Booooooooooon, bon bon bon.
Comme le titre l'indique, je vais donc vous parler de l'Arlésienne Cloak & Silence de Sherrilyn Kenyon, bouquin fort attendu (par moi en tous cas) car traitant d'un couple homosexuel dans une série de romance het. Bouquin dont la sortie était à l'origine prévue au 15 décembre 2012, et qui a finalement atterri dans mon
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Quoi qu'il en soit, mon incitation était plus pour les gens hors ma f-list, qui tomberaient sur ce billet et hésiteraient peut-être à exprimer leur opinion. Pas que j'en attende des tonnes, mais on sait jamais ?
Non mais l'angst, je suis pour, hein (quelle question XD) ! C'est juste qu'il y a à mon avis une sacrée marge entre le personnage qui a du vécu, bon ET mauvais en proportions variées, et celui qui a passé sa vie à se faire torturer par ses ennemis et trahir par ses proches. J'aime bien ton idée, sauf que personnellement je me sentirais flouée par l'auteur. Comme quand j'avais lu le Petit Chose étant môme, et que j'ai attendu jusqu'à la fin ( ... )
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Me suis souvent demandé si les méchants rop méchant qu'en fait non, y sont juste malheureux les pauvres, c'était pas des tentative maladroite des auteurs d'expliquer comment le méchant en était arrivé à être méchant. Parce que y'a toujours une explication dans le parcours des gens qui fait qu'ils sont comme ils sont (gentil ou méchant ou entre les deux).
Y'a qu'à voir les auteurs de fic qui "expliquent" pourquoi Draco il est méchant dans les livre de JKR alors que ça les arrangent pas pour le caser avec Harry/Hermionne.Ron etc...
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J'sais pas.... J'aurais tendance à couper la poire en deux, en disant qu'on peut avoir des raisons d'être un sale con, mais qu'elles n'ont pas à être invoquées en terme de justification si on a décidé en son âme et conscience d'être un sale con.
Après, tout le problème tient dans ce que sous-tend "en son âme et conscience" :p
Ca me fait penser aux mecs, là, les Dutroux, les Emile Louis et autres représentants de ce que l'humanité peut produire de pire. ou tout simplement les mecs qui un beau jour décident de violer une fille et de la brûler au fond d'un bois sans aucune raison. Souvent sont évoquées les "circonstances atténuantes" du genre "oui mais il a eu une enfance difficile" (et autres).
C'est un peu ça, finalement, le coeur du truc: Est-ce qu'au nom d'une souffrance passée on peut humaniser ce qui ne l'est pas?
(à titre purement personnel et surtout culturel, dans ce genre de cas, la seule et unique loi de justice applicable à mes yeux est celle du Talion. Les circonstances atténuantes dans ces cas-là (pédophilie, meurtre ( ... )
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