L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible
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Il hésite : Se démorpher ? Rester ainsi et apprécier un peu plus longtemps la sensation ?
Quand il va raconter ça à Jason. Zut ! Comment va-t-il expliquer cela aux autres ?
Il ne voulait pas rempiler ni redevenir un Ranger, juste être un mentor. Désormais, lors des réunions, les vannes ne vont jamais mais jamais finir. Peut-être que se taire serait une bonne idée, finalement.
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Bon, peut-être que se jeter du haut de ce pont pour rattraper leur suspect qui avait sauté dans l'eau n'était pas une excellente idée. Surtout que le pont était à presque vingt mètres de hauteur à cet endroit. Néanmoins, ils avaient leur suspect -et probable meurtrier- et qui serait-il pour empêcher Danny de s'exprimer ?
Surtout quand il hurlait à propos du fait qu'il aurait pu se tuer ou pire !
***
Voeu : Du H50 ♥ Du Steve/Danny de préférence, mais du Steve/Danny/Chin, Lori/Chin/Kono, Lori/Max ou Chin/malia c'est tout aussi parfait <3
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Hunter grimace, il fait disparaître son armure et regarde le tech’ de leur groupe de combattants fulminer.
- J’suis vivant, non ? Et puis je suis un grand et fort guerrier invicible, après tout je suis un « Rouge », plaisante-t-il.
Le regard qu’il reçoit en retour pourrait geler l’enfer.
- Allez Cam, c’est pas très grave, on est bien non ?
- Ce N’est PAS très grave ?!!
Le vert l’attrape par la chemise et le ramène à hauteur d’œil.
- Et si tu mourrais ?! Et si…
Hunter décide qu’il est temps d’interrompre sa diatribe et l’embrasse.
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Surpris, Arthur ne réagit pas immédiatement aux lèvres douces de son voisin territorial.
Il finit par reprendre contenance pour le repousser de toute ses forces. Francis pivota sur lui-même avant de se rattraper in extremis à un siège.
"Tu t'imaginais quoi, enragea l'Anglais.
- J'essayais ma méthode favorite sur toi pour te faire taire."
Le Français se releva avec sensualité avec un petit clin d'oeil coquin en prime.
"Comme si tu m'attirais, stupid frog..."
Pour son malheur, Francis le prit comme un défi de taille.
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Il est temps de rentrer en scène. Il s'approche et tend un verre au brun en jetant un regard noir aux mouches masculines qui s'agglutinent autour de son compagnon. Et pour faire bonne mesure, l'attrape par le col et lui roule un patin dont le message est clair :
Chasse gardée les petits, retournez dans les jupes de votre mère.
***
Ce n'est pas un couple que j'envisagerai mais après tout, pourquoi pas ! ^^
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(Si je peux me permettre, si tu le repostes sur h50_france tu feras d'autres heureuses.)
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(On peut poster sans être membre de la com ou non ?)
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Sam renifle, se relève - son corps n'est que souffrance et blessures. Les autres apprentis rient de le voir chuter, se prendre les pieds dans ses vêtements sous l'oeil du maître d'armes. Ce n'est qu'enfermé dans la salle commune seul que Sam se laisse aller à pleurer. Sur la dureté de sa nouvelle vie, sur la cruauté de son père qui l'a menacé de le tuer s'il ne partait pas.
Une silhouette blanche le rejoint, s'assoit à ses côtés. Sam étouffe ses pleurs dans le pelage du loup.
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- Ogami, elle aurait pu faire pire, comfirma Toki. Depuis qu'on la connait, on a chaud sur chacune de nos missions.
- Soyons positif, Sakurakoji ne s'est pas proposée pour un échange d'otage, elle ne s'est pas approché de la bombe..."
Toki se racla de la gorge.
"Sakurakoji était à trois mètres et non collée dessus.
- Il y a du progrès, c'est dire...
- Elle a juste proposé une peluche rose à notre assassin en puissance.
- Peluche piégée, elle avait un plan pour une fois.
- Un ourson en peluche.
- Ce n'était quand même pas une raison pour mettre le feu à ce magasin de jouet."
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« Tu aurais pu te tuer ou pire!
- Je suis désolé, bredouille Shen, penaud et humilié, Ce n'était pas censé-
- Silence! Tu étais censé dormir dans ta chambre, pas courir la ville en pleine nuit au risque d'y mettre le feu! Réalises-tu seulement ce qui serait arrivé si l'incendie n'avait été maîtrisé rapidement? Shen! Regarde-moi quand je te parle. »
Le petit paon ose enfin relever la tête ; l'expression de son père est terriblement sévère - trop pour que l'enfant qu'il est puisse y lire toute l'inquiétude qui en est à l'origine.
Il déglutit. Se pourrait-il que son père l'aime moins après cette bêtise?
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