Arbre à drabbles 2 (7 au 17 août)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 17 août)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme le dernier, quoi !
Si vous avez des questions, des commentaires, des idées, je propose de faire de ce post un genre de FAQ.
[ L' ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 17 août)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme le dernier, quoi !
Si vous avez des questions, des commentaires, des idées, je propose de faire de ce post un genre de FAQ.
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Passer du temps avec l'anglais, ça va encore, depuis le temps, ils se supportent tous les deux.
Être trainé de force chez lui, sa fierté avait du mal à encaisser le choc.
Mais devoir manger un de ses plats...
Avec toute la précaution possible, il s'empare de sa fourchette et, doucement, comme si la chose pouvait lui sauter dessus à tout instant, il touche la forme visqueuse.
-Arthur, tu es vraiment sûr que c'est mangeable ?
Il évite de justesse l'assiette qu'il lui lançe à la figure.
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Chaque nouveau drabble doit commencer par la dernière phrase/le(s) dernier(s) mot(s). Vous pouvez au besoin changer ponctuation, temps de verbe, etc. (Par exemple, si la dernière phrase est 'Il savait que c'était idiot.', le début du prochain drabble pourrait être 'Idiot(e)' ou 'Elle savait que c'était idiot' ou 'C'était idiot'. N'importe quelle variation qui vous arrange.)
Ta phrase de début ajoute un mot Il pleure [presque] la perte de sa dignité. à la phrase du drabble auquel tu 'réponds', ce qui brise un ch'tit peu l'esprit de l'arbre.
*espère beaucoup ne pas sonner trop chiante ;;;^^*
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Je n'ai pas fait attention D:
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Doucement il se penche pour ramasser l'assiette, laissant la nourriture collée au sol. Charleston s'approche de la demoiselle, lentement, pour ne pas l'effrayer davantage. Et lui tend l'assiette vide.
- Çà m'a l'air bon, je peux en avoir ?
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Les petits Alfred et Matthew lèvent la tête de leurs assiettes, fixant leur regard sur Arthur qui tend son assiette au français. L'anglais a détourné ses yeux vers le mur, donnant à son geste un air de nonchalance. Il ne trompe personne. Jamais encore il n'avait accepté de manger la nourriture de Francis, préférant sa gastronomie.
Hésitant, Francis finit par remplir l'assiette d'Arthur. Francis a un sourire de fierté en le voyant avaler son plat, sans rechigner.
- Tu avoues enfin ma supériorité culinaire ?
- Je dois avouer que c'est... comestible. Oui, comestible.
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-Comestible ! Juste comestible, mon cher Arthur, ton petit jeu ne trompe personne ! s'exclame alors joyeusement le français.
Les deux enfants les regardent, chacun leur tour, écarquillant leurs grands yeux bleus océan, pensant sans doute que leurs parents sont vraiment uniques en leur genre.
-Oui, comestible, pas aussi bon que mes scones, bien sûr !
-Tes scones sont particulièrement immangeables ! proteste Francis
-What ? Répéte pour voir, Pervert Frog !
Alfred jette un regard entendu à son frère, ils peuvent faire ce qu'ils veulent à présent, ils sont occupés pour la journée, voire pour le mois.
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Et il FAUT qu'on prenne contact par msn (idée fixe).
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(je te file mon adresse par message privé ^^)
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La ville s’est teinte de noir et de blanc tout en gardant sa lumière (il ignore depuis quand, peut-être a-t-elle toujours eu cette atmosphère statique de déjà vu). Tomoya attend le changement, le début de tout, la mise en route du système. Quand il voit cette fille immobile sur le chemin, il se dit que le moment n’est pas encore venu, mais tend l’oreille, au cas où.
Un mouvement, une ride qui perce l’uniformité, un mot dans le silence.
- Anpan !
Les couleurs explosent.
Parfois, certaines histoires commencent ainsi.
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"Tu n'es pas facile à suivre !", le surprend une voix.
Aussitôt, il veut tirer son katana, mais une main l'empêche de sortir la lame du fourreau.
"Pas si vite, je suis là pour t'aider..."
Si l'offre est intéressante, le sourire qui vient avec est un rien flippant.
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Luffy tourne autour de Sanji à une vitesse phénoménale, faisant presque perdre l'équilibre du cuisinier.
- Non, c'est pour mes déesses !
- Allez Sanji, je peux en avoir ? Je peux en avoir ? J'en veux, donne m'en, c'est un ordre !
Luffy s'est immobilisé. Il a les bras enroulés trois ou quatre fois autour de la taille de Sanji, pour ne pas qu'il esquive son attaque.
- Luffy, ne me fait pas ces yeux-là, tu sais que ça ne marche pas.
Le cuisinier essaye de ne pas regarder. Il déglutit.
- Enfin, presque pas...
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-Non !
-Sois gentille, Yuuki. J'ai faim.
-Aidou non !
-Allez... »
Esquissant un sourire dévoilant ses crocs, le vampire s'approcha de la jeune fille avec une allure de prédateur et tendit le bras dans sa direction. C'est alors que son geste fut violemment interrompu par une gifle magistrale. Une main sur la joue, il tourna la tête pour apercevoir Kaname qui le fixait, implacable.
« Ne t'ai-je pas interdit d'ennuyer Yuuki ? »
Aidou baissa piteusement les yeux, ravalant difficilement ses protestations. Ils faisaient bien des histoires pour une malheureuse petite part de gâteau au chocolat.
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- Cindry, ma belle, attention, tu as failli me fendre le crâne avec cette assiette.
- Docteur Hogeback, vous êtes sans cœur, vous savez qu'il ne faut pas manger avec les assiettes.
Le docteur baisse les yeux et se tord les doigts, nerveux. Il s'est fait surprendre. Il sait que les assiettes sont honnies par son magnifique zombie.
Cindry attend un instant, debout, une pile d'assiettes en main prêtes à être lancées impitoyablement sur Hogeback. Finalement, elle fait demi-tour.
- Je vous pardonne pour cette fois.
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- Livrer un colis (même suspect) à un marchand ? Rien de plus simple sans Domeki !
Fin heureux, Watanuki remontait la rue d'un pas altier, se laissant même aller à chantonner une comptine. Une ombre se profila derrière lui.
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-Je t'ai attrapé ! Alors, ce gage... ? chuchota la voix d'Amérique
-On a rrrien parrié ! protesta Russie.
-Tu ne te souviens pas du pari ?
Il avait un sourire perturbant. A mi chemin entre la joie et le sadisme.
Et les regards des autres les fixaient tellement fort qu'ils auraient pu les transperçer.
Leurs "jeux" étaient toujours source de coversations animées...surtout pour Hongrie et France.
-Oh non, ils s'en vont... soupira Elizaveta en rangeant son appareil photo.
-On peut toujours les suivre ! lui proposa France, soudainement enthousiaste.
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