L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 28 septembre)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme les autres, quoi
(
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Comments 217
Hakkyou ne manquait jamais une occasion de le battre.
Un jour, elle le rosserait si bien qu'il ne s'en relèverait pas, et alors père comprendrait qu'elle seule méritait son entraînement.
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Cylia est une fille sensée et connaît parfaitement les conséquences habituelles des accès de fureur de la Mystique de Mars, mais sa curiosité l'emporte toujours sur sa prudence.
- Aah ? Qu'est-ce qu'il a fait cette fois ? s'enquiert-elle donc, les yeux pétillants.
Lina inspire profondément.
- Tu sais que Pavel a cette récente passion pour le jardinage.
- Oui. Et les pouces verts, sans surprise.
- Ouais. Eh bien figure-toi que ses plantes carnivores poussent avec enthousiasme jusque dans ma chambre.
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« Oui. » Acquiesça benoîtement Blaise.
« Donc, si je résume bien ; te promenant tranquillement dans Poudlard, après couvre-feu, tu évites de justesse un mauvais sort et t’échappes, poursuivi dans l’obscurité. Tu trébuches contre le portrait de la préfète en chef, pendant qu’on lance la malédiction des Smurficouscous, monstrétouffeurs par câlins, alors tu supplies le tableau de t’accorder asile. Ensuite, tu arrives à rentrer en les repoussant à coups de pieds, tu finis tout nu, Dieu sait comment, pour atterrir dans mon lit, où tu te caches sous les couvertures, espérant y être en sécurité ! J’ai bien tout compris ? »
« Oui. » Affirme le Serpentard avec espoir.
« Tu me prends pour une cruche ou quoi ?!!!!! » Hurle la gryffondor.
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(Si seulement les souvenirs pouvaient se graver à jamais dans l'esprit. Comme elle serait heureuse !)
Hensen-san est la seule dont la mémoire ait échappé à sa pupille.
Sakujo n'a jamais vu la mémoire de Hensen-san, mais elle l'imagine comme un lac où les souvenirs miroitent comme les reflets des étoiles du ciel.
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Malgré tout, elle ne peut s'empêcher de visualiser du sang sur ses mains, se rappeler la sensation d'avoir un bras enfoncé au travers d'un corps ou de tenir un coeur battant dans sa main.
Elle a, après tout, toujours eu une imagination débordante.
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Il avait fallu que ce maudit prince détruise la raison fragile de la douce Ophélia. Il avait fallu qu'il l'abandonne après l'avoir séduite, il avait fallu qu'il tue leur père et qu'il cache sa dépouille mortelle de la plus cruelle manière.
Laërte considérait Hamlet comme entièrement coupable de chacun de ces horribles actes. Peu importe que sa folie soit réelle ou simulée : ce qu'il avait fait ne méritait pas d'excuse.
Pour le meurtre de Polonius, pour la folie d'Ophélia, il devrait payer de sa vie.
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Tu le comprendras bientôt.
Mais pour ce que tu as fait au clan ; le rouleau de la quatrième lignée arraché à son héritière, nos secrets répandus dans les archives de Ne, tes courbettes serviles devant ceux d'en bas et tes crachats sur les serments prêtés jadis, le prix sera plus élevé.
Le clan te survivra, Chihoko. Et c'est selon sa loi que nous vous exterminerons, toutes sans exception.
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- Nous fous exterminerons tous, zans exception, bande de pathétiques rebelles ! Kandieren, oufre le feu ! Schnell !
- Ouvrir le feu... Oui, tout de suite... répond paisiblement Candy en prenant tout son temps pour épauler son arme. Ca se tient dans quel sens déjà ? Hum... je crois que j'ai oublié de le charger... Ne vous agitez pas comme ça, mon général, vous êtes trop nerveux ! Ah, zut alors : on dirait que les rebelles sont partis...
- Tu l'as fait exprès, Kandieren ! vocifère l'adorable petit général albinos. Encore du zabotache, zale traître ! Quand te décideras-tu à obéir à mes ordre et abattre tes amis !
