L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible
(
Read more... )
Ovide ne se fit pas prier et se laissa entraîner par Ziprian. Ce dernier se figea néanmoins à l’entrée du café.
- Oh mon dieu !, s’exclama-t-il, les mains sur les joues.
Le geek leva le nez de son téléphone portable, et pu alors détailler l’expression la plus niaise qui soit : celle d’un Ziprian amoureux en pâmoison devant le nouveau serveur écossais.
Porteur de kilt.
- Tu ne trouves pas ça super sexy, quand même ???, s’exclama Zip après avoir commandé son café latte et son muffin, le regard rivé sur son amour naissant.
Ovide soupira :
- Désolé, les mecs en jupe, c’est pas mon genre.
Reply
(The comment has been removed)
Reply
J'peux effacer mon commentaire pour pas déranger le cours du truc.
Reply
Reply
Reply
(je dis ça parce que du coup, mon propre drabble tombe à l'eau XD)
Reply
En fait, je suis le boulet ultime, oubliez-moi, faites comme si je n'étais jamais passée par là, je vous en supplie TTwTT.
Reply
Oui, le but de l'arbre est de reprendre la fin (dernière phrase ou mot) du drabble précédent, mais bon, une erreur, un oubli, n'importe quoi peut arriver et ma politique en général c'est de dire simplement "Fais juste plus attention la prochaine fois".
J'espère que malgré cet incident, tu seras quand même tentée de retenter l'expérience au prochaine arbre...? :/
Désolée encore de ne pas avoir fait une intervention rapide.
Reply
- C'est pas une jupe, c'est un kilt ! C'est pour fêter la Saint Patrick !
- En plus d'être con, t'es Irlandais. Bah mon vieux...
- Vous avez quoi contre les Irlandais ?
- Ils sont pauvres, provoquent une fumée nauséabonde avec leur tourbe, nuisent à l'économie européenne - et la mienne, par extension - ne savent pas produire de la vraie bière et... ils sont roux.
- Mais c'est du racisme !
- Je n'aime qu'un pays : le mien. L'Oktoberfest, ça c'est une vraie fête !
- Et avec ça, vous êtes alcoolo...
Reply
Hippolyte haussa un sourcil, puis leva les yeux vers l’importun. Il sursauta en reconnaissant Kévin; mais la colère prit le pas sur la surprise et il se redressa, le regard lançant des éclairs.
- Qu’est-ce que tu fous là, tas de merde ???
L’autre lui sourit.
- La zen-attitude, vous connaissez ? Ça vient des pays asiatiques. J’ai appris un tas de proverbes chinois : « Admire la lune, prend le chemin boueux ». Vous ne trouvez pas que ça rappelle un peu notre histoire ? Qu’est-ce que vous faites, c’est dégueu !
- Désolé, j’étais en train DE VOMIR DANS MA CORBEILLE A PAPIER !
Reply
Merci pour le fou rire du matin !
Reply
Les mots restent bloqués dans sa gorge, ses doigts finissent par se desserrer, sa tête par retomber contre le torse de David. Les bras de celui-ci se referment automatiquement sur lui. Doucement, l'américain dépose un baiser dans ses cheveux avant de murmurer, résigné, "Je sais."
Reply
Je sais ce qui s'est passé, moi. Je me rappelle. L'horreur. C'est mieux pour eux qu'ils ne sachent pas. Ça les protège, eux au moins n'ont pas peur. Mais il faut aussi que quelqu'un sache... l'étendue, pour les protéger... du reste.
Moi je sais.
Et moi je peux. Je suis assez fort pour faire face. Je peux tout organiser.
C'est pour ça peut-être que j'ai été choisi. C'est pour ça sûrement que j'ai été choisi.
Alors.
À moi de les aider à se rendre compte de qui d'autre sera choisi, qui sera sauvé. Il faut que je reste fort.
Reply
John a continué de sourire à un jeune soldat dont il tenait les entrailles à pleines mains, l'a calmé, l'a assuré que tout allait bien se passer, alors même qu'il était en train de mourir ; il a tué de sang foid ; il a enduré les humeurs erratiques de Sherlock et ses expériences et les doigts humains (!) rangés de manière totalement non-hygiénique à côté de ses yaourts.
Et à présent il console madame Hudson, la rassure à mi-voix et garde sa rage pour lui.
Il tressaille à peine quand Slerlock défenestre l'Américain, une première fois.
Puis une deuxième.
Puis une troisième...
Reply
Reply
Leave a comment