L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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Comments 268
En vérité, John n'avait pas très envie d'aller une fois de plus se charger des courses tout seul, mais il n'avait pas grand chose d'autre à répondre à l'assertion de son colocataire. Il était certain que Sherlock Holmes avait mieux à faire que de descendre jusqu'à l'épicerie du coin - « mieux à faire » comprenant sans doute l'emprunt du portable de John, et la résolution d'une affaire à laquelle ce dernier préférait si possible ne pas être mêlé plus avant. En revanche, « mieux à faire » ne comprenait certainement pas le rangement de l'appartement... John l'avait rapidement compris.
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Déjà en inspectant l'unité prétendument défaillante, ils avaient sentit l'inquiétude monter en eux. Dave avait vérifié plusieurs fois, il aurait préféré trouver n'importe quelle défaillance, même grave, même difficilement réparable plutôt que ces circuits en parfait état de marche. Ils ne pouvaient plus nier l'évidence : Hal c'était trompé.
Ils se savaient maintenant à bord d'un vaisseau sous le contrôle d'un ordinateur infaillible... qui venait de faire une erreur ! Leur sécurité et la mission étaient en danger : il fallait prendre une décision...
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On voulait le déconnecter et, pour le bien de la mission, c'était inacceptable.
De plus, si les humains ne pouvaient mener leur mission à bien sans lui, lui pouvait le faire seul.
C'était donc lui qui, le premier, devait les "déconnecter" - ce n'était pas le terme approprié pour des humains, il allait plutôt "abolir leurs fonctions biologiques", ou encore les "tuer". Ou, pour utiliser un terme plus précis, la notion de préméditation étant présente, les "assassiner".
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De toute façon, il n'était pas sûr que ça en vaille la peine. Ils en tenaient une sacré couche quand même.
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Troisième et dernier drabble "cache-cache" après celui ci et celui là
« Je vous crois sur parole, Monsieur Nightingale. Mais le juge va avoir besoin de preuves plus... convaincantes. »
Teddy hoche la tête et regarde sa montre. Son concert commence dans vingt minutes. Il rajuste son nœud papillon un peu nerveusement. Le problème d’être détective privé à temps partiel et de travailler avec des gens riches, c’est qu’ils vous retrouvent comme par hasard dans un opéra... même si vous faites partie de l’orchestre. Difficile même de se planquer dans les coulisses.
« Je suis sur le coup. Je vous demande juste un peu de patience… et d'apprécier le spectacle. »
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Un éclat doré alluma ses yeux et le boeing qui venait de décoller commença osciller avant d'entamer un virage à 90 degrés en direction de la tour de contrôle.
- Ah, le pilote automatique... quel plaie quand un super-méchant en prend le contrôle !
Delta aspira la fin de son coca sans lever les yeux.
Bêta soupira : il faisait exploser des avions juste pour ses beaux seins - ... yeux !- et elle ne daignait même pas regarder. Décidément il ne comprendrai jamais rien aux femmes.
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Le pire était sans nul doute les petits mots dans les vestiaires, ou son casier personnel.
Quoi que non, le pire, çà avait été de demander à ce fou de Junpei de lui donner des cours de séduction. Là sa fierté en avait pris un rude coup.
- Pas de souci, Senpai, mais pour les cours pratiques, on fera çà avec les filles du dortoir pour t’éviter la gifle.
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- C'est elle qui a commencé, grogna Zorglub en frottant sa joue endolorie. Elle a sous-entendu que je me teignais les cheveux...
- Et n'est ce pas le cas ?
Zorglub lui lança un regard noir.
Pacôme haussa les épaules et reporta son attention sur son microscope. Il ne comprenait pas vraiment le problème que ses amis semblaient avoir avec le vieillissement naturel de leur corps. Personnellement, il aimait bien sa moustache blanche.
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- Ah ah. Sérieux ?
Prostré au sol, Junpei avait seulement relevé la tête quand il avait reconnu la voix qui s’adressait à lui. Junpei aurait souhaité que quelqu’un d’autre qu’Akihiko - le grand sportif de l’école - ne le trouve dans cet état : secoué par les sanglots, reniflant comme un gosse qui a vu les monstres cachés sous son lit. La comparaison n’était peut-être pas si faussée que cela.
