L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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Le spectacle dure depuis si longtemps qu’Emily pense maintenant avoir rencontré Lenz dans un fragment de rêve.
Un jour, elle retrouve pour la première fois deux inconnus qui ne peuvent vivre l’un sans l’autre ni exister en même temps que l’autre. À la fois assassin et victime, Lenz a disparu pour laisser place à deux marionnettes dépourvues de fils, des personnages libres et incomplets (des instruments sans passé ni futur).
Emily sent sans le voir que Lenz, toujours vivant, se cache en eux ; Léonce et Léna ne sont qu’un amas de ronces, protégeant le néant qui a remplacé son cœur.
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- Son coeur n’est pas maléfique, répondit Zerua. C’est même un des coeurs les plus lumineux que j’aie eu l’occasion d’observer, ajouta-t-elle, son regard se perdant dans l’horizon.
Il y eut un silence, puis les traits de Zerua se firent plus tristes.
- Le problème avec Selesca, c’est qu’il est aveuglé par son pouvoir. Il ne sait pas se remettre en question.
Larousse frissonna. Ainsi donc, l’être contre lequel elle serait amenée à lutter dans un avenir plus ou moins proche avait des motivations bienfaitrices. Ses crimes en devenaient d’autant plus perturbants.
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Mais quand il avait tué des officiels de l'ex-RDA, l'inspecteur du BKA n'avait plus su quoi penser, d'abord. Sa théorie s'était effondrée. Et puis il avait fini par se dire que ce bon docteur était complètement dérangé, point. Surtout qu'il continuait malgré tout à s'affirmer innocent, mettant tout sur le dos de ce Johann. Le pire était que de plus en plus de gens le croyaient.
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Son présent.
Glissant la main dans sa poche, il caresse son cahier, comme si les aspérités du cuir pouvaient l’aider à respirer. Mais à quoi bon ?
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- ...Maintenant quoi ?
- C’est ce que je demande !”, Raph soupira. “D’habitude, vous débarquez ici, vous foutez la merde et vous vous mettez à gueuler Nooon ! pour pas que je fasse un truc. Vous me lâchez Sinon, voilà ce qui va se passer ! et j’en ai pour le reste de la journée à me demander qu’est-ce que j’ai fait à l’univers pour qu’il me s’acharne sur moi comme ça.
- Oh, mais je suis en vacances là.
- En vacances ? Chez moi ?
- Bah, ouais ! J’allais quand même pas rester chez moi avec ces pourris de zombies !”
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Vlad, Garet et Sofia avaient toujours été acceptés et considérés comme normaux dans leurs villages, mais pour Ivan, pouvoir faire la démonstration de ses pouvoirs en toute liberté était une nouveauté.
Vlad proscrivait malheureusement l'abus de télépathie : la vie privée était, apparemment, une chose sacrée.
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« Vas-y, Pol. Les indigènes nous ont assuré qu’il y avait une vue magnifique du piton en face.
- Et... c’est stable ? » demanda le roux en serrant les genoux pour ne pas en claquer.
Yoko le poussa gentiment en avant. S'il s'en sortait, il promettait de ne plus râler !
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Son cœur bat encore, ce salaud s’obstine à ne pas lâcher. Bardol écoute les battements hypnotiques et sourit. Il ne sait pas pourquoi parce qu’il ne voit que le plafond de cet appartement merdique qu’il déteste.
Il entend, vaguement, la porte qui s’ouvre, les pas qui s’immobilisent. Ça sent le sang, bien sûr, son sang. Il baigne dans l’odeur métallique. Les pas reprennent, quelqu’un près de lui et des mains cherchent, couvrent ses poignets.
“...Non”, étranglé.
Le reste est en vrac dans ses souvenirs, les voix, la civière, l’ambulance, l’hôpital. Et le pire, les souvenirs eux-mêmes, preuve qu’il vit encore.
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Suite de ce drabble et de celui-là)
Son coeur cognant à tout rompre, Nikita dégaina son épée et adopta une posture défensive.
Un gémissement s'échappa de la masse noire enveloppant Gleb. Nikita réprima un frémissement d'horreur et se tourna vers leur adversaire. D'un geste un peu hésitant, il envoya Kolya devant lui, les différentes tactiques possibles se catapultant dans son crâne. Un séisme suffirait peut-être à le déstabiliser à temps...
Mens poussa un cri et envoya Nikita tituber sur la droite d'un coup de tête ; au même instant, les manches monstrueuses relâchèrent Gleb pour foncer vers l'endroit où il s'était tenu.
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- Non. En fait ça va...
Un peu surprise, elle insista:
- Vous êtes certaine de ne pas vous sentir désespérée, humiliée... et moche, très moche, au point de vouloir m'acheter cette magnifique potion "2en1 : antidépresseur et beauté hollywoodienne", dix litres achetés un offert ?
- Non, je vous assure, je le vis plutôt bien...
C'était mauvais pour le commerce, ces princesses qui surmontait sans difficulté leur divorces...
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