Arbre à drabbles (6 au 16 août)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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- L’histoire ne doit être modifiée sous aucun prétexte. Croyez-moi, ça finit toujours par mal tourner… alors n’essayez même pas.
Zerua fit une pause et jeta un oeil sur ses élèves. La plupart étaient attentifs, à l’exception de Drake qui avait encore une fois décidé que les cours d’éthique des Arpenteurs étaient idéaux pour piquer un somme. Elle soupira, puis reprit :
- La subtilité, car il y en a une, réside dans ce qui peut ou non être appelé histoire. Rien n’interdit de modifier le passé tant qu’il n’a pas encore engendré de conséquences.
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- Mais qu’est-ce qui vous a pris, ce jour-là ? Vous voulez me voir évincé, rayé de la carte du monde financier, c’est çà ?
- Ce n’est pas l’envie qui me manque Monsieur Trueman, mais là…
- Mais pourquoi irais-je m’embêter à expliquer l’affaire à Lex. Vous êtes mieux placé que moi pour cela.
Comme çà vous le direz comment Superman s’est pris un jet de kryptonite en plein vol au-dessus de notre immeuble.
- J’ai droit à un avocat ?
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- Non mais, c’est un bourreau que vous méritez ! Vous deviez vraiment détruire la moitié de la ville ?”, grinça Trueman.
“Le tiers”, précisa Caleb. “...Mais la moitié, si vous préférez”, concéda-t-il en avisant l’expression dangereuse de son patron.
“La prochaine fois, hop ! Je coupe votre salaire pour les réparations !
- Vous me feriez perdre une année de salaire !?
- Une année ? On parle de la moitié de la ville ! Vous ne seriez plus jamais payé !
- Mais... comment je ferais pour vivre ?
- Vous pourriez toujours crever.
- Et qui ferait le café ?”
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N'empêche Caleb a trouvé un argument imparable : il est la machine a café de la société.
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La jeune femme en tenue de soubrette s’était arrêtée au milieu de sa phrase, figée dans une expression de surprise manifeste.
Rebecca eut un sourire gêné et se massa l’arrière de la nuque.
- J’imagine que c’est ce qu’on récolte lorsqu’on se balade entre les mondes. Donc… Tu es Rebecca, n’est-ce pas ?
La Rebecca-servante hocha la tête, visiblement bien plus troublée que sa jumelle la Rebecca-cliente par la situation.
- Je suis une autre Rebecca, issue d’un autre monde. Une version alternative de toi, en quelque sorte.
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- Mais c’est une super bonne nouvelle !”, s’exclama Raph, tenté de se pincer pour vérifier qu’il ne rêvait pas. “...Bon alors, vous attendez quoi pour partir ?”, il haussa un sourcil, dévisagea le Visiteur qui restait planté là.
“Tu vas pas me laisser partir comme ça ! On est pas copains !?
- Euh, bah... non, en fait.
- Quoi !?
- Bon, d’accord. Allez, on est copains, oui. ...Vous pouvez partir ?
- Ah, mais si on est copains, je peux vraiment pas t’abandonner comme ça !”
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- T'abandonner, tempéra Zaïg, quel grand mot ! Regarde autours de toi, mon mignon : Cuba ! Je te rappelle qu'au départ le capitaine voulait te laisser sur une île déserte...
- C'est injuste, grinça le jeune homme. On m'abandonne alors que tu n'as reçu aucune punition...
- Oh, j'ai reçu une punition ! J'ai reçu 25 coups de fouet, je ne peux toujours pas remettre de chemise ! Ensuite, si le capitaine te laisse et me garde c'est parce que, contrairement à toi, je suis utile !
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Ayumu jette un coup d'oeil plein d'appréhension à sa partenaire auto-proclamée - et détourne immédiatement le regard, de peur d'être aveuglé par les paillettes scintillantes de shôjo manga que la jeune fille aux yeux brillants émet allègrement.
- Oui, oui, capitule-il rapidement. C'est bon, je veux bien que tu m'aides.
Toi et ta mine d'informations d'authenticité confirmée et d'origine douteuse, songe-t-il sans oser l'ajouter à voix haute.
- Ouiii ! Merci, Narumi-san, tu ne le regretteras pas !
- ... Mais.
- Oui, Narumi-san ? Qu'est-ce qu'il y a, Narumi-san ? ♥
- T'es pas obligée pour autant de me suivre partout comme un petit chien.
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- T'es pas obligée pour autant de me suivre partout comme un petit chien...
- Okay.
- Mathilda, tu comprends ce que je te dis ? Que j'ai insisté pour que tu restes à coté de moi veut pas dire que tu dois me suivre vraiment tout le temps...
- Okay.
- Quand j'ai dis que je voulais toujours pouvoir garder un oeil sur toi, je voulais pas dire toujours toujours. Je voulais dire toujours quand on est dehors, mais pas forcément aussi ici...
- Okay.
- Mathilda, sors de cette salle de bain : je vais me doucher !
- Okay. Je peux te gratter le dos si tu veux...
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Une veine palpita sur le front de Jessie. Bondissant hors du trou, elle lui assena un violent coup de pelle .
« Maintenant tu la fermes et tu creuses ! »
Cela était déplorable mais lorsque les muscles usaient d'arguments aussi frappant, le cerveau ne pouvait qu'obtempérer.
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- Aucun avocat digne de ce nom n'accepterait de défendre la cause perdue d'un fils de baron déshérité, Oscar. Surtout pas contre le fameux et effrayant Comte des Poisons. Je pourrais te tuer, te découper en morceaux et les jeter dans la Tamise que ton propre père ne trouverait rien à redire.
- Caaaiiin ! Tu es horrible avec moi !
- Tu m'as embrassé pendant mon sommeil.
- Mais, heu, c'est parce que tu ressembles tellement à ma petite Mary que...
- Trouve mieux que ça.
- ... Tu n'avais pas l'air de détester ? ... Cain ? Range cette épée, je plaisantais !"
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- Cain ? Range cette épée, je plaisantais !
- Moi aussi je plaisantais voyons, le rassura le jeune comte en rentrant la lame d'acier trempé dans sa cane.
Oscar souffla. Il y avait presque cru un instant.
- Soyons raisonnable, repris Cain avec un sourire mauvais, si j'avais vraiment eu envie de te tuer j'aurais évidement utilisé le poison - peut-être en en versant dans ton brandy, ou encore en te piquant avec une aiguille enduite de curare - c'est tout de même plus propre. Ou peut-être aurais-je demandé à Riff de t'étrangler. Je suis certain qu'il y aurait pris un certain plaisir...
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