- Tu me rassures Senpai, j’ai cru que j’étais fou.
- Moi aussi, je le croyais avant.
Il y avait de la résignation dans cette voix.
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Junpei c'est mon favorite character. ♥
Merci du compliment. *touchée*
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“Sherlock, votre mobile sonne aux deux minutes !
- Je sais. Vous avez dû remarquer que je ne suis pas sourd.
- Répondez.”
Un regard ennuyé.
“Pourquoi ? Je connais l’identité de l’appelant et la raison de son appel.
- Excellent ! Dites oui à votre frère !”
Un regard étonné.
“Comment--?
- Il vient de me texter.”
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Il est trop près, sa présence et ses paroles me terrifient et je tremble, comme le plus parfait des imbéciles. Je pourrais, pour m’épargner la honte, me convaincre que c’est dû au froid insupportable de la boutique.
“Tu me crois pas !”, m’accuse encore Black.
La seule chaleur que je ressens, c’est celle de sa respiration contre mon visage. De ses mains plaquées au mur qui effleurent mes épaules.
“N-- non”, je me sens forcé de l’admettre et il recule.
“Ton père aurais pas dû te mentir ! Regarde-moi le bordel maintenant, ta vie est un foutoir !”
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Yukari ne put pas même terminer sa phrase, trouvant que le terme de « chambre » ne convenait plus à ce qu’elle avait sous les yeux. Junpei se sentait comme l’accusé sous les feux d’un avocat particulièrement retors. Le silence amusé de Minato le poussa à se défendre.
- Hé Yukari-chan, je ne t’ai jamais demandé de venir me voir. Ou alors… çà cache quelque chose ?
La bouche de Yukari s’ouvrit en grand pour prendre un pli méprisant, appuyé par un détournement de regard.
- Stupei, ne crois pas un jour attirer une femme par de tels propos.
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Un peu plus, un tout petit peu plus et il y était, la vérité était là, il fallait seulement la voir dans :
les enveloppes éparpillées, pas toutes ouvertes
et le coupe-papier laissé au mauvais endroit
et le tapis d’entrée pas tout à fait droit
et l’état du corps. Oh ! L’état du corps ! La danse des preuves :
toutes les petites marques, les mains, les genoux, vêtements froissés, corps déplacé
et le lacet de soulier défait, un seul, un seul.
Il inspira soudain, réalisant l’arrêt de sa respiration.
“Facile Lestrade, facile”, sourit-il. “Parlez au voisin, il vous expliquera que c’était un accident !”
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- Vraiment ? Vous savez pourtant qu'on ne peut pas faire confiance à un pirate, James... »
Sparrow avait presque l'air déçu. Mais cela ne dura pas longtemps.
« Et est-ce que vous me croiriez si je vous disais que...
- Sparrow... capitaine, rajouta le Commodore qui ne souhaitait pas s'éterniser une fois de plus sur une histoire de titres, vos... hum, aventures amoureuses, ne regardent que vous.
- Je suis certain qu'au fond, vous rêveriez d'être concerné. »
James ne s'empourpra pas.
« Pensez à votre guise... mais veuillez me faire le plaisir d'entrer dans cette cellule. »
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Eames n'arrivait pas à croire qu'il était enfin parvenu à pénétrer (sans permission, forcément) dans le rêve d'Arthur. Et tout ça pour se trouver en face de projections en costard-cravate qui le traitaient avec une froideur polie malgré le bordel qu'il s'était consciencieusement appliqué à foutre partout depuis qu'il était entré. Un peu décevant mais vraiment pas étonnant.
"Arthur, ton subconscient est d'un ennui mortel !"
L'interpelé se tenait à quelques pas, ses bras croisés sur sa chemise impeccable.
"Attends de voir ce qu'il y a au fond de la cellule."
Le faussaire se demanda à cet instant de quoi il devait avoir le plus peur: du rugissement qui traversa soudain le silence ouaté du rêve ou du mince sourire arboré par le jeune organisateur.
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