L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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Désincruster les bouts d’œil du four à micro-ondes avait été... déplaisant décrivait mal l’expérience.
“Intéressant”, avait préféré dire Sherlock pour résumer la soirée.
“Plutôt pour l’odeur infecte ou pour l’étonnante découverte que ça prend plus de trois heures à nettoyer ?”, avait répliqué John, jetant les gants de plastique et la brosse.
“Intéressant parce que cette fois, je n’ai même pas eu besoin de tenter de me soustraire à la tâche. Vous vous en êtes chargé sans discuter.”
John le considéra en plissant des yeux, se demandant soudain si c’était les yeux ou lui qui avait été le sujet de l’expérience.
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Cobb savait bien choisir ses hommes : l’organisateur, perfectionniste et professionnel à l’extrême, l’architecte, innocente et déterminée, le faussaire, suave et dangereux et le chimiste, humain et rêveur éveillé. Quand à l'extracteur lui-même, il était comme un train que l'on arrête pas.
C'est pourquoi il était amusant de voir ces professionnels se taquiner, comme des adolescents. Surtout quand ils semblaient tant s'amuser à tester la décharge sur Arthur, qui n'en finissait plus de tomber.
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- J'imagine que Mrs. Hudson va augmenter le loyer, en effet.
- Si elle ne nous chasse pas carrément !
- Allons, John... certes, j'admets que l'importance de cette découverte passera probablement au-dessus de l'esprit commun de notre logeuse...
- Vous avez inondé la cuisine ET incendié le salon, Sherlock. Son « esprit commun », selon vos mots, ne verra probablement pas plus loin.
- … mais je demeure certain que nous trouverons un arrangement. »
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- J’vais te couper les mains, Carnahan ! Ça t’apprendras à garder tes doigts pour toi !
- Oh, c’est grossier ! Sachez que je sais garder mes doigts pour moi sur simple demande !”, Jonathan lança un énième regard vers la porte.
“Tu fixes la porte pourquoi ? T’attends ton chevalier servant ?”, la remarque fut saluée par le rire gras des sbires et Jonathan se renfrogna.
“J’admets que cette fois, mes sauveurs ont du retard, mais ce n’est peut-être que pour l’effet dramatique !”
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Sinon il est vraiment pas top, mais c'est pour avoir un nombre rond.
« Que pour l'effet dramatique, tu dis ?
- Fais-moi confiance Miquel, ça va marcher.
- Il vaudrait mieux pour nous ! Si jamais Francisco se fait vraiment mal, dans l'affaire ? Tu lui as au moins parlé de ton plan, Julian ? »
Les deux garçons étaient assis dans un coin reculé du parc de l'école, Carax avait sur les genoux un cahier ouvert à une page recouverte de graffitis.
« Écoute Miquel, c'est lui qui l'a voulu : il n'arrêtait pas de dire qu'il voulait se trouver une fille. Rien de mieux que de faire croire qu'il se blesse ... »
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“Un arrangement pour que vous cessiez de... de ranger mes affaires !”, pesta Sherlock, remettant le chaos dans ses piles. “Si vous acceptez de laisser les choses en l’état le temps que je termine cette enquête, je me chargerai d’acheter ce lait pour lequel vous râlez tant.
- En résumé, j’accepte de vivre dans ce bordel en échange d’une pinte de lait, c’est bien ça ?
- Exactement.”
John sourit.
“Je sais que vous êtes convaincu que je suis stupide, mais je sais reconnaître une arnaque. Le lait, c’est vous qui râlez pour.”
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- Sherlock...
- Alors ne venez pas me dire que vous êtes contre les moyens que j'emploie pour faire mon travail, John. Chacun ses méthodes.
- Vous n'avez pas besoin de « travailler » à trois heures du matin. Cette affaire n'est pas urgente.
- Et qu'est-ce que vous en savez ? C'est dans votre blog ?
- … posez ce violon, et on en discutera. »
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- Quand ? Où ? Via les commentaires des billets de votre blog, peut-être ? Dans ces insipides notes où vous me faites le héros de ces... aventures que vous racontez ?”
John retint un soupir.
“Déjà, on en discutera quand j’aurai posé ça.”
