Arbre à drabbles (6 au 16 août)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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La voix faible, la vision encore trouble. La douleur sourde dans toute la partie droite de du visage. Et la main de Draye sur son bras, depuis des heures et des heures.
"J'ai dormi combien de temps, en tout ?
- Deux jours.
- Et tu es resté deux jours à côté de moi, juste à te lamenter ? Et les autres, combien de blessés ? Et de morts ?"
Ça ne lui ressemble pas. Surtout cette expression hagarde, de celui qui ne sait pas quoi répondre. De celui qui a passé deux jours à culpabiliser.
"Draye ... Merci."
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- Merci, grogna Spooner avant d'attaquer la tarte à la patate que Gigi venait de lui servir.
- Cette histoire te tracasse encore ?
- Sonny est un robot !
- Et alors ? Les NS-5 sont plutôt beaux garçons...
- Beaux ga... Ils sont en métal et en plastique ! A part leur visage ils n'ont même pas l'air humain !
- Cette fille te plaisait tant que ça ?
- Non, c'est une amie, et si elle me plaisait un peu je me voyais pas vivre avec elle, mais... comment elle peut vivre en couple avec un robot ?
- Ils font le ménage et ne se plaignent pas tout le temps !
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“Ah, ça me fait plaisir !”, s’enthousiasma Sparadrap. “...C’est quoi une instance, déjà ?
- Rhâ !
- Non mais, c’est pas grave”, tempéra Artheon. “On reviendra demain pour la faire, c’est tout.
- On peut s’en passer”, soupira Gaea. “De tout façon, le loot est pas extra.
- Quoi !?”, grinça Zell. “Tu vas nous dire que tu as--
- Oui, je l’ai passée, avec Golgotha. Et je vous dis, le loot, ça vaut pas la peine.
- Il consiste en quoi ?”, demanda Artheon.
“Rien de génial, de l’équipement d’assassin.
- RHÂ !”
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albums : "Moi, Jolan" et "Le bouclier de Thor" ; PoV Jolan
Draye, merci de m’avoir fait immédiatement confiance. Même s’il est évident que je voulais triompher - qui ne le souhaiterait pas ? - je n’ai pas cherché à vous dominer. Mais toi, tout de suite, tu as reconnu ma victoire. Contrairement aux autres, tu n’as pas protesté et tu m’as de toi-même prêté allégeance - moi qui n’en demandais sûrement pas tant ! J’étais tellement… surpris. L’attitude des autres, regimbant, me semblait plus logique.
Je l’ai su, pourtant, dès que je t’ai rencontré, que tu étais différent de tous les autres garçons de notre âge. Sans doute, nous sommes faits pour nous entendre.
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(Je les shippe par principe depuis leur première rencontre, et bien sûr ça s'est accentué avec le tome suivant... vivement cet hiver et le prochain album, qu'on sache ce qui pourra leur arriver ! &hearts)
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- Nous sommes faits pour nous entendre, j'en suis convaincu, affirme le lion brun d'un ton bien calme pour quelqu'un qui est en train de se faire acculer par une douzaine de hyènes.
- On s'entend pas avec les lions, aboie l'une d'elles. Ils sont pas bienvenu ici...
- Je ne suis pas comme les autres lions, laissez moi l'occasion de vous en convaincre...
De derrière un monticule de pierres, il tire la carcasse d'une jeune antilope et leur présente.
- Pour vous.
Les hyènes semblent hésiter un instant puis se jettent sur la viande.
- J'aimerais que ce cadeau scelle le début d'une amitié...
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Rebecca sortit du bureau de la directrice avant qu’elle ait le temps de changer d’avis (ou de se rendre compte qu’elle ne parlait pas à la Rebecca qu’elle avait prise sous son aile mais à une de ses Versions).
“Becky” l’attendait au détour d’un couloir, toujours dans sa tenue de soubrette (Rebecca lui avait piqué ses vêtements et prêté les siens pour que leur échange passe inaperçu aussi longtemps que possible). Elle semblait moyennement à l’aise.
- Alors ? demanda-t-elle, ses mains posées sur sa poitrine.
- Elle a accepté ! J moins quarante !
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