L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 19 octobre)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme les autres, quoi
(
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Juugo soupira de lassitude devant le triste spectacle à ses côtés.
Comme d'habitude, leur chef Sasuke traçait seul à l'avant s'enfermant de plus en plus dans son mutisme au fur et à mesure qu'ils se rapprochaient de l'affrontement final avec son frère aîné.
Les deux autres idiots de l'équipe se chamaillaient depuis les aurores ne s'interrompant que juste le temps de boire à sa bouteille pour Suigestu ou que juste le temps de se manucurer les ongles pour Karin.
Il serait peut-être temps de piquer une petite crise !
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Il serait peut-être temps de piquer une petite crise, songe Lenalee.
Entre Lavi qui utilise son statut de Bookman comme prétexte pour repousser tous ceux qui désirent percer son masque d'indifférence ...
... Allen qui s'ostracise de ceux qu'il aime parce qu'il les aime et qu'on a déclaré qu'il représenterait soi-disant un danger ...
... et Kanda qui... est Kanda -- c'est-à-dire que comme d'habitude il refuse purement et simplement de laisser transparaître le moindre de ses sentiments alors que Lenalee sait qu'il y a quelque chose qui le bouffe de l'intérieur dernièrement...
Lenalee préconise un bon coup de pied dans leurs tronches à tous.
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Il avait sortit un nouveau roman deux semaines plus tôt et personne ne lui en avait parlé. Il était habillé à la dernière mode et personne ne lui avait fait remarquer.
Bref, il n'avait jusque là capté aucune attention.
Il jeta son verre au sol et poussa un long hurlement.
William compris ce que signifiait ce vacarme sans avoir à se retourner. Il passa une main lasse sur son visage et se demanda pourquoi il avait encore accepté que son frère l'accompagne.
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Une petite « crise politique » suite à une histoire digne des pires sitcoms américaines, de banales menaces « d'attentats menant à une troisième guerre mondiale » et... oh, comme c'est original, la quarante-deuxième « catastrophe écologique du siècle ! »
Plus désabusé que déçu, Han replia le journal et l'abandonna sur le coin de la table au profit du café que Marco venait de lui servir. La rentrée était d'une morosité affligeante et le ciel gris de Lyon fin septembre semblait vouloir lui donner raison.
Bah, se raisonna-t-il, il était pessimiste. Peut être que cette dernière année d'étude lui réserverait quand même une ou deux surprises.
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