Il désigna ses paquets et continua jusqu’à la cuisine, peu curieux de découvrir si une nouvelle expérience occupait le réfrigérateur. L’épicerie rangée, il se laissa tomber dans un des fauteuils.
“Alors ?
- Alors quoi ?”, s’étonna Sherlock.
“Vous ne vouliez pas--
- Cette vieille affaire...? Je voulais en discuter avec vous, mais je l’ai résolue en vous attendant.”
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(Sarah, le petit-déjeuner, ce qu’il y aurait dans sa cuisine, du lait, comme celui qui manquait au 221B, Sherlock se laisserait-t-il assoiffer, et si John ramenait des bouteilles en revenant, devinerait-il où il avait passé la nuit grâce à un accroc sur l’emballage ? Canapé, avait-il bougé du canapé depuis hier soir, allait-il réellement mal, il ne tenterait rien de dange-)
L’écran du téléviseur choisit ce moment pour diffuser des images de sa rue, dévastée.
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Dévasté, il considère la distance qui le sépare de son mobile. Il ne sait même plus pourquoi l’odieux appareil est si loin - un impardonnable abandon ou ah, oui, il était assis là-bas il y a dix minutes.
Sherlock se retourne et étire le bras, étire le bras un peu plus, mais le damné mobile reste inaccessible à l’autre bout de la table à café ! Il soupire et se recouche sur le dos, fixe le plafond.
“Je sais”, annonce-t-il à personne en particulier. “Je vais texter John pour qu’il-- Oh”, réalise-t-il et il jette un regard ennuyé vers son mobile.
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- Vous pourriez aller faire les courses avec moi et étudier des passants, me dire des choses sur leur vie. Si ça vous amuse.
Sherlock lui tourne le dos en guise de réponse.
- Vous trouvez amusant de noter qu’il y a des brins d’herbe sur une pelouse ? Tout est là, et votre incapable tête d’imbécile ne se donne même pas la peine d’enregistrer l’évidence. J’ai besoin de travail.
Et c’est précisément ce que John a besoin d’oublier.
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“...Ma présence n’est pas la bienvenue ?
- Bien sûr qu’elle l’est !”, rétorque John, sarcastique, et il échange un regard désespéré avec Sarah. “Nous ne sommes absolument pas en plein dîner romantique !
- Où est le problème, alors ?
- J’avais réservé pour deux”, mentionne John.
“Bah ! Ça n’a pas été compliqué de faire ajouter une place !”
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-Ne me dis pas que tu vas encore discuter ? On était d’accord pour partir tous ensemble !"
Damian grimace. Tim hausse les épaules. Etre d’accord est sans doute vite dit, Dick le reconnaît. Mais Bruce leur propose de découvrir l’Europe en famille, on ne refuse pas ! Voilà l’argument qu’il compte exposer ! Avant d’être coupé dans son élan.
"On n’a sérieusement pas besoin de quatre chambres. Comme si tu dormais dans la tienne."
Humour dans la voix sérieuse de Tim. Reniflement méprisant de Damian. Dick a la bonne idée de ne rien nier.
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Techie avait probablement de quoi tenir bien plus longtemps qu’elle à ce petit jeu ; Rebecca savait qu’elle devait changer de tactique.
Drake ne laisserait pas Techie la blesser grièvement, mais Rebecca voulait que ça reste un duel loyal. Elle devait gagner, et cela nécessitait d’attaquer.
- Bon… A mon tour, fit-elle en faisant disparaître un énième sortilège.
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- Pourquoi voues-tu une telle haine aux rétines de tes contemporains ? demanda Martin en guise de salut.
- De quoi parles-tu, mon ami ? répondit Elton sans lever les yeux de son carnet de note.
- Je parle de cette chemise que tu portes... en satin... rouge... aux motifs orientaux... jaunes...
- Tu n'as aucun sens artistique, se contenta de répliquer l'écrivain.
- Par simple curiosité, je me demande parfois où tu peux dégotter ta garde-robe si... "artistique". Brocante, peut-être ?
- En ce qui concerne cette chemise, je l'ai faite faire sur mesure...Hors de prix...
- C'est encore pire que ce que je pensais...
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