L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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“Un arrangement pour que vous cessiez de... de ranger mes affaires !”, pesta Sherlock, remettant le chaos dans ses piles. “Si vous acceptez de laisser les choses en l’état le temps que je termine cette enquête, je me chargerai d’acheter ce lait pour lequel vous râlez tant.
- En résumé, j’accepte de vivre dans ce bordel en échange d’une pinte de lait, c’est bien ça ?
- Exactement.”
John sourit.
“Je sais que vous êtes convaincu que je suis stupide, mais je sais reconnaître une arnaque. Le lait, c’est vous qui râlez pour.”
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- Sherlock...
- Alors ne venez pas me dire que vous êtes contre les moyens que j'emploie pour faire mon travail, John. Chacun ses méthodes.
- Vous n'avez pas besoin de « travailler » à trois heures du matin. Cette affaire n'est pas urgente.
- Et qu'est-ce que vous en savez ? C'est dans votre blog ?
- … posez ce violon, et on en discutera. »
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- Quand ? Où ? Via les commentaires des billets de votre blog, peut-être ? Dans ces insipides notes où vous me faites le héros de ces... aventures que vous racontez ?”
John retint un soupir.
“Déjà, on en discutera quand j’aurai posé ça.”
Il désigna ses paquets et continua jusqu’à la cuisine, peu curieux de découvrir si une nouvelle expérience occupait le réfrigérateur. L’épicerie rangée, il se laissa tomber dans un des fauteuils.
“Alors ?
- Alors quoi ?”, s’étonna Sherlock.
“Vous ne vouliez pas--
- Cette vieille affaire...? Je voulais en discuter avec vous, mais je l’ai résolue en vous attendant.”
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(Sarah, le petit-déjeuner, ce qu’il y aurait dans sa cuisine, du lait, comme celui qui manquait au 221B, Sherlock se laisserait-t-il assoiffer, et si John ramenait des bouteilles en revenant, devinerait-il où il avait passé la nuit grâce à un accroc sur l’emballage ? Canapé, avait-il bougé du canapé depuis hier soir, allait-il réellement mal, il ne tenterait rien de dange-)
L’écran du téléviseur choisit ce moment pour diffuser des images de sa rue, dévastée.
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Dévasté, il considère la distance qui le sépare de son mobile. Il ne sait même plus pourquoi l’odieux appareil est si loin - un impardonnable abandon ou ah, oui, il était assis là-bas il y a dix minutes.
Sherlock se retourne et étire le bras, étire le bras un peu plus, mais le damné mobile reste inaccessible à l’autre bout de la table à café ! Il soupire et se recouche sur le dos, fixe le plafond.
“Je sais”, annonce-t-il à personne en particulier. “Je vais texter John pour qu’il-- Oh”, réalise-t-il et il jette un regard ennuyé vers son mobile.
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- Vous pourriez aller faire les courses avec moi et étudier des passants, me dire des choses sur leur vie. Si ça vous amuse.
Sherlock lui tourne le dos en guise de réponse.
- Vous trouvez amusant de noter qu’il y a des brins d’herbe sur une pelouse ? Tout est là, et votre incapable tête d’imbécile ne se donne même pas la peine d’enregistrer l’évidence. J’ai besoin de travail.
Et c’est précisément ce que John a besoin d’oublier.
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“...Ma présence n’est pas la bienvenue ?
- Bien sûr qu’elle l’est !”, rétorque John, sarcastique, et il échange un regard désespéré avec Sarah. “Nous ne sommes absolument pas en plein dîner romantique !
- Où est le problème, alors ?
- J’avais réservé pour deux”, mentionne John.
“Bah ! Ça n’a pas été compliqué de faire ajouter une place !”
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-Ne me dis pas que tu vas encore discuter ? On était d’accord pour partir tous ensemble !"
Damian grimace. Tim hausse les épaules. Etre d’accord est sans doute vite dit, Dick le reconnaît. Mais Bruce leur propose de découvrir l’Europe en famille, on ne refuse pas ! Voilà l’argument qu’il compte exposer ! Avant d’être coupé dans son élan.
"On n’a sérieusement pas besoin de quatre chambres. Comme si tu dormais dans la tienne."
Humour dans la voix sérieuse de Tim. Reniflement méprisant de Damian. Dick a la bonne idée de ne rien nier.
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Techie avait probablement de quoi tenir bien plus longtemps qu’elle à ce petit jeu ; Rebecca savait qu’elle devait changer de tactique.
Drake ne laisserait pas Techie la blesser grièvement, mais Rebecca voulait que ça reste un duel loyal. Elle devait gagner, et cela nécessitait d’attaquer.
- Bon… A mon tour, fit-elle en faisant disparaître un énième sortilège.
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- Pourquoi voues-tu une telle haine aux rétines de tes contemporains ? demanda Martin en guise de salut.
- De quoi parles-tu, mon ami ? répondit Elton sans lever les yeux de son carnet de note.
- Je parle de cette chemise que tu portes... en satin... rouge... aux motifs orientaux... jaunes...
- Tu n'as aucun sens artistique, se contenta de répliquer l'écrivain.
- Par simple curiosité, je me demande parfois où tu peux dégotter ta garde-robe si... "artistique". Brocante, peut-être ?
- En ce qui concerne cette chemise, je l'ai faite faire sur mesure...Hors de prix...
- C'est encore pire que ce que je pensais...
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- C’est plus drôle s’il participe au ménage, non ?
Drake soupira. Il commençait à avoir la migraine, à force d’entendre “les deux Rebecca” (comme il s’était mis à les appeler) se chamailler à longueur de temps. Et puis, s’il ne pouvait nier que les corps des deux jumelles portaient plutôt bien le costume de soubrette, il avait du mal à accepter d’avoir désormais un corps au moins aussi féminin pour le porter lui aussi.
Il décida de ravaler sa fierté pour l’instant et ajusta ses jupons.
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- Le lait, c'est toi qu'a râlé pour dans l'épicerie, alors viens pas me dire que je me suis conduit comme une gamine juste parce que j'ai un peu insisté pour prendre ce robot...
- Mais Mathilda, tu voulais prendre du lait "Saveur fraise" : c'est pas vraiment comme du vrai lait... Le vrai lait, y a que ça qui est bon.
- Qu'est ce que t'en sais ? T'as jamais goûté... répliqua la gamine en extrayant le jouet de son emballage en plastique. Ca ce trouve t'aurais aimé... Faudrais que tu te forces un peu à découvrir de nouvelles choses... Que tu grandisses, quoi !
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