L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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En lien avec ce drabble : même thème (cache cache), même univers, quelques années après !
Teddy l’avait rapidement compris : l’important, quand on mettait son nez où il ne fallait pas à l’école, c’était de courir vite et de savoir où se cacher. Avec deux gros bras à ses trousses, il fallait aussi savoir réfléchir vite. Il dérapa dans un couloir, ouvrit une porte menant à une salle de classe vide et se précipita vers une haute armoire au fond.
Ce n’était pas la première fois qu’il s'y cachait. Si ça continuait, il envisageait même de graver son nom à l’intérieur. Pour la postérité autant que pour la propriété, même si c'était pas très glorieux.
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- Son homme t'emmerde, du Wixert ! »
Dieter jouait nerveusement avec une de ses bagues en fusillant Evan des yeux, alors que celui-ci buvait son whisky d'un air détaché.
« Pas glorieux et pas malin, compléta la jeune femme, concentrée sur le billard. Mon chat, si t'avais été prêt à l'heure au lieu de t'amuser à faire péter toutes les canettes de l'appart', t'aurais pas oublié tes clopes !
- ''Mon chat'', pouffa Evan. Tu rigoles là, c'est pas un chat, c'est une foutue tête de lard ! »
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Et parce qu'il avait osé dire que la sale bestiole méritée de se faire virer à coups de pied dans le derche, c'était lui qui avait fini avec la porte claquée au nez. Il se demandait sincèrement si Hermione ne lui préférait pas la boule de poil orange mal peigné. Il ne comprenait pas pourquoi vraiment et il repartit bouder et se plaindre chez sa mère.
Pendant ce temps, le chat ronronnait de satisfaction dans les bras de sa maîtresse. Après tout, quand on avait sacrifié sa huitième vie pour son humain, on avait bien le droit d'être un brin possessif pour la neuvième.
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- Bisexuelle.
- ... La dixième ?
- Rendue bisexuelle par la précédente. C'est ce qu'on appellerait perdre deux pierres d'un coup ?
- ... Attendez. Vous les fréquentiez en même temps ?
- Evidemment. Enfin, Bi Seol, je pensais te l'avoir expliqué clairement ! Avec un corps comme le mien, on ne peut quand même décemment pas s'attendre à ce que je n'en fasse profiter qu'une femme à la fois !
Après mûre réflexion, Bi Seol parvint à la conclusion que la meilleure façon d'exprimer sans doute possible ses sentiments sur le sujet serait de présenter son patron au mur par le biais de ses plantes de pied dans la figure.
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Tu connais la série ? ♥ ou je suis si géniale que c'est juste assez général pour apprécier même sans connaître la Grandeur du personnage de Xing ? parce que l'argument sur son corps, c'est directement pompé du canon... 8D
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C'est juste assez général pour apprécier le caractère du personnage et supposer qu'il est comme ça tout le long de la série ! XD
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\0/ C'est un manwha, c'est cool et drôle et déééébile et chou et généralement WTF ♥ y a des scans en anglais sur mangareader.net, mais en plus on est un des rares pays où c'est édité donc c'est aussi bon pour les francophones !
et il est toujours bon de noter que Xing a canoniquement un faible pour le héros et y a des lesbiennes partout, aussi~
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Je sens que je vais adorer ce manga ! XD
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Quant à Jacques, il est prêt à recevoir son châtiment en philosophe. Non seulement parce que se lamenter ne changerait rien, mais aussi parce qu'il est ravi d'avoir évité l'ajout d'un nouveau chapitre à l'histoire des amours de son maitre.
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Susumu ricane et flanque un coup de coude à son grand frère. Ce dernier se contente de relever le menton.
« D'accord, Masa, insiste Susumu, puisque tu en es capable, va donc l’inviter au ciné ! »
L’objet de leur discussion, une élève de 1ère aux jambes tellement longues qu’elles donnent un tournis délicieux à Masahiro, ne semble s’apercevoir de rien. Susumu le pousse en avant.
« Et attention ! Essaie d’aligner plus de 3 syllabes ! »
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- La neuvième fois, je crois, monsieur Burgram, que vous venez récupérer votre... hum...
- Mon petit frère, compléta William les mâchoires serrées. Je vous demande à nouveau de l'excuser : il n'a pas toute sa tête.
- Ca, on vous croit...
Un policier accompagnait le jeune homme, traits tirés et coquard sur l'oeil mais l'air paisible.
- William ! Comment vas-tu ? - Merci à vous messieurs, merci pour votre accueil ! Vous faites un travail remarquable ! - Ne fais pas cette tête, William : j'ai mis à profit mes heures d'encellulement pour mettre au point une version des événements dans laquelle j'ai le beau rôle. Veux-tu l'entendre ?
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- Veux-tu l’entendre ?
Drake ne l’avait pas vue arriver, mais il ne sursauta pas - il commençait à s’habituer à ses visites surprise.
- De quoi parles-tu ?
Pour toute réponse, Techie lui tendit un joli coquillage nacré à travers les barreaux. N’ayant aucune raison de se méfier, il le prit dans sa main droite pour le porter à son oreille.
A la place du bruit de vagues auquel il s’était attendu, il eut droit à un vacarme urbain. Techie lui adressa un sourire franc.
- Parfois, les mondes se trouvent là où on ne les attend pas.
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Maintenant qu'il était parti, que toute la cour était entièrement retombée sous la coupe de son souverain, elle se rendait compte combien toutes ses remarques désobligeantes (et ses insolences flagrantes) visaient à la soutenir, elle, et témoignaient de sa loyauté. Ce mage était vraiment insupportable, mais un tel soutient allait lui manquer dans les semaines à venir.
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Cette foutue tête de lard avait bu, ok.
C'était vrai aussi qu'il avait pris récemment des décisions qu'y mettaient pas tout le monde d'accord. Y avait des tensions dans l'air et il valait mieux que ça pète maintenant plutôt que ça couve plus longtemps. Ok.
L'insulter devant ses hommes, il voulait bien pardonner. C'est pas comme si y avait des protocoles sévères à respecter sur l'Hyperion.
L'attaquer violemment passait encore. Un peu d'exercice fait jamais de mal.
Mais bordel, bousiller son putain de juke-box ! Ce fils de pute avait pas volé la décharge de 600 volts qu'il s'était mangé ...
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- Pas très glorieuse, comme fin, déclara Techie en contemplant le cadavre qui leur était revenu. Tué par une apprentie…
Selesca haussa les épaules.
- Contre les disciples de Zerua, aucune fin n’est glorieuse.
Il poussa un soupir et posa sa tête sur son poing droit. Techie avait appris à y reconnaître le signe d’une grande lassitude.
- Amène-moi la médaille d’Hunter.
La femme hocha la tête, se pencha pour prélever la plaque de métal en question des restes de son ancien collègue, et l’amena à son maître.
- Et maintenant ? Vous avez besoin d’un nouveau Hunter, n’est-ce pas ?
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