, elle s’est montrée largement de taille à maîtriser un intrus.
Flynn, après avoir testé les deux côtés de la poêle, acquiesce. Efficace en diable !
Il ne faut pas de longues démonstrations pour convaincre la Garde Royale de l’adopter.
[souhait : oh, si quelqu’un a envie de répondre au même prompt ci-dessus avec Jessica Rabbit, ou d’écrire sur Roger Rabbit en général ici ou ailleurs…]
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Lorsqu’il reprend connaissance, Cheren tient toujours l’arme infernale et semble même attendre qu’Alder en tire les bonnes conclusions.
Alder tente une réponse.
« Tu as subitement décidé de devenir un hors-la-loi qui s’introduit dans la maison des honnêtes gens, et selon toi, j’en serais responsable ?
- Venir à la rencontre des autres - quitte à s’infiltrer chez eux - est l’apanage des dresseurs itinérants », commente simplement Cheren. « Non, ceci, c’est pour les cinq jours d’attente alors que vous étiez supposé revenir plus tôt. »
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*toujours souriante et giggly IRL, SO DOMESTIC, TERRIFYINGHOUSEWIFE!CHEREN, YES PLEASE*
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- Ma chère vous nettoierez le tapis. C'est un souvenir de ma victoire contre les Ottomans, j'y tiens beaucoup.
- Ce sera fait dès que j'aurais réduit la Prusse à la taille d'une amibe. Et que je l'aurais tué.
- On ne peut pas tuer une nation, vous devriez le savoir.
- Tant mieux. Il souffrira pour l'éternité.
Autriche soupira : son épouse avait toujours été très cavalière.
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Défi d'ylg relevé. J'ai vu le film il y a longtemps, donc risque d'OOC.
Même en maniant un objet aussi désuet qu'une poêle, Jessica demeure ce pour quoi elle a été créé : une femme fatale aux allures de pin-up, un fantasme de papier glacé ayant pris vie. Eddie Vaillant sait qu'elle n'est qu'un toon mais il ne peut s'empêcher d'observer les courbes pulpeuses, la robe moulante.
- Monsieur Vaillant, rappelez-vous... Je reste fidèle à mon mari.
- Qu'est-ce que vous lui trouvez à ce lapin ?
- Il me fait rire. C'est beau de rire, vous savez ?
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"Vous savez?"
Ron hoche la tête. "Toi et Snape…" commence-t-il.
"…Il se passe quelque chose," enchaîne Harry.
"On n'a pas besoin de savoir!" interrompt vivement Ron, une prière autant qu'une affirmation.
"On n'aime pas beaucoup ça," admet Harry.
"Ça servirait à rien qu'on mente," renchérit Ron.
"A rien du tout," confirme Harry. "Tu sais toujours."
"Mais tu as l'air heureuse," hasarde Ron.
"Tu es heureuse?" demande Harry pour confirmation.
Incapable de parler, Hermione hoche la tête, les larmes aux yeux.
"Alors c'est bien," décide Harry.
"Tout va bien," répète Ron comme en écho.
Cette fois ça y est, elle pleure.
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« Un bon coup de poêle ne lui a jamais fait de mal. Il a l'habitude vous savez.
- Ok, mais c'est pas parce qu'il se prend quotidiennement des frigos sur le coin de la tronche qu'il faut lui fracasser le crâne avec le reste de la batterie de cuisine.
- J'ai fait ça pour son bien. Il fallait que je le protège.
- Donc vous l'avez assommé, enlevé et séquestré dans le coffre de votre voiture par amour.
- Évidemment ! »
Eddie soupira et décida de lâcher l'affaire : on ne pouvait pas gagner face aux toons et à leur vision tordue de l'amour.
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D'un haussement d'épaules, Karen s'excuse de la question.
"Non, rien de tout ça entre Harry et moi," lui assure Doris. "Disons qu'il m'amuse. Il m'émeut parfois. Et puis je suis trop vieille pour réapprendre à dormir seule, et pas assez friquée pour me payer un gigolo potable."
"Et lui?" interroge Karen, sincèrement curieuse.
"Lui? Sa maison est tenue, et il n'a plus besoin de draguer de petites pintades décérébrées quand il a envie de compagnie. Crois-moi, il y trouve son compte aussi."
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