Arbre à drabbles 3 (4 au 14 septembre)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 15 septembre)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme le dernier, quoi !
Si vous avez des questions, des commentaires, des idées, je propose de faire de ce post un genre de FAQ ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 15 septembre)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme le dernier, quoi !
Si vous avez des questions, des commentaires, des idées, je propose de faire de ce post un genre de FAQ ( Read more... )
Novecento n'a que ça : la musique et son bateau. Il n'existe pas en dehors de ce bateau qui traverse l'Atlantique, sur lequel il est né, sur lequel il vit et sur lequel il mourra. Il ne connaît rien d'autre que les embruns sur sa peau et les touches sous ses doigts. Il a failli devenir célèbre. Il a failli connaître l'amour. Mais en fin de compte, il n'a pas réussi à quitter le bateau.
Alors quand ils décident de détruire le navire, il choisit de rester à bord et joue leur éloge funèbre.
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« L'éloge funèbre aux Onzième Division, commente Aramaki, tient en peu de mots : ils sont morts comme ils ont vécu.
- Bravement ?
- En n'en faisant qu'à leur tête ?
- Comme des cons ?
- Sans trop qu'on se rappelle qui était qui dans le tas des bourrins ? »
Le responsable administratif pleurniche : « Mais enfin ! C'étaient vos camarades ! Un peu de respect, non ? »
Zaraki rétorque : « Bah. Ils sont tombés sur plus forts qu'eux, se sont bien battus, mais ils sont morts, avec un peu de chance heureux. Qu'est-ce qu'il faut de plus ? »
Yachiru ajoute : « Être assez forts pour taper sur leurs adversaires et gagner, cette fois ! »
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J'adoooooooooooooooooooooooooooore !
*ricane comme une con*
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De part son génie de frère d'abord, résolvant les problèmes et les enquêtes les plus difficiles comme des additions, et de part son père, brillant policier.
A vrai dire, parfois, elle disait qu'un peu de naïveté et d'innocence lui feraient du bien, et depuis que son frère se faisait totalement absent...
"Vous vous appelez ?"
Le jeune policier lui avait posé la question très poliment, distinctement mais on pouvait y ressentir toute sa maladresse.
Elle se surpris à le trouver adorable.
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- Nous sommes censés allumer les phares et toi, tu... fais les boutiques, appuya son coéquipier Salamandar d'un ton entre surpris et blasé.
- Tu as peur que les gosses nous en empêchent ? Rappelle-toi comment nous les avons mis au tapis lors de notre première rencontre. Oh, mignonne cette ceinture en tissu !
- Mais précise-moi l'intérêt d'acheter des nouveaux vêtements, quand on est en voyage ?
- On doit toujours avoir une certaine classe.
- On croirait entendre Alex parler par ta bouche.
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Croyant entendre dans cette phrase un sous-entendu subtil, Rome attendit, la bouche en coeur, les yeux pétillants. Devant une telle attitude, Germania a presque un élan de pitié. Presque. L'envie de faire couler le sang est plus forte. Plus tentante. Son épée tombe sur l'épaule de Rome, provocatrice.
- Mon aimé, je sais que mes mots d'amour te plaisent au fond. Tout au fond ? ose-t-il encore penser en voyant le regard d'acier de Germania.
- Plutot te haïr.
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"Plutôt te haïr !"
Alfred le fixait avec de grands yeux bleus, sencés avoir l'air effrayant. C'était le cas, en fait, mais pas pour son interlocuteur.
"Oh, vrraiment ?" murmura Ivan, se rapprochant dangereusement de son rival.
Il le dépassait de cinq centimètres et n'hésitait pas à le faire ressentir, le regardant de haut, relevant son regard violet et élargissant son sourire habituellement si innocent. L'américain commençant à bouillir de rage et frustration, Ivan décida de prendre les choses en main. Pour une fois, il n'avait pas envie de se battre.
Il se pencha, et l'embrassa.
