L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible
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- C'est trop moulant ! C'est pas un item d'assassin ça ! C'est plus pour les rôles de filles comme les élementaristes !
- J'ai entendu... siffla Gaea. (Non sans noter qu'une telle tenue pourrait jouer un bon rôle dans ses fanfics)
- Et je suis sûr que ça protège pas !
- Au moins ça te fait gagner +20 en furtivité.
- Mouais... Oh que. Non !
- Hein sors de ma cape !
- Y a Fantöm là-bas ! Il doit pas me voir dans cette tenue !
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Le sourcil interrogateur, il chercha à comprendre quelle pouvait bien être la cause de l'angoisse profonde de son meilleur ami et poupée préférée.
Oh. Oh… Potter était dans le coin et visiblement sa poupée refusait d'être vu habillé tout ce qu'il y avait de plus normalement par lui. Bon, peut-être que lui faire porter son essai de culotte féminine pouvait le rendre stressé, mais qui irait le dire à Potter ?
Vraiment… Qui irait lui dire qu'il portait une adorable petite culotte en soie rouge ?
***
Voeu : Du Harry Potter. De préférence du Harry/Draco ou Draco/Dean, mais n'importe quel pairing avec deux ou plus entre Harry, Draco, Blaise et Théo m'irait ^-^
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- Quarante-six, lance John automatiquement, depuis la cuisine.
- Vois pas de quoi tu parles. Referme ce congélateur, les oreilles vont dégeler.
- Désolé, je cuisine.
J'imagine que vous vous en moquez, c'est juste que Kate m'en a dit beaucoup de bien.
- Bon Dieu, réponds, ça se calmera peut-être un peu ! Ou change au moins le son de l'alerte !
Il soupire comme le téléphone de Sherlock gémit une troisième fois ; Sherlock l'ignore soigneusement, et s'empêche de sourire en lisant le message.
Comment va John ? Si vous voulez, il peut venir dîner aussi.
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Malgré lui, Percy est une fois de plus blessé par cette formulation qui n'est pourtant pas nouvelle. Ça fait deux ans maintenant qu'Augustus est son compagnon, mais sa mère ne les invite jamais en tant que couple. C'est toujours, 'viens nous voir', puis, comme dans un second temps, 'Augustus peut venir aussi'. Comme si l'homme qu'il aimait était quantité négligeable, pas encore un membre de la famille à part entière
Ce n'est peut-être qu'un détail, mais Percy attache trop d'importance aux mots pour pouvoir l'ignorer.
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« J’ai trouvé ! » annonce-t-elle victorieuse à Dent, pâle par anticipation. « Taille de grande perche, hanches improbables, manières aguicheuses qui me tapent incompréhensiblement sur les nerfs ; ajoute ta tendance révoltante à courir après un gamin aveugle et hormonalement sous-équipé ! »
(Satoshi remarque, perdu : ‘Uh ? Dent n’est pas en train de courir !’)
« T’es un prétendu spécialiste de tous les métiers du monde, tes accessoires de Machin-chose Sommelier dépassent mes affaires et celles de Satoshi réunies, tu vis dans des fonds roses psychédéliques : T’ES UNE POUPÉE BARBIE ! »
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- Une poupée Barbie bleue ? répète la vendeuse, incrédule. Monsieur, avez-vous vraiment idée de ce qu’est une poupée Barbie ?
Pol n’insiste pas. Il sent bien que sa requête dérange la demoiselle et qu’elle doit le prendre pour un détraqué.
- C’est pas grave, merci quand même.
Il n’espérait pas vraiment en trouver une toute faite en magasin de jouet, mais ça valait le coup d’essayer ?
Il passe donc au plan B : muni d’une poupée blondasse de base, migrer vers un magasin d’arts et travaux manuels et demander avec quoi exactement en repeindre le vinyle.
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