L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 janvier)Post-release 88, je suis passée aux pages de commentaires personnalisés, histoire de pouvoir conserver la ligne de sujet des commentaires. J'espère que les changements LJ ne rendront pas le sapin trop pénible
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- Senpai, tu veux de l'aide ?
Il n'avait pas eu le temps de répondre que Fuuka avait déjà ouvert la trousse à pharmacie, et bandait son bras. Bafouillant des remerciements, Akihiko laissa sa nouvelle infirmière le soigner. Il était confus de se montrer faible devant une femme.
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- Et voilà, tu couves à nouveau, soupira Jason en s’affalant à côté de lui.
Il lui jeta un regard de cocker.
- Oui, je sais, Kim est blessée mais ce n’est pas ta faute, ce sont les risques du « métier ».
Tommy laissa tomber sa tête contre la table de la cafétéria. Il n’y aurait jamais assez de milk-shake à la banane dans le monde pour lui faire oublier.
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Il faut qu’il leur dise, qu’il leur explique : que Ghetsis ne ment pas, en effet, mais qu’il omet ; que N n’est pas le monstre qu’il dépeint, que le silence de N ne prouve ni son éventuelle incompréhension, ni n’approuve le portrait.
Quelqu’un murmure ‘N…’ mais N n’arrive pas à l’atteindre : c’est lui qui disparaît.
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- Je suis confus de me montrer faible devant une femme de cette façon, Madame, s’excuse Spirou, fort mal à l’aise.
- Les frapper de toutes vos forces en plein figure, c’est cela que vous appelez vous montrer faible ? se moque Miss Flanner.
Spirou baisse les yeux :
- Mais oui. J’ai toujours pensé que je savais garder mon sang-froid. Et je l’ai bêtement perdu. C’est de la faiblesse de caractère inexcusable.
- Mais explicable. Vous étiez bouleversé par la perte de votre petit animal, et de votre vision machiste. Je comprends ça. Quel garçon sensible…
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Le jeune adolescent a la grâce de rougir, autant du compliment que d’être le destinataire du sourire étincelant et ravi de sa petite amie qui le présente à sa mère. Il est heureux d’avoir écouté la sienne et d’avoir acheté le bouquet. Il pousse un soupir de soulagement intérieur.
Il lui faut encore tenir tout le repas et être sur son meilleur comportement. Il se laisse guider jusqu’à la table de la salle à manger en écoutant les deux femmes s’extasier sur les fleurs.
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Sensiblement, Chef Loup s'est retrouvé à n'être plus qu'un bras-droit diligent. Il applique le plan de Shen et distribue des ordres précis à sa meute, mais c'est à l'écart qu'il recueille les directives du paon : ses loups le respectent trop pour supporter que leur maître le traite comme un domestique ; lui-même se demande parfois pourquoi il tolère cette attitude à son égard. Plus les années passent, moins leur amitié passée lui paraît une justification suffisante.
Pourtant, même dominés par son ton arrogant, les ordres de Shen sont la marque de sa confiance, Chef Loup en est persuadé : comment ferait son seigneur si lui n'était plus là?
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« C’est juste temporaire, Embuscade. Calme-toi.»
À cette simple injonction, le chien de garde sentit les battements de son cœur ralentir. Son maître trouvait toujours les mots qu’il fallait.
« J’ai vraiment besoin que tu ailles à la surface. Ce ne sera pas long.»
La voix si familière, les inflexions qu’il connaissait depuis toujours, ou presque.
Une main dans ses cheveux, un souffle sur son cou, une morsure - symbolique, puisque l’énergie que le seigneur Miroir voulait, il l’avait déjà prise. Le jeune homme le savait déjà à la torpeur languide qui venait de l’envahir.
Malgré cette sensation, la peur l’étreignait.
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(Cheren a encore des cicatrices de cet été.)
Bien sûr, une attaque impromptue de ces losers Plasma dégénère. Bien sûr, leur plan de libération consiste à asperger la ville de répulsif pour Pokémon. Bien sûr, Black décide de jouer au héros.
Cheren ignore comment acceptablement interpréter qu’un type de vingt-deux-ans-et-demi, sous prétexte que sa jupe est imbibée, lui saute dessus pour la lui arracher.
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