L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 15 septembre)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme le dernier, quoi !
Si vous avez des questions, des commentaires, des idées, je propose de faire de
ce post un genre de FAQ
(
Read more... )
INSUPPORTABLE !
Partir serait synonyme d'abandonner, reconnaitre une faille dans son entrainement de cyber-ninja. Absolument impensable.
Finalement, exaspéré, il déplace les enceintes géantes, augment le son, et, à joueur, joueur et demi...
"TU FAIS TROP PITIE, TU M'SAOULES, VAS-Y PARLE A MA MAIN.
SI T'AS PAS COMPRIS, CA VEUX DIRE OUBLIE MOI, HEINHEIN.
J'T'ECOUTE PAS, T'EXISTES PAS DONC VAS-Y PARLE A MA MAIN."
BumbleBee est au sol, les circuits temporairement grillés par la puissance des décibels. Et surtout... surtout... silencieux !
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Car demain, il faudra qu'il soit fort. Il n'aura pas le droit de laisser paraître la moindre faiblesse.
Il pose sa main sur le bois et laisse couler ses larmes, discrètes, comme lui.
« Adieu, Maman… »
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Yuzu était encore très naïve à l'époque, et jeune, trop jeune pour perdre sa mère. Karin avait rapidement compris, et son caractère s'en était trouvé renforcé pour cacher son coeur fragile. Ichigo cachait la vérité de la mort dans son coeur, ne voulant plus y penser, ne voulant pas causer davantage de mal.
- Oui ma chérie, répondit Isshin avec un sourire.
L'un de ses derniers sourires " sérieux ". Il avait décidé de remplacer la présence d'une mère par celle d'un père à l'humour unique et fantasque. Le rire vaut mieux que les larmes.
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"...LUI." lâcha Alfred, enfin, après plusieurs minutes passées à rougir de plus en plus fiévreusement.
Matthew avait atteint son seuil de tolérance à la rétention d'hilarité. Il suffoqua entre larmes et éclats de rires. Son frère serra les poings, droit comme la justice.
"CU-BA." dit-il en détachant très soigneusement les deux syllabes, comme s'il ingurgitait difficilement un plat d'Angleterre.
Mais Matthew ne l'écoutait plus.
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- Gilberrrt, on peut encorre marchander, glissa Ivan avec un sourire. Rrrejoins-moi et tu rresterras en vie.
- Je préfère encore crever qu'être avec toi.
Pour appuyer sa phrase, la Prusse cracha sur la botte russe. Ivan pouvait le torturer, le frapper, jamais ne lui demanderait de faire preuve de pitié à son égard.
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Rukia fixait son ami d'un regard plus noir que d'habitude, poings sur les hanches. Renji leva les yeux au ciel. Ce n'était pas la première fois que la demoiselle allait critiquer sa façon de voler aux mieux lotis qu'eux. Pour toute réponse, il examina son butin du jour, triant ce qui devait être mangé le soir-même de ce qui pouvait attendre.
- A chaque fois on doit fuir les marchands. Tu veux qu'on se fasse attraper ?
- Je ne te laisserais jamais tomber.
Ce n'était pas une promesse, mais une vérité.
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Cloud ne comprenait absolument plus. N’était-il pas à Nibelheim ? N’était-il pas le Soldier de première classe envoyé en mission avec Sephiroth ? Qui était l’homme aux cheveux noirs sur cette photo, aux côté de Tifa et Sephiroth ?
Pourtant il se souvenait des flammes, de la folie du grand homme, de Tifa blessée, de la douleur de perdre tout, sa maison, sa famille, son amie d’enfance et du rire dément de l’homme en noir.
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On ne savait pas comment endiguer ce phénomène, combattre ces ennemis inconnus. On fit ce qui semblait le plus sûr : demander l'avis du Porteur de la Keyblade, celui qui les avait sauvés.
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Celui qui les avait sauvés n'était pas un humain : ses cheveux d'or luisaient sous la clarté lunaire, et sa peau était aussi pâle que l'astre nocturne. Les gardes se raidirent quand il s'approcha de la future reine, mais un geste de cette dernière les fit reculer, laissant l'étranger s'avancer.
- Qui êtes-vous ?
Malgré sa jeunesse, la princesse avait déjà une voix forte et emplie d'autorité. Elle était déjà forgée pour son rôle.
- Celui qui saura conseiller la plus grande reine du Nippon, princesse Himiko.
- Et que me conseillez-vous après m'avoir sauvé des démons ?
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- Je préfère le noir, assura le dieu, évitant de poser son regard sur les rayons qui l'entouraient.
- Hadèèèèèèès.
Le dieu des enfers ne broncha pas devant le ton fatigué/courroucé/apitoyé d'Arès. Le dieu de la guerre tâchait de donner le sourire à son homologue mortuaire, mais faire sourire Hadès était aussi dur que de faire rire une tombe.
- Tu crois pas que Perséphone aimerait que tu portes quelque chose de plus joli qu'un complet de croque-mort ?
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« Mais enfin Arthur… Je… J’peux pas mettre ça !
- Tout gentleman doit posséder dans son dressoir un tel habit, voyons. »
Le jeune homme finit par consentir l’essayage de l’habit. Et il fut surprit qu’Arthur avait ajusté chaque pièce sur mesure. Détournant son regard bleu et fier de celui d’Arthur, il finit par se regarder dans le miroir, et de constater qu’il avait vraiment l’air classe avec ce fichu smoking.
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Tirant une nouvelle bouffée de sa cigarette, le Lieutenant Havoc fixait d'un regard noir son supérieur, entouré comme à son habitude d'une multitude de jeunes femmes sous le charme. Il ne voyait pas pourquoi Mustang avait tenu à ce qu'il soit de faction pour le gala annuel des officiers. Surement pour l'humilier en lui rappelant son manque de succès auprès des femmes, il l'entendait déjà se vanter de ses conquêtes de la soirée quand ils se retrouveraient au bureau.
Foutu Mustang ! Et foutue soirée mondaine !
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Comme si voir Mustang draguer n'était pas suffisamment pénible, voilà qu'on le prenait pour un serveur. S'ils savaient où ils pouvaient se les mettre leurs canapés !
« Excusez moi, Monsieur Havoc ? »
Sortant de ses pensées, le Lieutenant tourna la tête pour découvrir Catherine Elle Armstrong, incroyablement séduisante sous ses airs de jeune fille craintive.
« Pardon, Alex m'a laissée seule et je ne connais personne... Puis-je rester avec vous ? »
Souriant en apercevant les regards envieux des autres hommes, Havoc tendit son bras à la jeune fille.
Elle n'était pas si mal cette soirée...
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Pourtant, Hagi est le seul être capable de protéger Saya. C'était injuste, illogique, inefficace ! Alors qu'il n'était même pas capable de prendre la moindre initiative, de bouger ne serait-ce que le petit doigt si Saya ne le lui ordonne pas ! Rien que d'y penser, Kai en était malade.
Mais ce qu'il ne supportait pas, en vérité, c'est que ce regard n'étaient pas toujours vide et mort. Pas quand il se posait sur elle.
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Rien, mis à part un éventail en papier manié d'une main de maître par Kaname
« Ca va pas de vouloir snipper le prof ? Il ne m'a ni menacée, ni séquestrée ! Il m'a juste convoquée ! Tu peux pas comprendre ça ? Sombre crétin ! »
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