Arbre à drabbles (6 au 16 août)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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Il est trop près, sa présence et ses paroles me terrifient et je tremble, comme le plus parfait des imbéciles. Je pourrais, pour m’épargner la honte, me convaincre que c’est dû au froid insupportable de la boutique.
“Tu me crois pas !”, m’accuse encore Black.
La seule chaleur que je ressens, c’est celle de sa respiration contre mon visage. De ses mains plaquées au mur qui effleurent mes épaules.
“N-- non”, je me sens forcé de l’admettre et il recule.
“Ton père aurais pas dû te mentir ! Regarde-moi le bordel maintenant, ta vie est un foutoir !”
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Yukari ne put pas même terminer sa phrase, trouvant que le terme de « chambre » ne convenait plus à ce qu’elle avait sous les yeux. Junpei se sentait comme l’accusé sous les feux d’un avocat particulièrement retors. Le silence amusé de Minato le poussa à se défendre.
- Hé Yukari-chan, je ne t’ai jamais demandé de venir me voir. Ou alors… çà cache quelque chose ?
La bouche de Yukari s’ouvrit en grand pour prendre un pli méprisant, appuyé par un détournement de regard.
- Stupei, ne crois pas un jour attirer une femme par de tels propos.
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Un peu plus, un tout petit peu plus et il y était, la vérité était là, il fallait seulement la voir dans :
les enveloppes éparpillées, pas toutes ouvertes
et le coupe-papier laissé au mauvais endroit
et le tapis d’entrée pas tout à fait droit
et l’état du corps. Oh ! L’état du corps ! La danse des preuves :
toutes les petites marques, les mains, les genoux, vêtements froissés, corps déplacé
et le lacet de soulier défait, un seul, un seul.
Il inspira soudain, réalisant l’arrêt de sa respiration.
“Facile Lestrade, facile”, sourit-il. “Parlez au voisin, il vous expliquera que c’était un accident !”
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Parce qu'un timing pareil ne peut pas être attribué à la loi de Murphy, parce que ça ne peut pas être une coïncidence qu'une voiture ait fauché Shiki quelques heures seulement après qu'Eri lui ait dit toutes ces horreurs -
parce que Shiki a toujours été influençable et fragile -
si fragile, ses os fracassés, ses lunettes volées en éclats.
Eri prie, prie pour que ça ait vraiment été un accident, parce qu'elle se sait coupable.
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Leonard hésite, mais ignorer Sheldon implique le double désavantage de 1) ne pas pouvoir écouter Firefly en paix et 2) l’entendre répéter Coupable ! toute la soirée.
“Sheldon, on s’était mis d’accord pour réécouter la série aujourd’hui ! Je suis coupable de quoi cette fois !?
- Tu passes les épisodes en désordre ! Tu es coupable de notre déchéance ! Que les foudres de Joss Whedon s’abattent sur toi !
- On avait prévu suivre l’ordre chronologique... Non ?
- Leonard ! C’est notre soirée anti-Fox ! Nous devons suivre l’ordre de diffusion et ne pas regarder les épisodes 11 à 13 !”
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Elton se laissa aller contre le dossier de sa chaise et tira longuement sur sa cigarette avant de répondre, l'air grave:
- C'était un froid matin de printemps...
- ... notre héros décida d'escalader une clôture en fer forgé et s'y ouvrit la cuisse. Fin.
- Martin, grogna Elton à l'adresse de son ami qui s'asseyait à coté de lui en riant. Tu n'as pas de talent pour raconter les histoires, laisse faire les professionnels !
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Cette lettre, rédigée à l’encre bleue sur un carton blanc à bordures dorées, était de la main de Zerua.
Il s’agissait d’une invitation adressée à un certain nombre de personnes (elle avait vu Selesca mettre la sienne de côté), à passer un mois dans une zone neutre. Les différends de chacun seraient temporairement oubliés. En d’autres termes, une invitation à un mois de vacances.
Techie songea qu’elle y reverrait probablement Drake, et se remémora en souriant les semaines qu’ils avaient passé ensemble.
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- Il est mort depuis que l’équipe de fous-furieux l’a transformé en steack tartare.
- Je... le jure sur... sur... vos cheveux.
- çà non, je vous l’interdis ! C’est à se demander pourquoi vous êtes encore dans l’entreprise !
- Pour une fois que les syndicats sont utiles...
- Ne me parlez pas de cette invention de prolétaires ! çà me file de l’urticaire...
- Ah, vraiment ? Et si je parles de congés payés, d’allocations, de...
- Retournez faire votre café !
- Avec plaisir.
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Un peu plus rugueux sur l'une de ses faces.
Son centre de gravité : ici, exactement.
Cette petite éraflure.
Ce léger défaut de fabrication, juste là.
Elle ne se voit pas à l'oeil nu, cette petite aspérité qu'on sent quand on y passe le doigt...
Quand je le pose debout au centre de ma paume il tombe vers mes doigts, toujours dans la même direction, je le rattrape avec le majeur et l'annuaire, toujours de la même manière.
Ils tiennent dans notre poche, au creux de notre main, et ils sont notre ancre, la boussole qui nous rappelle où nous sommes.
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Scooby Doo hocha vigoureusement la tête, sa langue pendue d’une bonne longueur hors de sa gueule.
“Bon alors, on a qu’à attendre tranquilles ici que ça passe et-- Scoob ? Ça va ?”
Shaggy se pencha vers lui, mais le chien leva une patte, pointant derrière lui.
“Oh non, ne me dis pas que--”
Il ne se retourna pas, pas avant que le monstre lui tapote l’épaule pour attirer son attention. Shaggy le dévisagea ; le monstre grogna.
“Gyaaaaaah !”, et la course reprit.
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- Ne crois pas un jour attirer une femme par de tels propos, ni un homme, ni quoi que ce soit d'autre, s'amusa Elton en se dégageant de l'étreinte de son ami.
- Ne fais pas ta mijaurée, grogna Martin en le rattrapant par la taille. Cela va faire un an que je n'ai pas fait l'amour...
- Et sous prétexte que nous avons partagé une jeunesse de débauche tu t'imagines que tu n'as plus à me séduire ? Hélas, on dirait que toute notion de romantisme a définitivement disparu de notre... "amour"... Voyons au moins si tu te rattrapes sur la partie pratique...
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-Tu penses vraiment que les femmes ne s'intéressent pas à l'informatique ?
-Évidemment.
-Pourtant ça plait à ma petite amie.
-Ta petite amie ? Laisse moi deviner : tu l'as rencontrée en jouant à un RPG ? C'est surement un mec qui se fout de toi, jamais... »
Dinozzo béa en apercevant la photo que McGee avait brandit sous son nez.
« Ouvre les yeux Tony, maintenant ce sont les geeks qui ont la côte. »
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- Dégage.
- Mais si c'est toi qui me le demande je suis prêt à aller jusqu'à porter une banane Lacoste en bandoulière !
- Lâche moi.
- Et je veux que tu saches que c'est pas seulement tes seins que j'aime, c'est surtout... heu... ta personnalité. Et le fait que tu sois une fille.
- Va te falloir combien de râteaux pour comprendre ? finit par hurler Delta en lançant une boule de plasma sur son coéquipier.
- D'accord : tu veux y réfléchir...
Encore quelques uns, manifestement.
Aaah, l'amour...
Hum, oui, je sais que c'est Howard qui dit "Smart is the new sexy" et qu'Howard est ingénieur et non pas physicien mais... personne d'autre n'avait remarqué ?
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