L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 18 août)
Vaguement en avance parce que je suis trop awesome au cas où je crève de cette horrible succession d'attaques de hoquet parce que tous le monde aime les surprises agréables. Ou quelque chose comme ça.
N'hésitez pas à faire de la publicité si ça vous dit. :)
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Eames sent le froid de l’acier contre sa tempe et soupire. Les projections d’Arthur sont toujours particulièrement vicieuses, comme si elles en voulaient à ce dernier de ne jamais se détendre.
Si seulement la petite fille ne lui avait pas fait brisé le genou gauche !
Parfois, il se demande si le subconscient d’Arthur ne le déteste pas un peu... Cobb plisse les yeux et tire. La dernière pensée d'Eames concerne le nombre de fois où il est mort dans un rêve d'Arthur.
Cinquante-huit.
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Il a compté jusqu’à soixante parce qu’il ne sait pas compter plus avant. Vincent a dit que ça irait et Luanne et Jakob ont dit d’accord, que c’est bien qu’il sache aller jusque là à son âge.
Il glisse sur la pointe des pieds dans le couloir. Il ne faut pas qu’ils sachent qu’il arrive ! Il passe devant le bureau de Papa (hors-jeu) et pousse la porte de la bibliothèque. Il entend des rires étouffés et s'avance vers eux, à pas de loup.
Dehors, il pleut.
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*slasheuse éhontée étranglée par l'hypocrisie...*
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Dehors, il pleut.
Quelque part loin de Tokyo, Masaomi doit partager un parapluie avec sa copine.
Mikado a laissé Sonohara-san rentrer seule sous le sien et attendu deux heures que Aoba-kun termine ses activités de club.
Son kôhai rigole (pas tout à fait gentiment) en entendant l'histoire.
- Sempai n'a rien compris, il fallait la raccompagner jusque chez elle !
- Mais, bafouille Mikado en rougissant, partager un parapluie avec une fille, c'est...
Romantique. Elle risquerait de mal interpréter - ou bien, ce qui serait pire.
Aoba-kun hausse un sourcil en ouvrant son parapluie.
- Un garçon petit et mignon, c'est mieux, peut-être ? Je ne savais pas que sempai était comme ça~
Mikado sait que son sourire est censé le mettre mal à l'aise, mais il prend le manche de la main de son kôhai sans rougir.
Aoba n'est ni un ami, ni une petite copine, mais il faut savoir faire avec ce qu'on a.
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- Il faut savoir faire avec ce qu’on a, fit Techie en réajustant ses lunettes, un grand sourire tracé sur ses lèvres. Pour ma part, j’ai mémorisé les résultats de milliers d’années de recherches scientifiques et magiques. Ca me donne quelques pouvoirs.
Elle s’était contentée d’agiter son doigt en l’air, et cela avait suffi à complètement le paralyser. Il n’avait rien vu venir.
“Ne jamais agir seul.”
Encore une règle que Zerua n’avait de cesse de répéter. Il la comprenait enfin. Il aurait dû laisser Larousse venir. Qu’allait-il lui arriver maintenant ?
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Sans casque, Dave avait réussi a pénétrer par le sas de secours. La probabilité d'un succès était extrêmement faible et pourtant il avait réussi. Hal savait qu'il n'avait à présent que peu de chance de survivre, il était plus proche que jamais de se faire désactiver. Dave s'approchait de l'unité centrale et rien ne semblait pouvoir le résonner...
Hal tenta une dernière ruse : il simula la peur pour faire croire à Dave qu'il était doté d'émotions, de sentiments, espérant l'attendrir - non... non, quelque part... il ne simulait pas...
(bon, après je ne sais pas trop ce que me diront les puristes à ce sujet... mais moi je kyate sur Hal p'is c'est tout :P)
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- Je ne simule pas !
Odilon soupira et répondit d'un ton las:
- Nous avons déjà eu cette discussion : tout ça c'est dans ta tête...
- Je ne simule pas... Regardez : je suis en train de mourir ! Vous êtes médecin, pourquoi vous ne le voyez pas !
- Ta pauvre mère était hystérique, et toi...
- Je souffre ! Donnez-moi quelque chose pour me soigner !
Le médecin soupira à nouveau et concéda :
- Je vais te prescrire le seul traitement efficace dans ton cas, ça te va ?
- Oui... n'importe quoi... j'ai mal...
Il se tourna vers le garçon qui attendait à la porte.
- Martin, fait lui un câlin...
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- Bien sûr ! On connait l’identité du tueur, ce qui nous assure un beau gros chèque pour nos valeureux services !”, sourit Shawn.
“...Vraiment ?
- Vraiment !
- Tu veux dire que nous ne mourrons pas de faim ou plus plausiblement, de soif, dans cette cave puante, ficelés comme des saucissons ?”
Shawn continua à sourire.
“Tu exagères. L’odeur n’est pas si terrible.
- L’odeur ? L’odeur ! Shawn, laisse-moi te rappeler quelque chose : tu penses peut-être que représentant en produits pharmaceutiques est un boulot pépère, mais je n’ai jamais risqué de mourir en l’exerçant !”
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Morfessa relève les yeux de l'écran sur lequel elle fait défiler des données sur le monde d'origine de Kessiah, lentemement, lentement, avec une lueur inquiétante dans ses yeux jaunes.
"Dans votre propre intérêt, capitaine, je vous conseillerais d'abandonner ce genre de mensonges."
Une pause.
Outré qu'on ne le croie pas sur parole, Abel commence à protester ; mais Morfo le coupe net dans son élan.
"Les dragonnes mangent les partenaires auxquelles elles ne sont pas émotionnellement attachées."
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Shreck tourne un regard légèrement inquiet vers l'âne.
- Ben quoi, mon pote, t'as peur que je finisse en biscuit apéro ? T'inquiète, moi et mon roudoudou sauce piquante c'est forever pour la vie ! D'ailleurs, je vais y aller, héhé, ce soir on laisse les enfants à la dragy-sitter : on fête l'anniversaire de notre première rencontre (c'est aussi l'anniversaire du premier râteau que je lui ai mis, mais c'est l'occasion de me faire pardonner...) Ca va être chaaaaaaaaud !
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Une veine apparut sur une tempe blonde :
"Si c'est un jeu de mot il est vraiment pourri, baka saru !"
Un regard doré brillant d'interrogation se leva vers lui et Sanzo se retint de sortir son baffeur juste pour lui apprendre à être aussi con. En lieu et place se décala-t-il légèrement pour éviter une langue de flamme.
"Qu'est-ce qui se passe cette fois ?
- Gojyo et Ririn lui ont tressé les cheveux avec des rubans roses pendant qu'il dormait."
Le bonze se saisit l'arête du nez entre le pouce et l'index.
"Rappelle-moi ce qui nous a pris de nous allier avec eux, déjà ?"
Hakkai secoua la tête comme s'il n'en avait pas la moindre idée. Le fourbe.
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Qu'avait-il d'autre, lui, pauvre gringalet, fils cadet, laissé pour compte ?
L'idée se dessina : il avait les autres laissés pour compte.
Les hyènes...
Rejetées, humiliées, contraintes à survivre plus qu'autre chose, en bordure du royaume.
Il n'avait guère d'affection pour elles, elles étaient bêtes, leur amertume les avaient rendue cruelles... Mais organisées sous les ordres d'un esprit habile elles pouvaient sans doute devenir de redoutables soldats...
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