Arbre à drabbles (16 au 22 novembre)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 23 novembre)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
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Ses jérémiades font ricaner Jonathan plus fort.
- Tu l’as dis, et tu avais l’air très sérieux pourtant…
- Ce n’est pas vrai. D’ailleurs, Harrison Ford n’est pas du tout sexy dans Star Wars. Il est bien mieux dans Indiana Jones.
- Tu t’enfonces !, s’exclama le sorcier en pouffant.
Le blond détourna le regard, cherchant celui de Warren; ce dernier l’évita, bricolant un gadget quelconque.
- Moi au moins je n’ai pas un gros os magique, grogna l’invocateur de démons en plissant les yeux vers Jonathan.
- Hey !
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- T’es sur mon chemin, minus !
Andrew se recroquevilla légèrement et laissa passer le type baraqué qui venait de le bousculer. Il fixa son dos avec des envies de meurtre jusqu’à ce qu’il disparaisse au coin d’un couloir.
Une main se posa sur son épaule.
- Je t’ai fais attendre ?, demanda Warren, un sourire en coin sexy aux lèvres.
- Pas très longtemps, bafouilla le blond, les joues rouges, alors que cela faisait bien vingt minutes.
- Tu as dis que tu avais des places gratuites pour l’avant-première du dernier film de Jonathan ?, s’exclama avidement l’ingénieur en robotique, le regard brillant.
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Il n’avait rien à voir avec ces autres types qui font la une des magazines, mais qui n’ont rien dans le citron. Avec Jonathan, on pouvait parler de tout, et même de jedis ou de Spiderman ! Il était le type parfait, celui que Warren aurait voulu être.
Et il était tellement absorbé par ses rêveries qu’il ne remarquait même pas Andrew qui le fixait d’un air timide, sans oser lui demander d‘aller à la séance ensemble.
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Bien sûr, elle préférerait y aller avec Sirius Black, et il ne pouvait pas lui en vouloir. Ils étaient attendrissants tous les deux, mais Eric ne pouvait s’empêcher de penser à la jeune fille, et son visage se dessinait souvent dans sa tête, il aimait leurs conversations, détailler le contour de son profil, la couleur de ses cheveux, et quand elle le regardait il était heureux mais aussi avait peur et mal.
Alors il se décida à en parler à Sirius, sans grand espoir.
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Il se décide à en parler à Erik, sans grand espoir. Une étincelle subsiste tout de même en lui, fragile mais tenace : l’idée que son ami n’a pas totalement changé ; qu’il reste encore du bon en lui, qu’on peut encore ranimer ce souffle de bonté. Charles l’avait vu à Haïfa, et appris à le chérir, à l’entretenir, même.
Ils se rencontrent donc, à un lieu qui n’est pas qu’un symbole. Il renferme plus d’horreurs qu’on ne peut l’imaginer. Des atrocités qu’Erik a subies.
Et elles l’ont ravagé. Malgré son influence passée, Charles se retrouve face à une personne qu’il ne reconnaît pas.
Dans sa poitrine brisée, la flamme qui espérait vacille, puis s’éteint.
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Deux bras fermes l'enlacent bien avant qu'il ne touche le sol. Erik a attendu qu'il finisse. Il est toujours là pour le rattraper et lui rappeler qu'il ne devrait pas s'épuiser comme ça, qu'ils ne savent pas quels peuvent être les effets secondaires de ce qui n'est encore qu'un prototype.
Mais, pour le moment, il garde le silence.
Charles se raccroche à ses épaules et se presse contre lui, attendant la réprimande.
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« Tu es à moi. », murmura Lancelot Meredith, son regard bleu glacier posé sur son amant, le fixant avec une intensité frisant l’obsession.
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Quel âge pouvait-il bien avoir, maintenant ? La question franchit les lèvres de Miroir avant même qu’il ait pu réfléchir, et il s’en voulut aussitôt. C’était admettre que sa mémoire, prétendument infaillible, lui avait fait défaut ; que les générations de loups qui l’avaient servi se suivaient, interchangeables, et que le seigneur les confondait ; qu’il vieillissait, tout simplement.
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Non content de recréer l’apparence sublime de Riton, il l’avait enrichie d’une intelligence sans pareille : un quotient intellectuel qui ferait pâlir Einstein.
Ce n’était pas facile. Il avait dû se battre afin de créer Henry. Reprendre ses études, malgré son travail de serveur, avait été un combat de tous les jours, de tous les instants.
Mais qui en valait largement la peine. Surtout si cela lui permettait de ramener son aimé d’entre les morts, par le biais de cet androïde.
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« Hey, tu regardes quoi, dis ? » demande Kurt en se penchant par-dessus l’épaule de Kitty, concentrée sur une vidéo du Net. La jeune femme pivote, remet le clip au début, et ils le regardent ensemble. Au bout d’un certain temps, Nightcrawler se met à pouffer.
« Comment t’es tombée dessus ? T’as tapé ‘Gay Jews’ sur YouTube, ou quoi ? se moque-t-il gentiment.
-Ça te va bien de parler de Juifs gays, monsieur le Catho gay, le taquine-t-elle.
-Justement, ça fait partie de mes privilèges d’homosexuel - enfin, de bisexuel - de pouvoir me moquer, et je compte bien en profiter. Alors ?
-…Bon, si tu veux savoir, je cherchais des infos sur Hanukkah. »
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-Parfaitement, Hanukkah, confirme la jeune femme. C’est même la première vidéo que trouve le site.
-Je ne te crois pas… » nie Kurt - ce qui ne l’empêche pas de tout de même tenter l’expérience.
Amusé, il tape « Hanukkah » dans la barre de recherche… et en effet, Kitty a raison. De nouveau, Kurt sourit. Le clip des jeunes hommes en chemise blanche, à la voix semblable à celle de son homonyme dans Glee, arrive bel et bien en haut de page.
« Attends un peu que je montre ça à Hank, murmure-t-il, hilare. Et à Logan. »
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Wolverine ne réalise d’une paire de seconde plus tard, pendant lesquelles Kurt le fixe avec une attention presque douloureuse. Hank sourit légèrement, apparemment la situation l’amuse. Pas Wolverine qui pense que c’est une blague, que cela ne peut être que ça. Vu ce qu’il voit sur le visage de Nightcrawler, ce n’est pas le cas.
Et il se souvient, du fait qu’il ait toujours considérer Kurt comme un homme, la gêne avec son corps de femme, l’inducteur d’image, la demande de Kurt, le test, le plaisir et…
Logan regarde maintenant le ventre de Kurt.
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Logan doit donc s’habituer à cette nouvelle forme qu’a prise Nightcrawler malgré lui, ce qui ne l’enchante guère. Au début, le fantôme de Mystique danse encore dans sa mémoire troublée.
Néanmoins, il se rend rapidement compte que ce n’est qu’une apparence. Jamais le sourire de son ancienne maîtresse n’a été aussi chaleureux, aussi gentil. Et elle n’a pas cette joie de vivre inaltérable, cette tendresse, cette douceur.
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Lorsqu’il voit comment se comporte Logan, il n’y trouve rien à redire. Il ferait pareil. Il aurait dû faire pareil, se dit-il parfois. Lui aussi a un fils qu’il n’a pas vu grandir.
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