L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 17 août)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme le dernier, quoi !
Si vous avez des questions, des commentaires, des idées, je propose de faire de
ce post un genre de FAQ.
[
L'
(
Read more... )
Mais pour que Colette et Zélos puissent encore rire sincèrement, pour que Génis et Raine puissent être acceptés partout, pour que Présea et Régal puisse reprendre le cours de leurs vies et Sheena retourner à son village la tête haute, Lloyd ne laissera pas une chose aussi futile que le réalisme l'arrêter.
Kratos sourit.
- C'est ce que j'admire en toi, Lloyd : même si ça semble impossible, tu essayes.
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Il en avait un peu assez d'être dérangé en pleine partie.
Même pas pour jouer, ou pour aller piquer des choses dans les cuisines de la Wammy's, non c'était encore pour lui parler, lui parler de cet albinos si énervant. Il ne le dérangeait jamais pour lui dire des choses gentilles ou amusantes, non c'était toujours pour se plaindre, se plaindre de Near.
Matt n'avait aucun avis sur le petit génie, il voulait simplement passer du temps avec son meilleur ami et ne pas grandir trop vite.
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par contre, fais attention, le but c'est de modifier le moins possible, rajouter des mots avant la fin de phrase que tu réutilises c'est un peu "de la triche" ^^
Ne pas grandir trop vite, c'est tout ce qu'elle souhaite à ses petits élèves. Mais elle sait bien, quelque part au fond d'elle-même, que certains ont déjà trop grandi. La petite Yuiko n'est pas si aveugle et insouciante qu'elle ne le prétend et connait déjà l'amour et la souffrance à un tout autre niveau que ses camarades ; et Aoyagi Ritsuka, avec son silence borné et son regard hanté, ses absences injustifiées et ses blessures partout quand il revient, a déjà traversé bien plus qu'aucun enfant ne le devrait.
Hitomi ne peut pas modifier le temps, mais elle prend soin d'eux.
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Quant à Draco… Autant, il savait s’occuper des autres, autant de lui-même c’était une catastrophe. Il manquait de sommeil, ne se nourrissait pas assez et la liste était encore longue. Pansy plaignait sa future épouse.
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Alors elle continue à se plaindre, à piquer ce que les gens appellent " caprices ". Être enfant permet d'être à moitié pardonné quand on commet des fautes. Être enfant a aussi des risques, comme celle de se trouver prisonnière des Enfourneurs. Là, Lyra voudrait être adulte.
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"Puuuutaaaaaaaaaain !", beugle-t-il, mais ça n'aide pas et bientôt, il n'a plus le choix.
C'est fuir ou mourir.
Entre les deux, il préfère encore fumer une dernière clope et mourir. Il se laisse glisser à terre, tire par-dessus son épaule un coup de feu occasionnel pour gagner un peu de temps. Il colle la cigarette au coin de ses lèvres et sourit.
Si le monde était moins nul, Haine viendrait le sauver.
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Mais le monde est nul, visiblement : Tasha est à l'autre bout du monde.
Xing sourit et se prépare à mourir.
Une main le secoue.
- Debout, toi ! Tarras le magnifique ne laisse personne mourir, même pas les abrutis !
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Trop vite pour qu'il l'arrête, Mountain se hisse sur la pointe des pieds et l'embrasse. Liberica voudrait vraiment beaucoup passionnément à la folie ne pas rougir, ni sentir son cœur faire des efforts pour essayer d'exploser.
"Ne fais pas ça !", il le repousse, avec des regards nerveux à droite et à gauche pour être certain que personne ne les a vus.
"Ah, come on", sourit Mountain, de ce sourire, celui qui est irrésistible. "Quelle date est vraiment finie sans un p'tit bec sur le pas de la porte de sa-
- Si tu dis douce, je te jure, je t'étrangle."
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Ses mains et ses lèvres sont malhabiles, butent contre tous les obstacles. Le corps de Yuuko lui raconte de sordides histoires, étalées sur des années ; si les ecchymoses ne disparaissent que pour laisser place aux brisures, Yuu sait que la douleur est enfouie plus profondément (solitude, abandon, rejet ; abus).
Avec sa pureté perdue, Yuuko lui rappelle cette ville qui continue de porter les stigmates du tremblement de terre, et il manque de perdre espoir : rien n’a été reconstruit sur les décombres.
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Nanaki a un soupir nostalgique. Il les aimait bien ces humains. Même la petite peste de Yuffie, sauf quand elle l'étranglait en voulant le câliner. Ils lui manquaient, mais il ne pourrait jamais les ramener. Pour ne pas les oublier, il parlait de leurs exploits.
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