L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 17 août)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme le dernier, quoi !
Si vous avez des questions, des commentaires, des idées, je propose de faire de
ce post un genre de FAQ.
[
L'
(
Read more... )
Sanji, enfin, détache ses yeux en coeur de la silhouette en courbes parfaites de sa Nami et s'impatiente plutôt des conneries qui sortent de la bouche du crétin au crâne vert mousse.
"Qu'ose-tu dire contre ma déesse, mon amour, mon âme, mon soleil-", gronde-t-il, prêt à le faire taire d'un bon coup de pied.
"Si tu continues comme ça, j'vais vomir...
- Non, tu vas saigner !", et Sanji envoie un coup, bloqué nonchalamment par un katana : le chaos suit.
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"Les idiots !", râle-t-elle et Robin hoche la tête avec un demi-sourire.
Elle commence un décompte amusé, replie les doigts sur les secondes qui passent.
"Oooooh !", vient le grand cri enthousiaste, prévisible, de Luffy dès qu'il remarque la bagarre sur le pont. "Vous jouez à quoi !?", veut-il savoir et il se jette sans hésiter dans la mêlée.
Ce qui rend le combat, déjà frénétique, plus dément encore.
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~♥ pour les drabbles qui se suivent =)
Nami va avoir les cheveux blancs avant l'âge, la pauvre.
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Elizaveta lève le nez de son bien et le regarde fixement, songeant à toute autre chose que sa colère présente.
-Allons mon cher, vous devriez savoir qu'il est bon de se détentre de temps à autre, lui explique-t-elle, et cette invention de Kiku-san est tout simplement merveilleuse ! Je vous suggère de vous en procurer au plus vite.
Comme à chaque fois que Hongrie le regarde avec ces yeux-là, son teint vire au pourpre.
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Mais dans les livres on trouve aussi des scènes osées. Je ne cite que Sade le plus connu, et Bret Aeston Ellis (dont j'ai pas réussi à finir American psycho après la scène de partouze...). Je vois bien Elizaveta adepte de ce genre de lectures...
C'était ma pause littérature. 8D -sort-
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(Maintenant je pense à toi quand j'écris sur eux deux XD)
[Elizaveta a certainement une bibliothèque emplie de ce genre de livre, rien que pour voir Roderich rougir.] :D
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- Oh, et tu te souviens quand tu as perdu contre la Russie et que ta gentille petite femme est devenue leurs prisonnière. J'aurais voulu voir ta tronche, ensanglantée dans la neige...
- L' t'ne qu' v' 'in'r 'n 'ng.
- Articule, je comprends RIEN !
En réponse, une épée nordique vient se planter à côté de lui. Danemark prend un visage de prédateur.
- Aaah, un peu d'action. J'allais rouiller.
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Rouiller, s'abîmer, casser, tel était le lourd fardeau porté quotidiennement par les armes, mais rien au monde n'était comparable au sort cruel que leur infligeait certains de leur maitres. Il y en avait des doux, qui prenaient soin d'elles, les astiquaient, les nettoyaient, les chouchoutaient régulièrement...
Puis il y avait, ceux qui dans leur langage, étaient communément nommés les "Kieran", ceux qui les fracassaient régulièrement en deux, contre un mur, de colère, parce que leur rival a gagné un duel, ou parce qu'un petit stratège leur a encore fait un reproche sur leur façon de combattre.
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- Votre façon de combattre est...
Mia fronce les sourcils.
- ... originale.
Mia explose.
- Ah oui ?! C'est parce que je suis une femme que tu dis ça, peut-être ?! Tu t'imagines que je suis forcément moins douée que toi ?! On va voir ça ! Je te défie !
Stefan baisse les yeux sur la lame qui soudain lui chatouille la gorge et referme la bouche. Puis éclate de rire.
- Je voulais dire que votre style est très intéressant, vous savez. Mais je suis loin de refuser.
Mia a un sourire de bête féroce et affamée.
- En garde ! gronde-t-elle.
Stefan sourit, lame au clair.
- Avec plaisir.
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Le plaisir de retrouver les immenses plaines du désert était totalement irréaliste. Il n'avait pas envie d'y retourner, parce qu'il n'aimait pas le désert, ni la chaleur, la seule chose qui l'y attirait, c'était la solitude totale.
