Arbre à drabbles (8 au 18 octobre)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 19 octobre)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 19 octobre)
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Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
Il y en a certainement d’autres, mais Red ne se souvient que de deux personnes dont il a tué l’ambition. C’était ce qu’il fallait faire (et la destitution de Giovanni a permis à Green d’obtenir quelque chose), mais parfois, Red se demande pourquoi. Peut-être qu’à Jadielle, Green s’endurcira comme de la pierre, lui aussi (il n’a jamais eu à se reconstruire, il ne sait pas ce qu’on peut ressentir).
Red n’a jamais voulu disparaître, mais il est si fatigué de détruire les rêves des autres…
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... Même si je me suis auto-pourri l'ambiance en rigolant au fait qu'après avoir dit C'est la dernière fois que je monte. Green est visiblement revenu encore au moins deux fois. (On s'en doute, mais bon xD)
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C’est comme une berceuse, un refrain tendre.
« Sammaël. Sammaël. »
L’ange le voit soudain, se reprend.
« Je l’aimais, tu sais, avoue-t-il, joues rosies. Lui aussi. Mais cela n’a pas suffi. Je n’ai pas su le retenir.»
Ainsi, il n’a pas été déchu que pour son désir de révolte. Il l’a aussi été pour cet amour impur.
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Touché, le coeur n'est rien d'autre qu'un danger.
C'est la première et la dernière chose que Hikari Rio a enseignée à son fils, son héritage au même titre que la malédiction, l'un et l'autre indissociable. Son coeur et ses émois sont ce qui réveillent le parasite qui vit en lui, ce à quoi il s'attaquera. Sans coeur, sans émotions, il ne peut être blessé.
Satoshi a consciencieusement appliqué cette leçon toute sa vie, jusqu'à ce qu'y déboule l'héritier Niwa, avec ses yeux brillants et ses sourires ; et il sait que désobéir à sa mère est idiot, mais c'est si agréable.
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Odin s’est rangé, pourtant. Il a épousé Freya, lui a fait des gosses, et siège sur Hlidskjálf, d’où il peut observer l’univers.
Il a tenté d’oublier leur vie chaotique d’aventures et de quêtes ensemble, leur passé de guerriers, mais ils sont toujours liés. Et c’est plus fort que lui : quand il voit le dieu du feu, rien ne peut l’empêcher d’aller à lui, de l’étreindre, de l’embrasser.
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Vnuchka Yaga ponctue sa phrase d'un rire flûté. Chat l'observe quelques instants depuis le dossier du fauteuil - d'ordinaire il préfère s'asseoir comme tout le monde, mais il s'est perché là pour ennuyer leur client, un cul-bénit donneur de leçons. L'entendre prêcher l'amour du Christ à une fille de l'hiver ! Il ne sait même pas ce que c'est, l'amour, ce vieux grincheux.
Chat passe sa langue sur ses lèvres et sourit. Se jouer de celui-ci sera un plaisir.
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Le jeune dieu du soleil est naïf, doux, fragile. Il ne se méfie de rien, pas même de son pire ennemi. Il devrait, pourtant, quand on pense à ce que la divinité du désert a en tête en le regardant de ses yeux verts et perçants.
L’impatience fait trembler ses mains munies de griffes de chacal. La nuit sera sans doute éprouvante pour Horus, mais elle s’avèrera délicieuse, pour lui.
C’est juste si difficile d’attendre…
Alors, la déité sombre se contente d’observer sa proie.
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des palais dans les étoiles où nichent des oiseaux de verre,
des champs de blé tissés en or qui se jettent dans une mer remplie d'émeraudes,
le calme.
Ses rêves sont faits avec les restants, tous les petits fragments qui n'ont pas leur place ailleurs :
les animaux comme des expériences ratées, trop de pattes, pas assez d'yeux,
les nuages gorgées d'orages, des tempêtes qui menacent, leurs éclairs comme des couteaux qui déchirent le ciel,
et l'impression murmurée qu'il ne sera jamais heureux.
--
Hello colorful fall, thank you for fucking up my mood~ =D
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Chaque match a été plus glacial que celui qui l’a précédé. Red devrait être soulagé, lorsque tout ceci se termine. Il est désormais le Maître, mais-
En face, les yeux de Green ne reflètent plus rien. Son rire est le seul à habiter la pièce, hystérique, nerveux, saccadé. Il ressemble trop à des sanglots pour être sincère. Red a cru un instant qu’il ne s’arrêterait jamais.
À nouveau le silence.
« Si tu n’existais pas, je serais heureux, maintenant » crache Green, chaque syllabe plus faible que l’autre.
Maintenant, c’est la même chose pour moi.
Mais ça, Red ne le dit pas.
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Kon hausse un sourcil, parce que -vraiment ?? Qui voudrait discuter de quoi que ce soit avec cet abruti ??
- C'est pas comme si on se parlait beaucoup de toute façon. Pour lui, je suis juste un boulet insupportable.
La claque qu'Isshin lui assène à l'arrière du crâne manque de le faire tomber de sa chaise. Kon le foudroierait des yeux s'il n'était pas autant intimidé.
Pourtant, quand il relève les yeux, le sourire d'Isshin est doux.
- Tu es comme le frère qu'on n'a jamais pu lui donner.
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Il l’avait entendu bien souvent cette phrase. Narcissa la répétait à envie et Lucius ne l’en empêchait pas. Draco agissait ainsi. Cela les avait plus enfermé qu’autre chose. Sait-on jamais comment deux frères du sang doivent agir, alors qu’on est fils unique ? Alors, ils avaient bricolé une relation, ensemble.
Draco lui faisait une confiance aveugle, le croyant sur paroles. Lui, il avait toujours soutenu le blond, l’avait aidé. Ils s’intoxiquaient mutuellement. Draco d’avoir l’impression d’avoir toujours besoin de lui. Théo d’avoir l’impression que son devoir était de l’aider systématiquement.
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Il est si fatigué de détruire les rêves des autres. Harry qui voulait juste pouvoir vivre avec lui. Théo qui souhaitait être en paix. Lucius et Narcissa qui voulaient un fils brillant, intelligent, bien loin de ce qu’il était. Astoria qui aspirait à une vie de couple et de famille normale. Verity Murray qui… Qui avait beaucoup d’avenir, d’aspirations. Une vie professionnelle remplie, une vie de famille avec des enfants autour d’elle. Il n’y aurait plus rien. Elle était morte.
La main crispée, ses deux anneaux nuptiaux serrés fort. Lentement, il laissa son esprit filer, succombant à la folie d’Azkaban.
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