L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 17 août)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme le dernier, quoi !
Si vous avez des questions, des commentaires, des idées, je propose de faire de
ce post un genre de FAQ.
[
L'
(
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- Je t'ai déjà dit de ne pas venir dans mes jambes quand je cuisine !
- Watanuki est tout fâché, chantonnaient Maru et Moro.
- N'en rajoutez pas vous deux ! Et toi, reviens avec mon tablier !
Loin d'obéir Mokona sortit de la cuisine, portant triomphalement le tablier sur sa tête. Allongée lascivement dans sa piscine, Yuko regarda son serviteur courir après son bien.
- Ce petit me donne chaud à tant s'exciter...
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(contente de te voir par ici :p)
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Chaque nouveau drabble doit commencer par la dernière phrase/le(s) dernier(s) mot(s). Vous pouvez au besoin changer ponctuation, temps de verbe, etc. (Par exemple, si la dernière phrase est 'Il savait que c'était idiot.', le début du prochain drabble pourrait être 'Idiot(e)' ou 'Elle savait que c'était idiot' ou 'C'était idiot'. N'importe quelle variation qui vous arrange.)
Ta phrase de début (Watanuki n'eut pas le temps de se déplacer avant que ses vêtements soient tâchés [...]) ajoute quand même pas mal avant d'aller reprendre/changer le temps du [Et] se déplaça, avant que ses vêtements soient tachés jusqu'à ton à la phrase du drabble auquel tu 'réponds', ce qui casse un peu l'esprit de l'arbre.
*espère quand même vaguement ne pas sonner trop chiante ;;;^^*
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Je supprime le drabble donc ?
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Juste, euh, n'en profite pas pour faire ça à chaque drabble ! XD
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Je m'excuse tout de même de cette bafouille envers les règles. "^^
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"Tant s'exciter pour si peu...", soupire-t-il et près de lui, elle hoche la tête.
Ils ont remis ça, encore. La tête brûlée prend tout pour une insulte et le moine, d'habitude parfaitement calme, ne perd jamais une occasion de déclencher une énième guerre. Le kitsune baille, s'étire, replace ses cheveux et fais un pas en avant.
"Vous allez les arrêter ?", demande la prêtresse, surprise que leur maître (à défaut d'un meilleur terme, parce qu'esclavagiste n'est pas poli) se donne cette peine.
"Quoi ? Mais non ! Je vais me chercher à grignoter ! Ça donne faim de regarder tout cet exercice !"
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Elle les faisaient courir, s'essouffler, travailler, réfléchir, ranger, parfois, et même cuisiner, lire, écrire, tracer des cercles, analyser des livres, étudier des cartes, porter des paquets, apporter des cartons, aller chercher à manger, et quand elle y pensait, elle les laissait dormir.
Mais Edward et Alponse ne s'en plaignaient pas; de cette manière, ils pensaient à autre chose, préparaient leur parcours, et n'étaient plus hantés par le fantôme de leur mère à chaque minute qui passait.
-Allez, on se réveille, les jeunes ! hurlait-elle dans le couloir.
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- Allez, on se réveille, les jeunes ! hurlait-elle dans le couloir dès sept heures du matin, s'accompagnant d'une trompette en plastique au son tout simplement atroce (quand ce n'était pas une certaine chanson d'Hughes Auffrey*).
Les jeunes en question n'appréciaient évidemment pas d'être réveillés de la sorte et les grognements frustrés étaient légions, mais la monitrice les ignorait superbement et les sortait du lit à coups de pieds si nécessaire.
- Et on ne se plaint pas ! les rabrouait-elle sans pitié en poussant les derniers traînards dans la cafétéria pour le petit-déjeuner. Vous au moins, vous avez eu huit heures de sommeil !
*"debout les gars, réveillez-vous !" par exemple...
et comment ça ça sent le vécu ? :p
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La réunion était certes, terriblement longue, ennuyeuse mais tous les yeux étaient rivés sur lui. On ne s'endormait pas, comme ça au milieu d'une phrase !
La consternation était telle, que même Egypte avait l'air étonné. Amérique les regarda tous, tour à tour. Il fallait le réveiller.
Ils eurent tous la même idée, en même temps, et les regards prirent la direction de Sadiq, qui compris immédiatement.
-Alors, Héraclès, encore en train de dormir ? Je pensais que tu travaillais à ta revanche sur moi ?
Une parole suffisait pour réveiller Grèce instantanément.
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Voilà Freya lancée, griffonnant des dizaines de calculs, remplissant la page d'exercices avec une rapidité déconcertante. Son frère regardait cet exploit sans un mot, habitué à ce genre de scène.
- Voilà ! Allez, je te laisse, j'ai une commande pour cette revue à finir.
Mathias la remercia, satisfait. Si elle savait qu'elle venait de faire un devoir noté à sa place...
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- Un bout de gâteau seulement ? C'est entier que je le veux !
- Hors de question, tout le monde aura sa part.
Luffy lui tire la langue et sort.
Quand le cuisinier le rejoint quelques minutes plus tard avec un casse-croûte, histoire de le faire patienter, le capitaine s'empare des victuailles en gratifiant Sanji d'un sourire jusqu'aux oreilles.
Le cuisinier soupire : Luffy est encore plus doué que ses déesses pour lui soutirer des faveurs.
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Je suis pas fan de ce 'couple', mais damn, tu me donnes envie là !
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