Sapin à drabbles (23 décembre 2011 au 9 janvier 2012)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible ( Read more... )
Mais elle confond le sucre et le sel, oublie le temps de cuisson, dérape, provoque des maladresses. Le gâteau qui ressort n'a aucun goût, ceux qui en mangent grimacent devant l'exploit.
Alors pour apprendre elle observe Shinji du coin de l'oeil. Sous les mains de l'homme les saveurs se complètent, les textures se construisent. Aux yeux de Fuuka c'est de la magie.
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- C’est de la magie ? demande Mieke, les yeux tout rond ouverts, en voyant s’allumer la gazinière.
- Non, c’est scientifique, rit Pol.
- Mais sur quoi ce feu brûle-t-il ?
Le miracle de l’eau chaude et de l’eau froide dans les robinets, elle veut bien y croire. Ça n’est rien de plus qu’un tonneau très grand et elle comprend qu’on puisse chauffer un réservoir. Mais ça !
Pol aimerait bien savoir expliquer : le gaz combustible, comment ça marche…
- Euh, avec des tout petits, petits machins. Y’a pas grand monde qui sait ?
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Aux yeux de Cylia, c'est de la magie, la façon dont Sofia soigne les gens. Pas la Psynergie, évidemment - ça, elle connaît, elle en est même également capable, à plus moindre mesure. Non, simplement sa douceur, l'aura qui émane d'elle, bien plus surnaturelle que le pouvoir de Mercure, sa présence, qui apaisent et soulagent les douleurs, referment les blessures, effacent les vieilles cicatrices de l'âme comme du corps.
Un sourire d'ange et des doigts de fée.
Si vraiment tu comptes apprendre, songe soudain Sofia sans la regarder, observe ce que font mes doigts. Et évite de te lécher les babines.
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- Évitez de vous lécher les babines d'un air si visiblement gourmand, mon cher Lope, admonestait Armand : vous allez lui faire peur.
- Et c'est celui qui propose la fugue amoureuse à toutes les donzelles qu'il rencontre qui me fait la morale ! protesta l'interpellé.
- Oh, mais je le fais avec tact. Avec de jolis mots. Les demoiselles, il faut les savoir charmer. - - Agir avec raffinement. Pas comme une bête en rut.
- Qui traitez-vous de bête en rut !
- Tout doux, tout doux. Ce n'était qu'un contre-exemple.
- Et, la gazelle amoureuse que voici ? Quel exemple ?
- ...Vous écumez. Maintenant, vous auriez plutôt l'air enragé.
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Et merci à des-demoiselles-qui-se-reconnaîtront pour m'avoir fait découvrir ce fandom-ci.
- Tu écumes. Maintenant, tu aurais plutôt l'air enragé...
- JE VAIS TRES BIEN, éclata Wolf.
Virginia s'écarta brutalement, plus du tout amusée, forçant un sourire ironique pour cacher sa surprise et (courte) frayeur.
- Bien sûr, bien sûr, ça se voit.
Wolf s'ébroua, gémit comme un chiot battu.
- Pardon, oh pardon, ma douceur, mon lapin, mon petit sucre, j'ai juste, juste... faim.
Jamais on n'eut entendu soupir plus éloquent d'un golden retriever.
- On ne s'arrête pas pour égorger un mouton, signifia Tony. Prince est d'accord avec moi.
- Oh, un mouton, je ne dis pas ! Mais un petit ? Un agneau ? ... Un agnelet ?
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Les doigts d'Atia égrenaient le raisin au même rythme que son esprit égrenant les souvenirs. La demeure était emplie d'un silence pesant, mortuaire - Octave les avait condamnés à l'enfermement. Ce n'était plus qu'un tombeau.
- Et le voilà devenu un lion, tuant, torturant. Il massacre même sa propre famille, ce qu'aucune bête ne ferait.
Octavia ne peut qu'acquiescer. Elle qui haïssait sa mère la prend désormais en pitié.
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En voyant les yeux de Nill, de grands yeux expressifs prenant vite l'eau, Badou se rend compte qu'il vient sûrement de briser l'image qu'elle avait d'Haine. Il se dit qu'après tout elle doit tout connaitre de son "sauveur" et que c'est nullement un gentil petit garçon.
- Donc preuve qu'il saura toujours te protéger. Il sent qu'on en touche à une personne auquel il tient !
Et il pourra aussi bien te détruire, mais ça c'est une autre histoire.
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Lily adressa un sourire rassurant à Petunia qui tendit le cou pour mieux observer le papillon de papier virevoltant entre les mains de sa sœur.
« On dirait qu'il est vivant.
- Je sais. C'est joli, non ? Je vais peut-être l'offrir à maman. Tu penses que ça lui plaira ? »
Petunia se mordilla les lèvres. Il ne faisait aucun doute que leur mère s'extasierait sur les nouvelles prouesses du prodige de la famille. Reculant, la fillette cracha avec amertume :
« T'es qu'un monstre. »
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- T'es qu'un monstre de bas niveau. Comment t'espères me battre avec une puissance aussi faible ? Et encore quand je dis puiss-...
Le youkai n'eut pas le temps de finir sa phrase. C'était au tour de Hiei de renifler avec mépris.
Ce type pouvait être plus fort et plus rapide, s'il perdait son temps à bavasser au lieu de combattre et s'il négligeait même de se tenir sur ses gardes, c'est qu'il usurpait sa réputation.
Il essuya sa lame et la rengaina.
- D'abord, quand on est un niveau plus bas, on a qu'à tendre la main pour frapper sous la ceinture !
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Combien de fois l'avait-t-il entendu ? Un millier, un million, des milliards de fois.
Et qu'en était-t-il des autres porteurs de démon ? Où étaient-t-ils ?
Gaara avait subi la haine des autres encore plus que lui. Et les sept autres ?
"Tu es bien pensif mon cher élève ?
- Comment faire disparaître autant de haine ?"
Jiraya se pencha sur Naruto qui ne trouvait pas le sommeil en lui caressant le front.
"Je ne sais pas mais je suis certain que tu trouveras la réponse à cette grande question."
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Haine ne compte plus le nombre de fois où quelqu'un lui a dit ça après avoir essayé de le tuer. Oui il est un monstre, un chien des Enfers qu'on ne peut pas tuer. Un gosse dont on a fouillé les entrailles pour en faire une arme, quelque chose d'inhumain capable d'arracher des têtes à coups de dents.
- T'es un zombie.
Comme le zombie il survit, sans âme, sans coeur avec juste l'envie de détruire. Il se demande tout de même qui, un jour, aura le cran de lui tirer la balle salvatrice dans la tête.
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Le cran de se tirer une balle salvatrice dans la tête, Sanzo ne l'a jamais eu. Au début, alors qu'il souffrait tellement, il était encore plus terrifié pour faire ce geste. Culpabilisant sur la mort de son maître, il était partagé entre le désir de souffrir pour expier, de mourir pour échapper à ses souffrances, et d'être sauvé par quelqu'un d'autre, son maître ressuscité ou une autre figure du même style.
Il se disait qu'il le ferait... un jour. Plus tard.
Maintenant, he bien, il s'est simplement habitué à cette vie. Et à force, il n'a plus envie de mourir.
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