Plus que jamais, il n'avait plus envie de voir qui que ce soit, mis à part la seule personne qui lui restait à présent..
La seule personne qui n'ait jamais partagé le même fardeau que lui, avec le même réalisme dur et froid qu'il n'a su avoir.
-Monsieur Stefan, un voyageur pour vous.
[SPOILERS: je précise, dans mon canon, a la fin de RD, Ike & Soren partent en voyage ensemble (ça c'est canon, hein), et j'extrapole en me disant qu'après la mort de Ike, peut être que Soren est allé vivre dans le desert..]
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On a vraiment les mêmes goûts - c'est une de mes théories préférées, si pas MA préférée, et ça n'aide pas que j'aime le Stefan/Soren en plus du Soren/Ike. Mais qu'est-ce que c'est triste. Et qu'est-ce que c'est beau.
♥
M'a fallu le temps de m'en remettre.]
- Pour vous, commence Ike.
La gorge de Soren se serre et il souhaite être né sourd.
Ike sourit.
La poitrine de Soren s'enflamme et il souhaite être né aveugle.
- ... bien sûr, Majesté.
Les entrailles de Soren se nouent et il souhaite être né idiot.
- Appelez-moi Elincia.
Le sang de Soren bouillonne et il souhaite n'avoir jamais appris à contrôler sa magie, souhaite pouvoir réduire cette femme en pièces et que cela puisse passer pour un horrible accident.
- N'importe quoi pour vous, Elincia.
Ike sourit, sourit, sourit.
Le coeur de Soren se déchire, mais il ne laissera jamais personne le voir.
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Voir Soren dans cet état relevait à la fois de la rareté la plus impitoyable et de la dureté la plus irréaliste.
Mais que pouvait-il faire ? Il ne pouvait simplement pas aller le voir, lui poser une main réconfortante sur l'épaule et le serrer dans ses bras. Il savait comment il réagirait. Mal.
Et malgré lui, il en voulait, il se haissait pour cela, mais il en voulait terriblement à Ike. Il rejetait sans le vouloir la personne la plus loyale, fidèle qu'il eût pu trouver, et ça, Stefan n'arrivait pas à lui pardonner.
[Je me permets de continuer étant donner que ton drabble était bien, très bien <3]
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Bon, histoire d'être un peu plus gentille avec Soren pour une fois...
♥
- Te pardonner ? répète Ike, éberlué. Mais de quoi ?
Soren est pâle et au bord des larmes, ce qui n'est jamais arrivé, aussi loin qu'il s'en souvienne.
- Je suis une abomination, murmure-t-il, la voix rauque. Je ne devrais même pas exister ! Tu n'es pas dégoûté par mon existence ? reprend-il d'une toute petite voix.
Ike l'agrippe par les épaules et le force à rencontrer son regard, mais Soren ferme les yeux et éclate en sanglots.
- ... Soren, je croyais que tu étais un génie...
Soren a un hoquet quand Ike le serre contre sa poitrine, fort.
- ... mais là, tu es vraiment très bête.
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Bête, il ne l'avait jamais été, seul, il avait passé une bonne partie de sa vie à l'être, et étrangement, il y était habitué.
Maintenant qu'il n'était plus seul, il ne savait comment réagir.
C'était un peu comme goûter à un plat inconnu.
Un jour, il remarqua à quel point la bibliothèque de Grann était grande, et à quel point il avait envie de lire.
Preuve que, quelque part, il voulait continuer à vivre, et continuer à étudier, même en vivant sans sa présence, il se disait que le substitut en valait la peine.
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Le blond coula un regard sombre vers Théodore.
- Au lieu de l’embrasser - si on peut appeler cela un baiser - et de fuir sans lui laisser le temps de répondre, tu aurais pu attendre.
Draco leva les yeux au ciel, sans rien répondre.
- Et ne me dis pas que tu ne veux pas savoir ce qu’il en pense…
Deux coups secs se firent entendre à la porte.
- Malfoy, tu vas ouvrir cette porte ou je l’enfonce, avant de m’embrasser réellement !
Potter semblait réellement avoir envie de ce baiser
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Et malgré tout ils se retrouvaient alliés, commémorant chaque année ce jour où ils avaient mis de côté leurs anciennes querelles.
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