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Il se pencha et l'embrassa. Il n'y mettait aucun plaisir, comme la première fois qu'il avait posé ses lèvres sur celle de Misa. C'était simplement un geste de possession sacrée, comme on glisse une hostie dans la bouche du croyant. Misa était sa croyante, celle qui se donnait corps et âme à lui. La caresser était une simple manière d'assurer son emprise sur elle; c'étaient des gestes mécaniques, sans plaisir. Seul le Death Note savait lui procurer un plaisir bien au-dessus du simple plan physique et chimique. Un plaisir spirituel qui lui donnait un regain de vie, et une volonté de domination.
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Une seule personne trouvait cette scène de mariage ridicule. Assis sur les derniers bancs, elle crachait des injures prussiennes sur l'Autriche.
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« Wow… soupira Coureur, avec l'impression de flotter à dix centimètres du sol.
- Hm, répondit Brian en le regardant dans les yeux. Bon anniversaire. »
Coureur le remercia de son plus éclatant sourire et d'un autre baiser. C'était le meilleur des anniversaires !
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Le meilleur des anniversaires de la Révolution manquée du Vingt-Cinq Mai est celui qui suit la réécriture de l'histoire. Pendant trente ans, cette date n'a apporté que de l'amertume.
Samuel Vimes sait ce qu'il a accompli - il a fait tout ce qui était en son pouvoir pour protéger ses hommes et les habitants de son vieux quartier du rouleau-compresseur de l'Histoire rendu fou, et ça n'a pas suffi. Mais il a la satisfaction d'avoir fait de lui-même un bon flic, un homme décent, un mari (pas un veuf !), et un père.
...Aujourd'hui, Sam Junior a un an.
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Mais elle se trompe, ce n'est pas juste une histoire d'amour-propre.
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Comprenant qu'il ne parviendrait pas à prendre le dessus, Watson retourna à ses écrits tandis que Holmes continuait à s'agiter autour de sa table de chimie. Il obtint un précipité de couleur verte qu'il observa deux minutes avant d'aller se caler dans son fauteuil, affichant une expression d'intense réflexion. Lorsque Watson aperçut une lueur de triomphe naitre dans le regard de son ami, il se demanda néanmoins si la quête de justice était réellement sa première motivation.
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Il le repousse, encore. Siegfried serre les dents et ce qu'il reste en lui de Nightmare, son être entier corrompu, se rebelle, ne veut plus affronter l'entêté refus. Il se force contre lui, ses mains auparavant tièdement suppliantes forcent ouvertes les coutures, révèlent la peau pâle et ses doigts goûtent la chaleur de Raphael dénudé, ses ongles éraflent, laissent des baisers rouge sang.
"Ne me dis plus non !", gronde Siegfried, voix cauchemardesque.
Et Raphael lui sourit.
"...Pourquoi as-tu perdu si longtemps à demander quand tu pouvais seulement prendre ?"
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- Mais n'est-ce pas joli tous ces trésors que les humains montrent à leurs semblables, mais gardent jalousement dans leurs musées ?
- … J'espère au moins que tu n'as engagé aucun humain dans tes folies.
Hermès ne lève pas la tête, s'amusant à mettre les lourds colliers autour de son cou comme un enfant qui s'amuse à jouer le rôle de roi. Qu'ils étaient brillants ces trésors !
- Oh ils ne seront pas attrapés, puisque je les protège.
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Angleterre leva les yeux au ciel. Francis n'était pas capable de rester plus d'une minute assis, et il n'était pas le meilleur en matière de politique internationale.
Discuter avec lui sérieusement relevait de l'impossible, ces dernières années.
"Francis-" commença Arthur avant de s'arrêter brusquement.
Il était en train de farfouiller dans son bar. Et d'ailleurs comment avait-il su qu'il le cachait dans son globe terrestre ?
"Un cliché !" dit France en l'embrassant.
Ca aussi, c'était un cliché, agréable cependant.
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