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- Abattre mes amis n’est pas un hobby, dit Amelia, ironique, en déambulant nonchalamment à travers le patio, mais il faut te rendre à l’évidence, bel ange…
Maximilian, assis face à Theodore, acquiesça avec conviction, appuyant les paroles de la jeune femme.
Celui-ci s’installa plus confortablement sur son siège, prêt à subir de plein fouet tous les arguments des deux comparses.
- La coupe, le style, la couleur, une horreur, cette couleur, la fourrure, complètement has been, sans parler de la barbe. Non, Theodore, mon ange, tu ne peux pas réellement fêter Noël, c’est définitivement démodé, même pour toi !
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Son frère. Elle lui a pris son frère.
Depuis combien de temps Kiyoko n'a-t-elle pas bougé ? La chaleur de son souffle a fait fondre le petit animal de neige qu'elle avait façonné.
Trois hommes en costume sombre s'approchent. Ca y est, ils l'ont retrouvée. Kiyoko s'y attendait. Lorsque deux des "gros bras" la soulèvent par les épaules, Kiyoko ne résiste pas. Ce qu'il reste de la sculpture de neige glisse de ses mains nues.
La Comtesse lui a pris son frère. Et Kiyoko s'est enfuie, lâchement.
Elle a failli à son devoir.
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Son devoir de frère d’arme.
Son devoir d’époux.
Son devoir de père.
Chaque jour qui passe, il ne peut s’empêcher demande silencieusement pardon.
Il l’entrevoit dans la délicatesse d’Eirlys, qui ressemble de plus en plus à sa mère, comme pour l’aider à ne pas oublier son visage.
Il l’aperçoit dans la gentillesse de Judicael, qui illumine les jours sombres du royaume.
Il le réclame par la main de Ianto, dans sa lutte pour vaincre la Bête.
Mais c’est en pêcheur, dans les bras d’Emmanuel, en pardonnant lui-même, qu’il se rapproche le plus de l’apaisement.
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"Ben là, capotez pas. Y'a ben pire que ça dans vie!", veut le réconforter Bob. "Comme... comme, euh-
- Déboucher les toilettes?", Bob secoue la tête, "Cirer les planchers?", Bob secoue la tête, "Frotter dans les 'tites craques du carrelage avec des Q-tips?", Bob secoue la tête, "Ben quoi d'abord!", s'énerve Brad.
Bob y pense.
"Ben... Chais pas. J'suis pas sûr que ça existe, de quoi de pire que travailler avec vous."
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Même si cela impliquait, à l’aube un jour d’hiver, de lui courir après dans la lande gelée pour mettre dans son paquetage pour la nuit une nouvelle paire de chaussettes.
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Edit: désolée pour le balise fail X__x
Son frère.
Ici, chez elle. En permanence.
Shikamiko se sent terriblement oppressée, tout à coup. Elle n'en laisse rien paraître - et remercie chaque seconde d'entraînement au contrôle de ses émotions.
Son père la dévisage, l'air vaguement soucieux, et c'est atroce, de ne le sentir s'intéresser à elle qu'à cause de l'autre ; puis il se détourne, la congédie d'un geste même pas ennuyé, non, juste distrait. L'existence de sa fille a de nouveau perdu tout intérêt à ses yeux.
Shikamiko s'incline et s'éloigne, en réprimant son envie de hurler.
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"Sherlock !
- ...Hm ?", émerge l'interpellé. "Vous êtes là ?
- J'habite toujours ici, je crois. Vous avez fait quoi ?", demande John, navré du ménage qui s'impose.
"J'ai résolu une affaire !", s'enthousiasme Sherlock. "Une histoire de-
- Oui, bravo. ...Et vous avez fait comment pour mettre l'appartement dans cet état en une soirée ?"
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...damnit, maintenant je veux les voir rencontrer leur nation-tans respectifs. @__@
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