"Les insectes et le vent", black cat, shiki/leon, G
Titre: Les insectes et le vent
Auteur: drakys
Fandom: black cat
Couple: shiki/leon-ish (if you squint real hard)
Rating: G
Disclaimer: kentarô yabuki
Notes: pour sakoni, bonne fête! [insérer petite musique festive et tout] vaguement comme genre une semaine en retard. 3 x 100 mots. bien écrire ces deux-là est au-dessus de mes forces... -_-; vois dans cette tentative misérable toute la force de mon amour pour toi!
Les lucioles volent lentement, pluie paresseuse d'étoiles sur le foncé du ciel. Leon les regarde ennuyé, ne voyant pas ce qu'elles ont d'intéressant. Kyoko s'épand en kyaaah~ et en Kyoko les trouve jolies!; Sharden reste parfaitement stoïque à ses démonstrations d'enthousiasme, mais un sourire fin illumine son visage.
Leon roule des yeux et détourne la tête, surpris de voir Shiki tendre une main paume en l'air.
Des lucioles viennent s'y nicher, formant une étoile minuscule de lumière tremblante entre ses doigts. Visage caché derrière son turban, il est impossible de deviner son expression, mais Leon décide qu'il sourit lui aussi.
Le vent qui souffle, la moitié au moins est due aux voltiges de Leon sur sa planche, qui plane contre le bleu du ciel. Shiki l'observe flotter dans les courants mi-véritables, mi-créés par le pouvoir du garçon.
Il voudrait détourner le regard, mais ses yeux restent plutôt fixés sur lui, suivant la forme qui se balance casse-cou au-dessus de sa tête.
Parfois, Shiki oublie son âge et ne se souvient que de leurs similarités: deux survivants de deux guerres différentes, avec des cicatrices qui ne sont pas les mêmes, mais qui les unissent peut-être mieux que le pouvoir qu'ils partagent.
Le ciel est gris et tremble de l'orage qui gronde, le monde est brouillé derrière un rideau de pluie. Perché sur sa planche quelques centimètres au-dessus du sol, Leon a le nez dans un manga. Plus loin, Shiki peint lentement les caractères noirs sur les rectangles de papier blanc.
Avant de tourner une page, le regard de Leon quitte le papier noir et blanc pour jeter un coup d'œil en direction de Shiki. Avant de mettre de côté un énième fuda, Shiki laisse traîner son regard sur Leon.
Ce n'est qu'un hasard malheureux que leurs yeux ne se croisent jamais.
(8 juin 2007)
Auteur: drakys
Fandom: black cat
Couple: shiki/leon-ish (if you squint real hard)
Rating: G
Disclaimer: kentarô yabuki
Notes: pour sakoni, bonne fête! [insérer petite musique festive et tout] vaguement comme genre une semaine en retard. 3 x 100 mots. bien écrire ces deux-là est au-dessus de mes forces... -_-; vois dans cette tentative misérable toute la force de mon amour pour toi!
Les lucioles volent lentement, pluie paresseuse d'étoiles sur le foncé du ciel. Leon les regarde ennuyé, ne voyant pas ce qu'elles ont d'intéressant. Kyoko s'épand en kyaaah~ et en Kyoko les trouve jolies!; Sharden reste parfaitement stoïque à ses démonstrations d'enthousiasme, mais un sourire fin illumine son visage.
Leon roule des yeux et détourne la tête, surpris de voir Shiki tendre une main paume en l'air.
Des lucioles viennent s'y nicher, formant une étoile minuscule de lumière tremblante entre ses doigts. Visage caché derrière son turban, il est impossible de deviner son expression, mais Leon décide qu'il sourit lui aussi.
Le vent qui souffle, la moitié au moins est due aux voltiges de Leon sur sa planche, qui plane contre le bleu du ciel. Shiki l'observe flotter dans les courants mi-véritables, mi-créés par le pouvoir du garçon.
Il voudrait détourner le regard, mais ses yeux restent plutôt fixés sur lui, suivant la forme qui se balance casse-cou au-dessus de sa tête.
Parfois, Shiki oublie son âge et ne se souvient que de leurs similarités: deux survivants de deux guerres différentes, avec des cicatrices qui ne sont pas les mêmes, mais qui les unissent peut-être mieux que le pouvoir qu'ils partagent.
Le ciel est gris et tremble de l'orage qui gronde, le monde est brouillé derrière un rideau de pluie. Perché sur sa planche quelques centimètres au-dessus du sol, Leon a le nez dans un manga. Plus loin, Shiki peint lentement les caractères noirs sur les rectangles de papier blanc.
Avant de tourner une page, le regard de Leon quitte le papier noir et blanc pour jeter un coup d'œil en direction de Shiki. Avant de mettre de côté un énième fuda, Shiki laisse traîner son regard sur Leon.
Ce n'est qu'un hasard malheureux que leurs yeux ne se croisent jamais.
(8 juin 2007)